Archives de l’auteur : Claire van Gheluwe

Transurfing à Casablanca, marhaban !

– Casablanca –

Cela faisait longtemps qu’on en parlait, de ci de là, des questions et contacts de plus en plus fréquents avec nos amis marocains, que je salue. Friands eux aussi de développement et d’outils pour accompagner les nombreux changements actuels et à venir au Maroc, tant au niveau individuel que collectif, ils m’ont dit « Viens à Casa Tati Clara !«  Bien que les livres de Vadim Zeland soient denrée rare par là-bas (j’ai contacté l’éditeur à ce sujet mais il ne m’a jamais répondu), il est vrai que l’étonnant modèle quantique de réalisation individuelle Transurfing suscite au Maghreb un intérêt grandissant, grâce au Net ! Je pense d’ailleurs vous annoncer probablement bientôt aussi un « trajet » en Tunisie, je vous en reparlerai. Continuer la lecture

Université d’été Transurfing édition 2016 en Brocéliande : Apprentis Transurfeurs, voici venue votre heure !

A quelques jours du début de l’édition 2016 de l’Université d’été Transurfing en Brocéliande (29/7 au 7/8), voilà que je m’agite un peu. Bien occupée à régler les détails nécessaires à une bonne organisation tant au niveau logistique que de l’équipe, il me reste encore à communiquer sur les modules Transurfing, l’atelier de guérison quantique, l’atelier d’écriture et l’atelier « gravity blue » qui ne vous ont pas encore été présentés !

Aussi, certains d’entre vous hésitent peut-être encore à s’inscrire et attendent la suite des informations : l’an dernier 50% des participants se sont confirmés dans la dernière semaine, sacrés transurfeurs ! Si c’est votre cas, cet article – dont l’objectif est de boucler la campagne d’information de ce stage d’intégration pluridisciplinaire inédit, animé par 6 coachs formateurs de talent -, est aussi pour vous. Sachez qu’il reste à ce jour encore 2 ou 3 places et que le groupe – magnifique et équilibré en genre (j’adooore !) – affichera sera complet !

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, informations et programme complets

– LE STAGE EN QUELQUES MOTS –

Participer à l’Université d’été Transurfing, c’est tout d’abord s’offrir une pause dédiée à soi, passer quelques beaux jours dans un cadre d’exception. En bordure de forêt de Brocéliande, le domaine au sein d’un grand jardin avec piscine, nous est entièrement réservé. Continuer la lecture

Université d’été Transurfing 2016 : Atelier REMETTRE DU SENS AU SON – Christophe-Pierre Fleurat

Stage pluridisciplinaire Transurfing – L’ESPRIT D’UNE ÉQUIPE

REMETTRE DU SENS AU SON : Ontologie et Son ou Champ vibratoire et expérience humaine

photo Christophe-PierreAyant voulu intégrer la dimension du son dans cette édition 2016 de l’Université d’été Transurfing (Bretagne, du 29 juillet au 7 août), je suis heureuse de vous présenter un atelier qui lui est entièrement consacré et qui sera animé par Christophe-Pierre Fleurat: Psychothérapeute et praticien en étiothérapie, il s’est spécialisé dans l’approche centrée sur la personne. Coach formateur Transurfing, il se passionne pour les liens entre les domaines de la physique quantique et de la réalisation de Soi.

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, toutes les informations et le programme

Mais que fait un atelier son dans un stage de réalisation de soi et de pratique Transurfing ? Notre son propre, notre voix, étant la manifestation sonore de l’être unique que nous sommes (le son du fraile si vous voulez), une sorte d’interface entre nous et le monde, mérite bien toute l’attention du transurfeur. Dans cet article de présentation, voyons comment Christophe-Pierre s’est approprié la thématique et le passionnant atelier qu’il nous propose, dans le but de recontacter l’essence du son.

Si Blaise est notre troll préféré, Christophe-Pierre c’est notre O V N I, ainsi que les ont appelés l’un et l’autre les participants de l’édition 2015 (Je n’ai jamais pu savoir de quel sobriquet ils m’avaient affublée haha). Il a de très étendues et précieuses connaissances qui, alliées à un sens de l’humain peu commun, font de lui un accompagnant et un formateur très talentueux. Sa spécialité, emmener les gens en voyage, parfois confrontant, toujours grandissant.

Cet été, il revient à l’Université d’été Transurfing pour la 3ème x avec un atelier unique créé sur mesure, nous proposant d’ouvrir une parenthèse pour faire avec lui UN VOYAGE INITIATIQUE A TRAVERS LE SON :

C’est quoi le son ? Humain, non humain, nous verrons quelle est sa nature, la façon dont il se propage et la perception qu’on en a. En introduction de l’atelier nous aborderons des notions de la physique du son pour affiner notre compréhension de la nature de notre réalité et de la façon dont le son rencontre la matière et notre être. Après un temps théorique relativement pointu (avec support) il s’agira de passer à l’expérimentation de différents phénomènes sonores et de leur propagation (expériences physiques d’effets sonores, expériences avec la voix humaine et avec des instruments, boite étrange, bols tibétains…) pour intégrer notre compréhension de ce qu’est le son de notre voix et de comment il influence l’organisation de notre matière ?

Nous voilà prêts pour le travail de la voix et du bruit, dans le but de nourrir l’Observateur par plus de conscience et de présence à soi (ce n’est donc clairement pas un atelier classique sur la voix, même si votre voix pourrait bien s’en trouver clarifiée…)

Tout un voyage pour comprendre que le son, le champ sonore de la voix, est quelque chose de profondément intime et personnel, qui nous relie à toute la matière qui nous environne, le vivant et le non vivant. En termes Transurfing, on pourrait dire que la voix est la manifestation sonore du « fraile » de chacun, notre champ sonore unique. Entendre et être en contact avec son propre fraile et faire porter sa voix au départ de cette conscience est ce qui nous permet de nous mettre au diapason des autres aussi et de pratiquer le ‘FRAILING’ :

Après avoir pu intensifier sa vigilance à soi, on verra comment ouvrir sa perception du son des autres et entrer en communication. Il s’agira dapprendre à créer dans la relation un état de conscience par empathie « et non de confiance qui est un leurre en réalité ». La mise en empathie sonore et vocale permet alors à l’interlocuteur de se relâcher, de se sentir en sécurité. Notre intensité verbale fluctuant en fonction de nos émotions et de ce qui nous est donné à vivre, nous verrons aussi comment la prise de conscience permet de faire correspondre l’intentionnalité à la vérité de la situation : Quand je suis dans l’Observateur, je peux percevoir aux fluctuations de ma voix qu’il y a danger, cela amène au ressenti et à l’élévation de ma conscience. Enfin dans le but de faire converger l’attention et l’intention, nous verrons comment les mots, qu’ils soient prononcés ou que ce soient des mots intérieurs, participent grandement de la co-création de notre réalité.

En quelques mots, le but que poursuit Christophe-Pierre avec cet atelier, est de nous permettre de faire du lien entre le son, la voix et comment j’écoutede REMETTRE DU SENS AU SON  là où il parait comme banal et commun, en percevoir à nouveau le sens spirituel. Faire du SON un outil au service de l’expérience de soi et de la vie.

Mais que veut dire se mettre à l’écoute de soi ? La conscience émet aussi des sons, comment me mettre à l’écoute de ça et pouvoir me mettre en accord avec moi-même et me sentir complètement relié avec l’Univers et aux autres ? Le son de ma voix est l’outil qui me permet de faire vibrer la manifestation de qui je suis. En prenant conscience de mon son, je prends conscience d’être relié et guidé d’éternité.

Créé spécialement pour l’Université d’été Transurfing, voilà un précieux atelier pour les apprentis créateurs quantiques que nous sommes !

Lorsque la joie s’en est allée du cœur, n’est-ce pas quand la perception d’unité d’avec le tout a disparu ? dissoute dans les perceptions filtrées de l’ego qui a repris les commandes et s’illusionne d’être séparé, nourrissant – avec boulimie – ses scenarii catastrophe… Dans ces états d’identification, l’Observateur ne peut rien faire, il est en chômage technique !

Par ailleurs, que se passe-t-il quand on se sent relié et qu’on perçoit « le bruissement des étoiles du matin » ? La joie se manifeste, vibrante ! Cette perception de notre reliance nous met le cœur en joie et cela nous aligne tout simplement, instantanément. A partir de là, co-créer sa réalité devient un véritable jeu d’enfant. C’est par le SON que Christophe-Pierre nous propose de faire l’expérience de la reliance cet été au Domaine de Brocéliande. Je suis bien impatience de vivre ça avec le groupe !

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, toutes les informations et le programme

Merci de m’avoir lue et toujours au plaisir de répondre à vos questions. Inscrivez-vous sur la page d’accueil pour nous suivre !

Chaleureusement, votre estivale,

Tati Clara

Pour nos amis arabes qui me lisent, bientôt Transurfing à Casablanca, renseignez-vous !

Pour nos amis arabes qui me lisent. Bientôt Transurfing à Casablanca, renseignez-vous !

– And THE question is : De l’été ou de vous, lequel impressionnera l’autre ? –


 

 

Université d’été en Brocéliande : Atelier l’Amour de Soi

Stage pluridisciplinaire Transurfing – L’ESPRIT D’UNE ÉQUIPE

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, toutes les informations et le programme

L’Université d’été Transurfing du 29 juillet au 7 août 2016 en Brocéliande, c’est une équipe de coachs, thérapeutes et enseignants plus qu’outillés, à votre disposition. Mais ce sont également des hommes et des femmes de partage, simplement riches d’une expérience et d’une philosophie de vie qu’ils ont su mettre à profit pour faire grandir en eux la part d’humanité et pour expérimenter l’infinie puissance créatrice du cœur. Véronique Simon, coach Transurfing de l’Ouest de la France, en fait partie.

Véronique juin 2016_1J’ai confié à Véronique l’atelier qui ouvrira notre travail sur l’amour et la puissance créatrice du cœur, phase déterminante du trajet. Charité bien ordonnée commence par soi-même : elle animera un atelier sur l’amour de Soi.

Je vous laisse en sa compagnie, lisez plutôt ! Continuer la lecture

Comment cultiver l’estime de soi au quotidien ?

Véritable reflet de l’état de l’harmonie ressentie dans la relation à soi, l’estime que l’on se porte fluctue souvent et détermine en grande partie notre bonheur d’être. Très loin d’être une fatalité, l’estime de soi qu’on entretient, comme un jardin finit toujours par donner ses fruits.

Wilhelm Reich a mis en évidence cinq blessures subies dans  l’enfance, selon un modèle diffusé au grand public par Lise Bourbeau. Ces traumatismes de base que nous vivons bébé nous marquent à vie, générant de la souffrance, des peurs et des obstacles récurrents (nous pouvons avoir une ou plusieurs de ces 5 blessures, à des degrés différents).

5 blessuresEn réaction à ces premières expériences douloureuses, le petit enfant pour s’adapter à son environnement, va créer un certain nombre de croyances basiques et solides, comme autant de conduites et de masques qu’il adoptera stratégiquement et inconsciemment afin d’être « OK » avec les autres, dont sa sécurité et sa nourriture affective – donc sa survie – dépendent. Ces mécanismes adaptatifs de survie sont profondément ancrés dans l’inconscient et entravent la pleine expression de soi. Continuer la lecture

Université d’été Transurfing en Brocéliande : Atelier Univers Parallèles

Stage pluridisciplinaire Transurfing – L’ESPRIT D’UNE ÉQUIPE

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, toutes les informations et le programme

Après vous avoir parlé de Franck, notre Maître Chi-Kung, j’ai le plaisir de vous présenter Blaise Magnenat, coach formateur Transurfing suisse, qui nous donnera l’étonnant Atelier Univers Parallèles qui viendra boucler le programme de l’édition 2016 de l’Université d’été. Last but not least est ici tout fait approprié, on va le voir !

Blaise Magnenat photoBlaise, c’est notre troll préféré, celui par le regard duquel tout, absolument tout devient possible. Blaise, c’est celui dont on reçoit, tout à la fin du parcours d’initiation et de pratique, les piles pour la baguette et le secret de l’entrée du terrier du lapin… Je suis enchantée qu’il fasse partie encore cette année de l’équipe des coachs formateurs, car je ne me lasse pas de son atelier et de son effet littéralement magique, qui prendra je le crois une dimension particulière au contact de la forêt de légende, dans l’énergie de laquelle nous en ferons l’expérience cet été.
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Université d’été Transurfing 2016 en Brocéliande : Atelier de Chi-Kung

Stage pluridisciplinaire Transurfing – L’ESPRIT D’UNE ÉQUIPE

A ce jour déjà 6 coachs/formateurs ont confirmé leur participation à cette édition 2016, le 7ème se confirmera bientôt, une formidable équipe pluridisciplinaire motivée à vous accompagner et occupée à vous créer un programme de développement intensif unique !

De mon côté je bosse sur la dynamique de l’ensemble du programme et sur la séquence informative dont cet article fait partie. Cette année je l’ai imaginée interactive. Je vous présenterai chacun des membres de notre équipe 2016 et ensuite, c’est à vous d’agir pour en savoir plus : sur base de vos questions, j’interviewerai Franck et posterai l’audio à votre attention (voir tous les détails plus bas). Merci, c’est important pour moi de vous savoir de l’autre côté du tube !

>> ICI : Université d’été Transurfing 2016, toutes les informations et le programme

Franck BaalFranck Tuât-Thô, notre maître Chi-Kung

Le Chi-Kung permet de régulariser le corps, le souffle et l’esprit – un art d’alliance et d’équilibre – le « must » pour transurfer !

Je suis heureuse de vous présenter Franck : comédien et professeur de Chi-Kung depuis longtemps, il maîtrise aussi d’autres techniques, dont la guérison quantique, où l’art de l’énergie qu’il a déjà tant pratiqué dans les arts martiaux, devient un outil vers la guérison et la réalisation quantique individuelle. Continuer la lecture

Bruxelles : Atelier Conférence Transurfing, ce vendredi 22 à midi, be welcome !

J’ai le grand plaisir de vous inviter à

Participer à l’Atelier Conférence Transurfing que je donnerai

Ce vendredi 22 avril, de 12h30 à 14h à Bruxelles

Adresse : The European Commission External Cooperation INFOPOINT

43 Rue de la Loi – B 1040

Entrée libre, assurez-vous d’avoir une place en arrivant un à l’avance !

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Adopter la posture de l’Observateur de Transurfing, c’est assumer de changer le regard que l’on porte sur la vie, le monde, sur soi : se décoller de la réalité et changer le cadre de perception. En transformant le regard, générer de nouvelles pensées, nourrir une plus haute vibration, une intention et une confiance plus stable et s’émerveiller de ce que le monde suit et répond à notre changement de regard par une foule de nouvelles opportunités.

Au plaisir de vous faire goûter de l’Univers Transurfing et de vous rencontrer ou vous revoir.

A vendredi !

Votre dévouée, Tati Clara

soleil1

 

Université d’été Transurfing : L’ESPRIT DE BROCELIANDE

soleil1Il y a quelques semaines, les dates et le lieu où siégera du 29 juillet au 7 août l’édition 2016 de l’Université d’été Transurfing ont été confirmés, le programme déterminé dans les grandes lignes. Je vous avais promis de vous donner plus de détails, en voici !

En coulisse on s’agite, on cogite, voici les premiers inscrits et les choses se précisent. Cet article est le 1er d’une série de parutions destinées à vous dévoiler beaucoup plus de ce stage résidentiel d’intégration et de pratique Transurfing par approche pluridisciplinaire, sur son intention générale, mais aussi sur les ateliers et à vous permettre de rencontrer et d’échanger avec les coachs formateurs qui encadreront cette édition exceptionnelle, organisée au très beau Domaine de Brocéliande, en pleine campagne bretonne.

Parallèlement à la présentation de l’équipe, j’aurai le plaisir de vous parler du stage dans son esprit d’ensemble, ici et dans les articles suivants. Commençons par le lieu :

le Domaine de Brocéliande, l’esprit d’un lieu

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Bruxelles, 22 mars 2016, billet blanc pour un noir printemps

Le printemps venait d’ouvrir les yeux alors qu’avec lui éclatait autre chose, dont nous allions nous souvenir longtemps. Alors que je m’ébrouais en ce matin du 22 mars, je reçus de mon fils un message énigmatique et sans ambages : « ça va !? ». C’est lui qui m’informa, dans mon jardin préservé, des terribles attentats qui se passaient à Bruxelles, en temps réel.

Depuis ce jour, je veux vous écrire et depuis ce jour, je n’avais pas encore réussi à le faire. Après tout, que dire !? Des lieux communs comme le fait que la violence nourrit la violence et qu’il est (grand) temps de penser/panser le monde autrement ? Dire que Gandhi et Einstein avaient raison, affirmant avec force et sagesse, pour l’un que ce monde de paix auquel nous aspirons tous par nature, commence par se construire en chacun de nous et, pour l’autre, qu’il ne sert raisonnablement à rien de tenter de résoudre un problème avec le système même qui l’a généré, des évidences pourtant !

Comment agir pour participer d’une résolution de ces intolérables tensions dont les conséquences impitoyables, arbitraires, violentes à l’extrême venaient nous rappeler, au cœur de notre tranquillité, que le vers était bien déjà dans la pomme, que ce que nous vivions n’était que des conséquences, non des fatalités et que la responsabilisation serait le seul chemin de la prise de pouvoir sur nos futures réalités !?

Jour après jour j’observais l’impact de tout cela en moi et chez mes compatriotes de tous clochers ; dans la rue, les cafés, au téléphone et par Skype, alors que des messages nous arrivaient de partout et que nous en parlions, nous commentions les événements, apprenant au détour que le fils d’untel et le cousin d’un autre, n’étaient plus, qu’une autre avait eu sa chevelure entièrement cramée, qu’une autre encore resterait probablement aveugle,… que de drames individuels, quelle tristesse, au-delà de l’atteinte psychologique généralisée due à cette écrasante actualité ! Les détails croustillants auxquels nos médias tendancieux nous ont habitués (et qui mettent de l’eau au moulin de certains, comme personne ne l’ignore), portaient en eux l’horreur et la possibilité de l’identification. Une jeune bruxelloise, en chemin ce matin-là pour aller enterrer son père : le métro fut le cercueil de sa mère…

Les médias : 5% de factuel, 95 % d’émotionnel, ça tournait en boucle sans jamais s’arrêter, vous parlez d’un méta balancier, toutes ces soi disant « infos » n’étaient diffusées que dans le but de générer en nous de la peur, vous le savez.

Pendant que la police et les forces d’intervention d’urgence faisaient leur travail, plus habiles semble-t-il à résoudre les conséquences de ces attentas qu’à les empêcher – quand bien même il apparaît qu’ils avaient été prévenus, comble de tout… – j’observais et cherchais à accueillir tout cela, tout en réfléchissant et construisant une réponse qui apparaitrait quand se seraient organisées et réactualisées en moi ma représentation du monde et ma perception de ce qu’on nomme la sécurité – toute illusoire pourtant – dont nous jouissions en Belgique jusqu’à cette explosion d’un bien noir printemps.

Tous en colère !

De quoi s’agissait-il vraiment et que faire de la violente colère qui émergea et s’exprima en masse, vivace dans le cœur de chacun et se jouant étrangement jusque sur le territoire de l’intimité des relations ? Le monde est mon miroir. C’était comme si, profondément ébranlés dans notre rapport à la confiance et à la sécurité – tant à cause des attentats que de ce ou ceux qu’ils mettent en cause – le monstre s’était réveillé, nous poussant à questionner plus en amont les fondements de notre paix et de notre immobilisme. C’était comme si la tangible charge émotionnelle ambiante s’était répartie et cristallisée pour une prise en charge individuelle, afin qu’elle puisse s’exprimer en chacun pour se dissoudre peut-être au niveau collectif ?

Le monde miroir, Milan Kundera, transurfeur avant l’heure (dans l’Art du roman) : « … j’ai compris d’emblée que les mécanismes psychologiques qui fonctionnent à l’intérieur des grands événements historiques (apparemment incroyables et inhumains) sont les mêmes que ceux qui régissent les situations intimes (tout à fait banales et très humaines). »

Le calme atterré qui suivit les attentats, alors que nous comptions nos morts et mesurions l’ampleur des dégâts, s’est mué ensuite en une vague assombrissante – comme les hélicos dans le ciel – de colères individuelles, qui déferla sur chacun et, plus qu’une bombe locale qui n’atteignit que peu de monde, fit trembler toutes nos certitudes. J’étais en colère mon fils était en colère, mon Jules était en colère, mes clients étaient en colère et peut-être bien que vous aussi, vous étiez en colère !?

Voilà que la matière à penser que je recevais du monde (intérieur/extérieur) ne me parlait que de colère, laquelle se révélait au même moment d’ailleurs – fameux le chef d’orchestre ! – où je travaillais ce potentiel en excès dans un de mes groupes d’intégration Transurfing.

Une pénible expérience d’impuissance

Tout cela me donnait à comprendre que la colère est avant tout un acte désespéré, la manifestation d’un douloureux sentiment d’impuissance dont se sert l’ego lorsqu’on le pousse dans ses retranchements et qu’il n’a pas pu trouver autrement les moyens d’assouvir et/ou de faire entendre quels sont ses besoins. Avoir besoin de sécurité est un besoin réel et légitime, un des tout premiers droits que devrait pouvoir garantir une humanité dite évoluée, au risque de perdre son appellation. Face à ces attentats nous faisons une pénible et concrète expérience d’impuissance, la colère que nous ressent(i)ons n’était que la manifestation d’un grand stress d’inhibition qui nous figeait sur place, interdits, les bras ballants.

Cette sécurité, à laquelle nous sommes tant habitués que nous en plaçons la condition à l’extérieur de nous, venait de nous être – violemment – retirée. La Belgique en tremble encore, pas tant à cause de ce qui s’est passé, mais elle tremble et tremblera à présent de cette illusion blessée, de cet espoir désormais vain d’une sécurité acquise. ça a pété, ça pourrait bien péter à nouveau n’est-ce pas, c’est ça que l’on se dit !? Voilà 30 ans que nos gouvernements bombardent le Moyen Orient sans nous émouvoir plus que cela, 30 ans que cette « stratégie » ne marche pas, mais aujourd’hui la tendance est manifestement de vouloir continuer, d’augmenter la riposte, pour garantir des privilèges et perpétrer un modèle auquel nous ne croyons plus. Voilà ce que les gens que nous avons élus et dans les propositions desquels nous sommes de plus en plus nombreux à ne pas nous reconnaitre, veulent : faire un peu plus de ce qui ne fonctionne pas : Morts par centaines de milliers à l’appui et déferlement de phobies en tout genre. Les plus pessimistes d’entre nous diront « On est pas sortis de l’auberge…« 

Cessons d’être contre, soyons pour !

Ce monde nouveau et juste, qui se cherche et se questionne, nécessite un mouvement éducatif ample, collectif et musclé, pour qu’advienne le changement auquel nous aspirons. En trouverons-nous les moyens, alors qu’en nous, gronde encore tant de colère, tant d’inhibition d’action ? Voilà la question qui se pose. Selon la théorie, l’importance – vitale – qui se dégage de cette nécessité est à même de nous en empêcher.

Mon invitation du jour, mon message, mon sos bouteille à moi est de vous dire que la dissonance que vous ressentez et que vous nourrissez en vous mettant en colère afin de justifier et d’amplifier votre état – afin en réalité de mobiliser vos forces de guerre et de ressentir votre puissance – n’est que la manifestation d’une importance que votre ego, votre mental conditionné veut défendre : touche pas à ma paix, touche pas à mon jardin et à ma tranquillité, touche pas à ma vie sans peurs et sans reproches, touche pas à mon inconscience. Tourner votre colère contre la vie, contre Daich et les extrémistes, contre l’injustice, contre votre conjoint ou contre vous-même, est mal la diriger et ne fera que la renforcer. La polarité qui se révèle là est sécurité/insécurité – liberté/entrave – Les uns sécurité/ liberté sont tout aussi illusoires que les autres, insécurité/entrave. Car nous le saurions déjà n’est-ce pas, si la liberté et la sécurité menaient d’office au bonheur. Si c’était le cas, je serais en chômage technique, or… il y a tant de travail !

L’importance, une perception inadéquate de la réalité, nous aveuglait en nous faisant croire que nous étions en sécurité, nos égos s’y asseyant comme sur un socle et l’importance sur cette thématique est encore ce qui nous aveugle aujourd’hui en nous faisant ressentir à présent qu’il y a du danger. La vie, par nature, est insécurité. Une aventure tragique, dont on ne sait jamais quand elle se finira. Le ça-voir et l’accepter est véritablement (la seule) source de liberté et de sérénité.

Ce qui arrive est toujours ce dont nous avons besoin pour grandir

L’invitation est de voir cela, et, si de la colère il reste encore, de l’utiliser puissamment pour se dresser et se mettre collectivement, plus concrètement et joyeusement au travail : car, ce qui n’est pas illusoire par contre, c’est que ce nouveau monde a besoin de nous pour advenir, de nous autres nourris à la quiétude et bien gras, qui paissons tranquilles depuis si longtemps, taillant éternellement notre crayon. Le temps des vaches grasses pour les uns et des vaches maigres ailleurs, a cessé d’être tolérable, c’est selon moi la seule vérité utile que ces évènements bouleversants et regrettables sont venus nous révéler et dont parle notre colère. Et s’il a fallu que nous en fassions l’expérience pour le réaliser, alors je dis que c’est un bien.

Tirer des enseignements et se mettre en action

Comprenons, il ne s’agit bien évidemment pas de se réjouir du malheur – recevez ce billet comme étant avant tout un message solidaire et empathique – mais il s’agit, pour tirer enseignement et profit de ces tragiques événements, de basculer en préfrontal pour en déceler les enseignements. Nous ne voulons pas et plus de violence, très bien ; que faire dès lors – avec amour – pour que notre colère d’impuissance se transforme en force d’action qui génère l’amour? Que faire pour faire revenir la paix en soi ?

Devenir/Être soi

Accepter et chercher à déplacer notre regard/attention de ce que nous ne voulons plus vers ce que nous voulons, le définir et l’exprimer en le mettant en œuvre, en lui donnant notre attention et nos meilleurs soins est ce que nous avons à faire individuellement, en priorité. Ah déjà, l’énergie est toute autre, l’inspiration revient, nous quittons nos rôles de guerriers, d’indignés, d’offensés, de victimes et retrouvons notre puissance. Définir un but à son niveau personnel, et se mettre en action, même petitement, sur des projets et des dynamiques qui portent les valeurs que nous voulons voir se manifester, en évitant de donner notre énergie à ce que nous ne voulons plus, voilà qui donne de l’espace et de l’enthousiasme. Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières, sans eux en amont, le lit peut devenir stérile.

En conclusion

A la lecture de cet article, votre mental vous dit peut-être : « La politique ce n’est pas pour moi, c’est pas mon truc, je ne sais pas vraiment quoi faire pour faire changer les choses,… » La politique concerne les affaires de la cité, et c’est son plus grand mensonge que de nous avoir fait croire que ce n’était pas l’affaire de chacun. Nous sommes des citoyens, la politique nous concerne. Nous pouvons reprendre sur elle notre pouvoir. Qu’avons-nous, sinon, à exiger des autres qu’ils se réforment si nous ne pouvons obtenir cela dans nos sociétés démocratiques ?

Ceci dit nous ne pourrions pas ou ne voudrions pas tous être des politiciens au sens strict du terme, il ne s’agit pas de cela. Faire de la politique et être politicien sont deux choses différentes. S’il est vrai que nous avons tous à chercher et à trouver quelle est la nature spécifique de notre participation, quelle est notre valeur ajoutée personnelle et comprendre comment l’exprimer, il est vrai aussi que certains contextes/situations demanderont au tisserand peinard de délaisser quelques temps son métier et de rejoindre l’Agora… A voir.

L’action tue le stress, quel qu’il soit

Je suis personnellement sortie de l’état d’importance et du stress d’inhibition dans laquelle ces événements m’ont plongée et me suis remise en mouvement, de la façon suivante :

  • En me remettant à écrire et à vous écrire
  • En projetant et investissant mon besoin d’amour, de paix, d’élévation de conscience, d’éducation et de collaboration :

– Dans la création d’une édition 2016 de l’Université d’été Transurfing au Domaine de Brocéliande e x c e p t i o n n e l l e ! (Je vous retrouve bientôt sur la toile pour une présentation plus détaillée de cette proposition. En étant inscrit(e) ICI vous les recevrez en priorité).

– Dans la prise de responsabilité et de décision quant à m’accorder plus de temps pour créer et mettre en place les nouveaux stages et dynamiques dont je suis inspirée (dont de nouveaux ateliers d’écriture, patience et merci pour ceux qui en veulent !)

– En m’investissant dans un groupe de recherche, d’actions et de partages avec et pour le développement des jeunes générations.

  • En m’accordant aussi plus de temps de créativité (plastico-ludique) et de pratiques qui me font du bien, pour nourrir un équilibre émotionnel en moi plus stable (comprenez libre des circonstances extérieures) afin de développer plus encore de sérénité, de conscience et d’amour en moi et dans mes relations proches.
  • En m’autorisant enfin, sans dramatiser, à être en panne de temps à autres et à me sentir parfois dépassée par les événements, comprenant qu’ils me donnent toujours la possibilité de grandir, me poussent à me connaître et à manifester davantage qui je suis en profondeur, pour offrir au monde miroir ma cohérence, comme puissante, simple et ultime collaboration à l’amour et à la paix.

« Ne demandez pas de quoi le Monde a besoin, demandez-vous ce qui vous rend vivant. Puis, faites-le. Car ce dont le Monde a besoin, c’est de personnes qui savent vivre pleinement. » Harold Whitman

Et vous ?

Si vous étiez en panne, comment avez-vous pu redémarrer ?

Quels sont les projets/dynamiques que vous inspirent le monde nouveau, et sur lesquelles vous avez choisi de mettre votre focus ?

Merci de m’avoir lue, dans l’attente de vous lire à mon tour

Votre toujours bien dévouée,

Tati Clara

 

 

 

 

 

 

 

– Audio replay en ligne – Conférence Transurfing, Commission Européenne 24 février 2016

Ce mercredi 24 février dernier, j’étais à la Commission Européenne, pour y donner une conférence d’introduction à Transurfing

Merci à ceux qui étaient présents, ayant choisi d’investir leur temps de pause de midi à ne pas uniquement nourrir leur corps, mais aussi de découvrir des courants de pensées, des modèles ou des outils pour questionner leur vie et se développer.

Merci pour votre intérêt, j’ai beaucoup apprécié notre échange et la profondeur des questions et du dialogue qui a suivi la présentation. Il m’a semblé que nous avions tant de choses encore à partager ! Cette seconde partie, que j’ai oublié d’enregistrer restera donc – cela lui donne encore plus de valeur – entre nous.

Voici la 1ère partie, que vous pouvez écouter en ligne (50 minutes) :

ICI AUDIO >> CEE Conférence Transurfing 24.02.2016

j'aime donner des conférences

Bonne écoute et au toujours ravie de lire vos commentaires et partages. Contactez-moi si vous souhaitez que je vienne parler de Transurfing dans votre structure ou dans votre organisation, je le ferai avec grand plaisir !

Votre dévouée,

Tati Clara

Négativité, quelle importance !?

quand je pense à ce que je penseDans sa conquête de la liberté sur la matière, le créateur quantique ayant pris conscience de l’étonnant pouvoir créateur de ses pensées et travaillé par l’Observateur sa présence à lui, se trouvera bien vite désemparé dans un premier temps face à l’expérience du flot quasi continu de pensées négatives dont il prend conscience. Confronté à l’irrépressible tendance de son mental à en produire non seulement des horribles, mais encore bien par milliers (60.000 par jour dit-on, soit plus ou moins 16 pensées négatives à la minute), il risque bien de tomber dans le piège.

Le temps de la résistance

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L’Université d’été Transurfing édition 2016 au Domaine de Brocéliande, corps à coeur avec votre légende !

images-of-love-nature-84f988-h900L’esprit de cette édition 2016 de l’Université d’été Transurfing, qui se déroulera en Bretagne dans l’environnement enchanteur de la mythique forêt de Brocéliande (Morbihan) du 29 juillet au 7 août 2016, est celui d’un retour au corps et du lien nourricier avec la Nature.

Dans cette version résidentielle et intensive du trajet d’intégration Transurfing par approche pluridisciplinaire et transversale, l’accent cet été sera mis sur l’exercice de la présence à Soi (l’Observateur), de la perception, de la circulation et de l’expression des énergies vitales dont se nourrit l’intention créatrice, afin que les compréhensions mentales puissent s’intégrer en profondeur à tous les niveaux de l’être et de la conscience, informant chacune de vos cellules de l’avènement d’une nouvelle saison : corps, âme esprit

Celle du lien au Tout et au Tout est possible. En parfaite écologie avec son véhicule corporel, conscient de sa nature essentielle et éveillé à sa divinité intérieure de créateur quantique illimité, le joyeux transurfeur que vous pourriez incarner désormais, trace sa route de façon fluide et alignée, surfant avec gratitude, joie et sérénité sur la vague de tous les succès.

Édition après édition, l’équipe de coach formateurs expérimentée a su faire mûrir et a affiné cette approche pluridisciplinaire afin de proposer d’incontournables dynamiques et processus aux effets transformateurs pérennes.

Participer à l’Université d’été Transurfing, dont une partie de la magie réside dans l’intensité d’une aventure humaine au sein d’un groupe engagé et bienveillant, c’est se donner la chance de réactualiser en soi sa vision du monde : celle d’un Univers de tous les possibles, où l’humain peut enfin librement exercer sur les réalités qu’il sait désormais créer, sa responsabilité et son pouvoir.

more magic pleaseAu programme, dans les toutes grandes lignes :

Les détails du programme :

Vous avez aimé l’an dernier la série d’articles que j’ai fait paraître où chacun des formateurs de l’Université d’été répondait à mes questions pour expliciter davantage son intention pour ce stage. Inscrivez-vous sur la page d’accueil et surveillez votre boite mail pour de plus amples informations que vous recevrez en priorité.

Un lieu d’exception :

Dans l’esprit de cette édition que nous prévoyons aussi décoiffante que ressourçante, un air d’océan et un retour à ma chère Bretagne m’est apparu propice… mais je n’imaginais pas avoir la main si heureuse ! Quittant les hauteurs du Jura qui furent le décor des deux résidentiels précédents (encore immense merci à Jef du chalet le Jura), l’Université d’été Transurfing 2016 siégera cette année au Domaine de Brocéliande, environnement privilégié et hautement énergético-mythique, dont je ne doute pas que vous tomberez aussi sous les charmes… (56430 Trehorenteuc).

foretdebrocliandeTrès confortable, ce domaine qui s’étend sur un terrain clos paysagé de 3 hectares, niché en pleine campagne du coeur de la Bretagne, est une structure particulièrement dédiée au travail de groupe, qui nous sera exclusivement réservée.

Les plaisirs de la bouche ont été confiés à la Maison des Sources, qui nous fera profiter « chez nous » d’une cuisine végétarienne de saison, produits bio ou du coin et de l’agriculture raisonnée et adaptée aux spécificités alimentaires, soit une alimentation plus que « propre » participant elle aussi à la bonne intégration des nourritures de l’âme et de l’esprit.

Je vois l’ensemble de cette dynamique d’été comme un écrin dans lequel la perle que vous êtes, vraiment, ne résistera pas à se manifester !

Conditions de participation :

Stage : 950 euros (réduction de 15 % pour des personnes ayant déjà participé à un des trajets Transurfing que j’organise – 10 % pour l’inscription en couple ou pour les personnes sans emploi).

Accommodation : 640 euros par personne, 9 jours en pension complète sur base de chambres à partager, double ou triple.

>> Transurfing Brocéliande 2016 – Formulaire d’inscription

>> Lire ici  « L’esprit de Brocéliande », paru le 20 avril 2016

L’équipe :   3 coachs formateurs à résidence et 4 coach formateurs invités

Célébrer-la-Vie-en-manifestant-l’Origine-“Je-Suis”Coachs formateurs certifiés du centre francophone Transurfing ou formateurs transurfeurs émérites ayant développé dans leur domaine de compétence un vision et une pratique transdisciplinaire croisée, l’équipe est avant tout engagée à être disponible pour accompagner chacun vers le lieu de la manifestation de qui il/elle est vraiment. L’expérience nous a montré que dans une dynamique pluridisciplinaire, c’est la multiplicité des visions de chacun combinée à l’expérience partagée qui permet, au moment le plus inattendu parfois, une percée majeure. Au delà de ce que  chacun des formateurs partagera, ce stage est avant tout un espace/temps privilégié qui vous est consacré, un lieu pour vous déposer, vous observer, vous réactualiser et vous faire du bien ; un laboratoire pour vous éveiller et vous exercer à être vous, affiner votre pouvoir de créateur quantique avant de retourner de par le grand monde pour le réaliser et le manifester selon votre voix unique.

Inscriptions :

Le groupe est limité à 16 participants pour garantir la profondeur d’un travail expansif, pour chacun. 2016 si vous comptez bien, c’est une année 9. Et le 9 c’est du neuf ! Aussi, n’hésitez pas à réserver votre place dans ce groupe sans attendre, les trains partent souvent à l’heure !

be present

Plus que vous ne pouvez l’imaginer – mais peut-être pouvez-vous je crois le ressentir !? – j’ai l’âme en fête au moment de boucler cette annonce et de confirmer ce programme qui n’attend que vous ! Je me réjouis de vous accompagner dans ce beau trajet ainsi que de faire opérer la magie en co-animant et laissant la part belle à l’intelligence collective et à ce qui s’offrira d’imprévu en vécus et partages à notre groupe.

A très vite pour la suite des informations, si vous êtes inscrits sur ce blog vous les recevrez en priorité.

Votre bien dévouée, Tati Clara

En vous remerciant de participer à faire de ma vie une célébration !

 

Vous ne direz plus « Bonne année » de la même façon

réveillonD’ici quelques heures, nous serons des milliards à nous tourner vers nos proches pour leur souhaiter chaleureusement une bonne année, une bonne santé, et toutes sortes d’autres choses aussi, pourvu qu’elles soient « bonnes », c’est l’adverbe requis.

En y réfléchissant un instant, voilà bien une formulation tout aussi hasardeuse que figée, que l’on pourrait gagner à transformer. Je dis « hasardeuse » dans le doute, cherchant encore un qualificatif plus pertinent qui devrait surgir en cours de réflexion. Voyons ensemble : Qui donc en vous s’exprime en souhaitant à votre belle-sœur une « toute bonne et excellente année ! », quand bien même vous savez que sa vie est un enfer, elle vient d’en parler toute la soirée !? Quel sous-texte derrière ce classique et pourtant vain souhait ? Et pourquoi précisément « bonne » d’ailleurs, pourquoi pas passionnante, intéressante, édifiante, profonde, créative, sereine, vibrante ou authentique année (je pourrais vous en écrire 40 sans lâcher le clavier) ? D’où vient l’affligeante uniformité d’une formule consacrée par si consacrante que ça !?

Dans notre culture où le mental est (encore) roi, on a beau le savoir qu’une bonne année, en fait, ça n’existe pas vraiment, « on » continue à se la souhaiter « bonne », c’est étrange !

C’est le soir du réveillon et tout à coup, comme par magie – une sorte de consensus d’amnésie général – on oublie le nombre de personnes qui nous ont confié « Ouf, vivement l’année prochaine c’était hard 2015 » et que (quelques fois fort probablement), dans notre for intérieur aussi, on se l’est dit. On oublie pour les autres et on oublie pour soi, on trinque pour être à point à minuit, « on enterre l’année ». C’est reparti pour un tour : « Bonne année ! »

Tati Clara t’es de mauvais poil ou quoi, ne nous gâche pas la fête s’il te plait !? Non, le moins monde, je suis incisive espérant débusquer quelque piège du mental et nous libérer d’une certaine formulation de vœux qui n’honore pas notre niveau de conscience, voilà.

Les réveillons tels que je les aime : des gens que j’apprécie, qui m’apprécient, avec qui partager un délicieux repas et une conversation profonde où chacun peut se reposer, se déposer, se décomposer, se recomposer… et profiter du retour du cercle bienveillant pour faire le point. Et pourquoi pas, en fin d’année, plutôt que de l’enterrer, en extraire l’essence ; pourquoi pas, en fin d’année, se poser un peu et regarder en arrière plutôt que de se précipiter en avant.

l'egoLa réalité se manifeste de façon duelle, créant un champ d’expérience – un terrain de jeu – dans lequel nous avons à nous positionner à chaque instant. Ce positionnement – le seul réel lieu de notre libre arbitre – face aux événements et à toute chose qui se manifeste dans notre vie – dépend avant tout de notre évaluation. Comme vous le savez, c’est en fonction de sa (ses) mémoire(s) que le mental nommera ce qui survient, le figeant/enfermant tel qu’il l’évalue dans la signification/forme attribuée dont dépend la suite (choix, décision/action, évaluation suivante).

Fait-il chaud ou froid ? J’évalue, je nomme/arrête et j’agis en conséquence. Ce regard en coin de mon voisin ce matin, est probablement dû au bruit que j’ai fait hier soir… C’est quand même dingue, pour une fois que je fais du bruit il exagère ! Tiens, moi non plus je ne luis dis pas bonjour. Le mental, au départ d’une perception que nous savons pourtant fragmentaire, filtrée, va imaginer et attribuer un sens aux choses en faisant des hypothèses – fumeuses et inadéquates la plupart du temps.

Mais revenons à la bonne année. C’est quoi une bonne année ? Une année sans guerres, sans souffrances, sans déceptions, sans frustrations, sans échecs, sans problèmes ? Cela existe-t-il vraiment ?

la vie est comme un arc en ciel...Perpétuer cette tradition de vœux « bisounours » nous entretient collectivement dans la vision mentale dualisée et polarisée du bien/mal. La vie, dans la subtilité de ce qu’elle nous donne à être et agir au travers des situations, est bien plus nuancée et ne se place pas là, loin s’en faut. Voyez-vous à quel point le jugement polarisé bien/mal enferme et ne peut produire que des déceptions, si vous croyez vraiment qu’une année est réussie parce qu’elle serait exempte de ce que le mental juge négativement. Si on le laisse nous maintenir dans l’illusion celui-là, on croirait aussi volontiers que vieillir c’est pour les autres, et que même mourir peut-être ne nous concerne pas. Lorsque viendra la douleur, la perte, le manque ou tout simplement des obstacles, nous nous préparons de la sorte des heures bien amères, ajoutant à nos peines celle de (se) juger que les choses ne se passent pas comme elles le devraient. Et comment au juste, devraient-elles se passer ?

Bonne année, tu parles ! Je me suis fait virer de ce boulot de merde auquel j’ai tout donné, ma femme est partie avec mon meilleur ami et je viens d’apprendre que j’ai le diabète ! Lorsqu’on arrête les choses par un jugement, la chose observée se fige et prend une forme définitive. Mais en réalité la vie ne s’arrête jamais et aucune portion de réalité ne peut être entendue coupée de son ensemble, au risque de la déformer. never regret.. victoria holtUne situation évaluée et donc vécue négativement et désagréablement, peut tout à fait être le point de départ déterminant d’une floraison superbe à venir. Retrouvons la personne prise en exemple plus haut et voyons comment la situation est évaluée quelques mois plus tard, car il se pourrait fort bien que le regard ait changé. Sa femme l’a quitté après des années de galère, voilà que dans un groupe de travail rejoint suite à son divorce pour tenter de s’en remettre, il rencontre une autre femme. Voilà qu’il a trouvé un autre boulot, mi-temps celui-ci duquel il retire 80 % de son ancien salaire et qu’il profite de son temps libre pour monter un projet avec sa nouvelle et délicieuse compagne. Voilà que son diabète – ouf – était une fausse alerte, et que sa santé ayant profité de son attention et de ses prises de conscience sur la façon dont il se nourrit, est meilleure qu’elle n’a jamais été. Comment est-elle, avec le recul, cette année qui lui semblait si sombre ?

chance malchanceLe chemin du zen nous propose un retour à nous, en nous, un ancrage dans la réalité à la lumière de notre âme, non séparée, responsable, ayant fait le choix conscient de s’incarner et de faire, dans l’illusion de la vie, une expérience qui ne s’évalue pas en termes mentaux, de bonne ou mauvaise. C’est parler le langage de l’âme et au départ de sa vérité que de se souhaiter une année de vie supplémentaire, tout simplement. ET si en plus, elle est bonne, e x c e l l e n t , mais ce n’est pas une fin en soi. Du point de vue – essentiel/éternel – de l’âme, il n’est pas dit non plus qu’une bonne année soit plus enrichissante qu’une année difficile…

Autrement dit, n’oublions pas ce que nos jours doivent à nos nuits !

 

coeur fil

 

Coeur rouge très joli

Pour vous, mes cadeaux de Noël

Mon 1er cadeau est un partage

Mes mots à moi sont restés en berne ce matin, incapables de se matérialiser de façon organisée pour traduire ce j’étais inspirée de vous communiquer, alors ça !

Du coup je me suis fait le documentaire « Le puissance de l’intention ». Ah, quelle très agréable découverte, voilà que tout y est dit ! Je vous le recommande chaleureusement. (et ceci dit l’inégalable « Pouvoir de l’intention » de ce cher Wayne Dyer aussi !)

Revoici dans ce documentaire très bien réalisé, l’essentiel. Formulé de plein de façons différentes. C’est un vrai régal toutes ces voix qui disent à l’unisson que oui, nous sommes responsables et capables de créer notre réalité, que nous avons simplement à apprendre mieux encore comment le faire sciemment.

J’ai eu envie de vous le partager et vous souhaite du plaisir à le visionner et à vous en inspirer pour créer chaque jour la vie que vous souhaitez vivre.

la puissance de l'intention>> https://www.youtube.com/watch?v=70Xg0cclf5Q

Mon 2ème cadeau est à la fois virtuel et concret

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