Ces temps – pour le moins mouvementés, que nous vivons actuellement et qui appellent le changement de tous côtés et dans tant de secteurs de notre vie avec la force de circonstances anxiogènes présentées comme « cataclysmiques » et aussi imprévisibles que confuses -, ce contexte surprenant qui nous oblige à changer nos comportements d’êtres sociaux, qui demande à nos projets de simples ajustements ou d’en presque tout modifier, nous empêchant de planifier, de contrôler, d’aller, d’agir, d’aimer à notre guise… comment les vivons-nous ? Comment ces réalités nous impactent-elles, comment réussissons-nous à nous (y) ADAPTER ?
Quelle forme prendra vraiment le monde de demain ? Comment participer de la manifestation d’une réalité commune qui aille dans le sens d’un changement profond pour un réel mieux : santé, paix, sécurité, abondance, éducation, …. pour tous !? Mais que sommes-nous prêts à faire ou à ne plus faire/dire/croire/… pour opérer ces changements ? Le changement fait peur à l’esprit (mental/ego pour Transurfing) et cela tient à son fonctionnement : il est très fort pour opérer et gérer… ce qu’il connaît mais nul et inadéquat pour envisager les situations nouvelles qui appellent une gestion préfrontale. Savoir s’adapter, c’est tout un art !
Si je vous dis les mots adaptation ou s’adapter, une partie de vous fait-elle immédiatement la moue ? En avez-vous un peu marre qu’on vous demande de vous adapter ? aux autres, aux circonstances, au final à tout, chose que l’Homme a dû et su faire bon an mal an au cours de son évolution. En effet, c’est de cette capacité d’adaptation (la résilience en fait partie) que nous tirons notre progression «remarquable » en tant qu’espèce.
Pourtant, les termes s’adapter et adaptation peuvent aussi évoquer quelque chose de l’ordre de la défaite, de la perte de pouvoir, voire de la soumission. Voyez dans les relations humaines. Quel est celui qui s’adapte et celui qui campe sur ses positions ? Qui a de la souplesse de caractère et quels sont ceux qui imposent aux autres leurs humeurs, leurs caprices – et donc leur loi ? Ainsi faire preuve d’adaptation peut équivaloir, du point de vue de l’esprit, à endosser le rôle du soumis, du perdant, du petit.
Aussi, sur un chemin de développement de soi, s’il peut être tout à fait pertinent de passer par des périodes où la libre détermination de soi passe par l’expérimentation nouvelle de l’expression de nos limites, par la prise considération et le partage de nos besoins, par la défense de nos droits et opinions, ce n’est qu’une étape ! L’ego, momentanément se renforce, et c’est un stade souvent nécessaire pour qui s’est laissé engluer par des schémas mentaux et affectifs où il/elle a du mal à occuper sa place dans le groupe et se manifester librement dans le monde. Donnez un peu de voix et/ou apprendre à « grogner », parfois le chemin passe par là. Mais, lorsqu’un nouvel équilibre est atteint, que plus d’assertivité ont permis envers soi une loyauté de base et une estime de soi plus stable, il est éminemment utile de progresser vers l’expression d’une autorité personnelle plus discrète, plus tranquille, et de ne pas rester chatouilleux en ce qui concerne les évaluations que font les autres, de lâcher urgemment les débats d’opinion et autres exemples d’un ego bien trempé, faute de quoi il va se renforcer, (se) camper de plus en plus et nous voilà enchaîné-e à nouveau par les fils de l’importance de soi (et vidé de notre énergie par ces potentiels en excès): « C’est mon avis, je suis comme ci, je suis comme ça, si ça ne vous plait pas… ! » Mais là n’est pas ni la force véritable ni la grandeur, ni définitivement la posture propice au changement que nous disons vouloir.
Une des grandes forces des co-créateurs de réalité charismatiques et prospères est justement d’atteindre un niveau d’adaptabilité constamment en développement. Ainsi maintenir envers l’idée d’avoir à s’adapter une attitude hostile ou résister à une situation par des comportements empreints de mésaventures passées, revient à passer commande pour plus de situations, de contextes et de relations, où vous aurez à continuer à vous battre, à vous plaindre et à espérer/désespérer. Si une seconde vague Covid19 venait à nous submerger, par exemple…, Vadim Zeland en dirait certainement que c’est de notre focus et au départ notre hantise collective qu’elle se serait réalisée.
La pratique de Transurfing offre une toute autre piste. N’avez-vous pas envie, vous aussi, de passer dans une dimension où la fluidité et la facilité en tout, sont les modes habituels selon lesquels se déroulent les choses dans votre couche du monde ? N’en avez-vous pas marre triple marre, d’aller contre ? de pédaler dans la semoule vous créant quotidiennement les conditions de votre mécontentent de demain ? Et vous dites vouloir faire de vieux os ? Pour porter une vie de quelle qualité ? Redonnons à l’adaptation et à l’art de s’adapter leur lettres de noblesse car il ne s’agit – en rien -, d’une quelconque perte de pouvoir, tout du contraire, mais de l’expression d’une force morale et d’une conscience élevées.
Regardons de plus près les sens que recouvrent ce verbe afin d’affiner notre posture et d’obtenir plus de réponses favorables de l’Univers en écho à nos desiderata et aspirations profondes, plutôt que perdre notre énergie à nous battre contre ce qu’on ne veut pas (je pense à certains « alerteurs » qui n’ont pas compris qu’ils nourissent par leur véhémence les structures qu’ils dénoncent…) Le verbe adapter est fait du préfixe ad (= vers, en retour, de nouveau) et de apte (capable, propice). Ainsi adapter c’est opérer un retour à l’aptitude, c’est retourner vers l’aptitude. Textuellement s’adapter signifie être re-apte, apte à nouveau. Quant à propice, son origine latine veut dire favorable, bienveillant. Excellent !
Que fait, selon les principes de co-création de la réalité de Transurfing, quelqu’un qui pratique ce modèle quantique de réalisation individuelle : il adapte la réalité et s’adapte à la réalité, en permanence. Et pour ce faire, il transpose, dans son regard sur le monde, sur la réalité du monde, son propre filtre, son propre film. Ceci dit, nous le faisons tous. La différence lorsqu’on développe ses compétences d’opérer en toute conscience – après s’être affranchi d’anciens schémas que l’on estime limitants et qui empêchaient de le faire librement -, c’est que les réalités que l’on manifeste sont de plus en plus joyeuses, lumineuses, formidablement nourricières, et ceci est vrai aussi pour les relations que l’on attire, évidemment.
En pleine crise du Covid19 – cette situation exceptionnelle qui nous donne une chance exceptionnelle de nous démasquer à nous même pendant que nous nous masquons à l’extérieur -, certaines personnes sont directement touchées par le drame. Je leur adresse une grande dose de compassion et je leur envoie beaucoup de patience et de lumière sur leurs douleurs physiques et psychiques.
Mais d’autres, ne sont que des victimes co-latérales de cette crise « pandémique », qui ajoutent en quelque sorte de la souffrance à leur douleur. Elles sont nombreuses. Touchées différemment, elles se sont parfois simplement laissées contaminer, si pas par la grippe, par la peur, par le doute, par la colère, par la suspicion, par le mécontentement, par le reproche, … et autres sentiments qui mènent à l’aigreur et à la désespérance. Ainsi, la façon dont certains d’entre nous ont adapté le scénario qu’on leur présente, est d’en avoir fait une version glauque, qu’ils nourrissent d’images cauchemardesques et de projections angoissantes du futur. Sachant que des sentiments répétés d’insatisfaction et de peur créent des vibrations basses dont bénéficient directement les structures énergétiques et institutions dont on est insatisfait et qui qui font le lit des scénarios du pire, on comprend combien cela est contre productif. Je ne les blâme en rien, la souffrance est la souffrance. S’ils méritent aussi de la compassion, leur cas est moins désespéré car il leur est toujours possible de reprendre du pouvoir, en changeant leur regard.
L’autre façon de se comporter est d’adapter le film, de l’ajuster, de le transformer, en cherchant à y reconnaître … ce qu’on voudrait y voir ! Patientez un peu, soyez déterminés mais relax quand même, curieux, ouverts et bientôt c’est étonnant, vous verrez et vivrez dans la réalité ce que vous y avez projeté. Ainsi en cette période étrange et si particulière de l’affaire de cette méchante grippe, d’autres encore vivent des semaines particulièrement agréables et mémorables – comme si cet temps à vivre différent était pour eux la réponse à une demande intérieure – un retour nirvanesque à eux-mêmes, un bond dans leur conscience, une clarté sur leur choix d’âme, un boost de leur créativité, une nouvelle sensation de liberté d’être, une paix profonde dans leur âme et beaucoup d’énergie dans leur corps. Ceux là sont confiants si pas sereins, positifs tout en restant lucides. Ils sont alertes, non alertés. Leur puissance s’est renforcée, leur enthousiasme, leur moteur de vie sont stimulés par les challenges qui se présentent. Ils observent tout ça en restant dans l’ouverture et dans la certitude d’un avenir qui les comblera davantage.
Pour d’autres, dans le contexte actuel, c’est soudain devenu l’enfer sur terre, même si leurs proches ou eux-mêmes ne sont pas tombés malades, même s’ils sont dans le confort matériel, même s’ils ne sont pas seuls et qu’ils se nourrissent affectivement chaque jour d’échanges, même si leur boulot n’est pas menacé,… ils s’adaptent avec difficulté.
S’adapter, c’est comme accepter pour le deuil, c’est une étape nécessaire : mais ne vous trompez pas, ni l’un ni l’autre ne veulent absolument pas dire que c’est bien, mais bien que c’est là !
Selon Transurfing qui est une modèle comportemental, chacun-e est parfait-e tel-lle qu’il-elle est. Il n ‘y a donc rien à changer à qui nous sommes (tout du contraire), mais bien à transformer nos comportements et ce qui les motive (pensées, croyances, habitudes…) pour enclencher une plus pleine réalisation de soi et permettre la création de réalités qui correspondent aux aspirations profondes de notre âme.
S’adapter c’est rester présent à ce qui est, sachant que tout revers a sa médaille et que c’est en cherchant toujours et infatigablement les avantages d’une situation, qu’on impulse et participe à manifester le meilleur, jour après jour, pour soi et d’un point de vue collectif. C’est physique, pas philosophique, rappelez vous ça si d’aventure ceux qui en toute chose voient le bon, vous apparaissaient encore comme de braves naïfs…
Je pense à cet ami qui avait émis l’intention il y a quelques mois de changer, à terme, de pays. Et voilà que soudain c’est ce pays, lui refusant l’accès à une formation professionnelle qu’il voulait faire « avant de partir », le laissant fort démuni, qui le pousse dans le dos. Partir, rapidement, semble à présent être la seule issue. Va-t-il en profiter et ajuster sa voile au vent changeant qui se présente ou son esprit va-t-il en faire tout un plat et plutôt que de se mettre en mouvement, nourrir des sentiments de rejet, d’injustice, de peur …, végéter, se laisser décliner socio-économiquement et perdre de ce temps précieux de la vie, au risque de ne jamais réussir son saut quantique vers ce nouveau pays qui le tentait ? Saura-t-il s’adapter à ce que le scénario en cours lui propose ? Saura-t-il accueillir et aller dans le sens de cette redirection de l’Univers. Après tout, vous commandez le « quoi » mais c’est bien la tâche de l’Univers de manifester le comment qui mène à votre quoi !
Je pense aussi à ce couple confiné qui attend son premier enfant. Bien sûr, on peut voir cette situation comme contrariante, et elle l’est évidemment à certains points de vue, mais ne porte-t-elle pas aussi en elle beaucoup d’avantages ? Cela dépend. Si vous qui me lisez, vous avez connu une grossesse métro-boulot-dodo, être chez vous au calme avec votre chéri-e, pianotant chacun sur son pc quelques heures pas jour, vivant ensemble toutes les heures du jour et de la nuit, poursuivant agréablement une conversation qui a du temps et de l’espace pour se déployer, permettant le développement d’une belle intimité émotionnelle, si vous qui me lisez vous n’avez pu vivre tout ça, être confinés en couple en de pareilles circonstances ne vous paraît-il pas idéal ? Ici encore, c’est de la capacité à s’adapter que dépend le bien-être et l’alignement en des périodes si changeantes.
Adapter, s’adapter, l’adaptation : une compétence pré-frontale basique pour co-créateurs avertis. Voici quelques uns des sens du verbe :
- Adapter c’est Appliquer une chose à une autre :
Appliquer quoi ? Un filtre, une gélatine, des lunettes roses ! Autrement dit : votre réalité souhaitée, l’image de ce que vous voulez voir dans le miroir indépendamment de celle que vous y découvrez ou qu’on veut vous vendre… De cette façon, vous tordez la réalité en la percevant autre que dans son habit premier, et ce faisant, vous l’obligez à se conformer (à se reformer en tenant compte de votre perception d’elle). - Un sens plus concret d’adapter est Ajuster une chose à une autre : Ainsi, en ajustant votre rêve, votre objectif, votre intention à la réalité présent(ée) vous rendez votre rêve, votre objectif, votre intention plus réaliste, plus juste en fonction des éléments de réalité présents qui portent toujours en eux des potentiels de déploiement infinis.
- Adapter, c’est aussi Transposer d’un domaine à un autre, ce sens du verbe nous intéressera particulièrement du point de vue de Transurfing.
Adapter un livre ou une bande dessinée en film, c’est avant tout réussir à leur donner vie selon la vision qu’en a le réalisateur ; ce qui implique d’apporter de nouveaux éléments et changer des éléments présents tout en restant fidèle à l’univers exploité.
Remplaçons le sujet (livre, bande dessinée) par réalité, situation, expérience : Adapter une réalité c’est avant tout réussir à lui donner vie selon votre vision de réalisateur du film de votre vie, ce qui implique d’apporter de nouveaux éléments et de changer des éléments présents (en les regardant autrement) tout en restant fidèle à l’univers exploité (à ce qui est ici et maintenant, point de départ présent perpétuel au départ duquel l’Observateur déploie sa vision pour le futur immédiat.
Présentement : Qu’est-ce qui est ? Qu’est-ce que je veux ? En conséquence, qu’est-ce que j’agis?
- Faire correspondre est au autre sens d’adapter, qui pour nous autres créateurs de réalité conscients, revient au même : en cherchant la face cachée d’un événement qui pourrait être jugé défavorable, on peut toujours y trouver des aspects positifs, des bénéfices, des avantages. Ce retournement perceptuel est précisément ce qui dispose la réalité à se montrer d’abord, et se transformer ensuite, telle que vous la regardez (avec un temps de retard x). Vous connaissez tous cela et vous en avez fait maintes fois l’expérience dans votre sphère relationnelle, en choisissant d’ignorer une remarque désobligeante, de passer à quelqu’un une saute d’humeur, un comportement provoquant, de ne pas entendre des mots qui blessent comprenant ce qui se joue chez l’autre, … Vous restez alignés, faisant correspondre l’autre à ce que vous attendez de lui. Et souvent, ça marche, j’en vu des monstres se transformer en agneau sous mes yeux ravis !
- Modifier afin d’améliorer la prise en compte des facteurs pertinents. Ce sens d’adapter me parle. Que pourrait-on modifier afin d’améliorer la prise en compte des facteurs pertinents ? Je vous le donne en mille : sa posture bien évidemment. Lorsque nous sommes désalignés, nous avons quitté la posture de l’Observateur et avons basculé dans une des trois postures de résistance que Transurfing nomme : le guerrier, l’offensé et le demandeur. Dans ces postures, auxquelles correspondent toujours un état émotionnel désagréable – et donc un coût énergétique que Transurfing nomme potentiel en excès -, nous sommes incapables de prendre en compte les facteurs réellement pertinents qui permettraient à l’observateur de gérer la situation à son avantage. Mais à ce moment précis de désalignement, notre système a été pris en otage par un esprit qui très loin de s’adapter, s’insurge. Revenir dans l’Observateur peut se faire en une seconde – une « posture qui s’apprend ! -, simplement en se posant deux questions (entrainez-vous à le faire à tout moment) : Comment je me sens là ? Ensuite, comment j’ai envie de me sentir ? Choisissez. Laisser reposer, à peine, et observez/ressentez comment se modifie votre état. Bingo, votre Observateur ré-entre en scène, votre perception des facteurs déterminants à l’évolution favorable de ce qui se joue est redevenue optimale, vous revoilà apte, et la situation potentiellement propice comme le sont toutes les situations, même si au premier regard, sont désespérées.
- Appliquer une phrase ou un passage d’ouvrage à une personne, à une chose. Ce sens d’adapter n’apporte rien de vraiment nouveau, mais je le cite en vous adressant un clin d’œil, c’est ce que je fais sans cesse dans ma démarche d’évolution et d’enseignement : de la transversalité avec Transurfing, ce modèle quantique comportemental que j’enseigne. La vérité est partout, multi-facettes. La vie et ses principes s’offrent à notre compréhension partout où nous portons notre regard. Depuis dix ans que je transmets ce beau modèle quantique de réalisation individuelle, je m’émerveille chaque jour des précieuses correspondances que je découvre tous azimuts, et qui me permettent de (vous) faciliter sa pratique.
Autrement dit, s’adapter c’est Changer (son attitude, etc.) pour mieux correspondre aux circonstances. Et correspondre c’est quoi ? C’est répondre avec (répondre du latin respondeo, a pour étymologie « promettre ».) Piloter sa réalité, c’est établir avec elle un dialogue, c’est lui répondre de façon constructive, en voyant en elle ce qu’on souhaite y voir, afin qu’elle tienne avec nous ses promesses en s’adaptant en retour – le monde est mon miroir.
Nous en avons fini avec ce regard à la loupe sur un des nos plus formidables atouts de développement : la capacité à s’adapter. Ainsi que le fait le corps en permanence – s’adapter -, mettons notre esprit (mental/ego) en mouvement. Car soyez-en certain-e : c’est bien lui et lui seul, qui résiste quand résistance au changement il y a. Du changement, au risque de me répéter il en a précisément horreur.
Et si je partage tout cela, vous l’aurez compris, c’est qu’à l’aube d’un nouveau monde dont l’accouchement ne se fait pas sans douleur, mieux nous accompagnons le travail d’ouverture en l’accomplissant chacun-e en soi, chez soi, po soi, mieux la naissance se passera. Pour le plus grand bien-être de tous.
Merci de m’avoir lue et bravo pour cette formidable progression de notre conscience partagée.
Le changement est là, applaudissons-le, encourageons-le, voulons-le, et surtout soyons-le !
Merci de partager cet article s’il vous a plu et au plaisir de lire vos commentaires, et de vos partages : quels sont les changements/nouveaux états d’être ou habitudes/comportements que vous manifestez actuellement ? Comment vous adaptez-vous bien ?
Votre évolutive,
Printanière
Et bien dévouée,
Tati Clara
Merci Claire
Toujours aussi rafraîchissant et au combien de l ordre de la révélation.
Les modules redémarrent quand ?
Paix profond et belles realisations
Philippe
Bonjour cher Philippe, merci pour ton retour si positif ! Les modules reprennent sur Paris fin août, l’agenda à consulter sur le site du Centre Transurfing Francophone, est à jour. Il y a aussi l’université d’automne, résidentiel pour lequel les inscriptions viennent d’ouvrir. J’y travaille à fond, ce sera une toute belle édition ;) Merci pour cette profonde paix en partage, à bientôt Philippe, à toi aussi de belles réalisations