Du point de vue de Transurfing – le modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland qui nous apprend comment diriger notre réalité en connaissance des lois de l’Univers – se foutre de quelque chose équivaut à avoir une importance proche de zéro. Se foutre royalement de quelque chose irait encore mieux à la philosophie de Transurfing. Lorsqu’on parvient à faire baisser ses importances, on y gagne sur tous les plans :
Notre récupérons et concentrons notre énergie au service de la création de nos réalités
Nos tensions corporelles disparaissent
Notre état émotionnel se stabilise
Notre pensée se recentre
Notre intention et notre motivation se manifestent
Conclusion : Parce que l’importance est l’expression d’une résistance, lorsque nous sommes sans importance, nous sommes zen, notre niveau vibratoire augmente, nous voilà aimant et attractif, dans tous les sens du terme !
Quant au contraire, on se fait du mouron, quand on se sent frustré, offensé, agressif, angoissé, mal à l’aise, déprimé, autrement dit depas zen àpas zen du tout, du point de vue de Transurfing, c’est qu’il y a de l’importance. Une évaluation distortionnée de la perception de la réalité. Ce sont alors nos filtres, nos schémas mentaux, nos peurs, nos habitudes… qui nous dirigent. Ce chemin est pénible, peu efficace, tristement répétitif, nous subissons la vie. Par contre, dès que nous basculons dans la posture de l’Observateur, nous prenons de la hauteur sur notre conditionnement. Nous percevons le schéma, nous l’observons et par là-même prenons le pouvoir sur lui, nous autorisant à créer une autre réalité, impulsée par la fameuse réponse créative préfrontale, nettement plus adaptée à la situation.
Dans son article, Olivier Roland nous donne l’excellent conseil d’ « Arrêtez radicalement de vouloir plaire à tout le monde ! ».
Je veux faire ici un clin d’œil à Caroline, une de mes stagiaires qui se reconnaîtra. J’ai retenu d’elle cette phrase magique qui lui a permis de basculer totalement dans son Observateur, lâchant ses importances, dans une situation de stage où elle se sentait rejetée : « Même Jésus n’a pas fait l’unanimité… ! » a-t-elle fini par me dire en se marrant.
Vouloir plaire à tout le monde est en effet purement déraisonnable – au sens propre du terme – et est la manifestation d’importances inhérentes à notre passé, à nos blessures…
« Autorise-toi à être toi-même et autorise les autres à être qui ils sont ». Vadim Zeland
Comme Olivier Roland, qui dit ne fonctionnez pas à la chaîne, ne copiez pas des normes déjà bien définies, Transurfing nous apprend à exercer notre libre arbitre par l’Observateur, et à nous dédouaner des balanciers qui nous imposent leurs règles et cherchent à nous pomper notre force vitale en provoquant nos émotions. S’autoriser à être qui on est vraiment et les autres qui ils sont est un enjeu majeur : Le ressenti d’être ZEN accompagne forcément cet état de non résistance à ce qui est.
Quant à la troisième clé proposée par Olivier Roland « Créez une liste concise de valeurs qui vous permette de vous concentrer sur l’essentiel », elle parle bien évidemment, du point de vue de Transurfing, de placer l’intention, d’être intentionnel. Si vous ne fixez pas d’objectif, de but bien défini et que vous n’êtes pas déterminés et prêts à les recevoir, vous allez flotter, subir la réalité, passer à côté de la réalisation de votre plus grand vous-même et de vos plus belles réalités. L’intention est une décision irrévocable. Une tension intérieure vers quelque chose, qui se traduit en actions.
Si par contre, vous vous exercez à passer les commandes à votre Observateur, vous expérimenterez la création en conscience des réalités auxquelles aspire votre âme. Dans ce mode de vie-la, chercher à être zen est une question qui ne se pose même plus.
En résumé, si vous voulez être zen au quotidien :
Arrangez-vous pour faire baisser vos importances.
Autorisez-vous à être qui vous êtes vraiment et laissez les autres êtres qui ils sont.
Occupez-vous de vos affaires, soyez intentionnel et actifs, en ce compris l’ouverture et la certitude de recevoir. Les petits coups de pousse de l’Univers, ça existe, quand on est aligné et intentionnel : en Transurfing ça s’appelle l’Intention Externe. Et hop, c’est l’Univers qui vient vers vous et déroule sous vos pieds un tapis rouge, vous facilitant l’accès à vos buts.
Ça se travaille, patience !
Merci de m’avoir lue, prenez grand soin de votre bien-être et de vos rêves !
Toute démarche de développement personnel qui passe par une élévation de la conscience inclus forcément un détachement face à nos conditionnements et à nos émotions. Avec Transurfing, il s’agit d’exercer librement son pouvoir créateur, ce que la posture de l’Observateur rend possible. Nos plus belles réalités à venir seront forcément la création de notre Observateur, de notre conscience éveillée, de notre plus grand Moi, de notre Self, … bref, de cette partie de nous liée à notre âme et connectée au champ des possibles, qui plane bien au delà de notre esprit et de sa vision, distortionnée par le passé, des circonstances actuelles.
Parfait, voilà l’intention posée, mais au quotidien, dans la pratique ça se passe comment !?
Il ne s’agit pas que de décider que nous allons tout pré-frontaliser dorénavant pour que ça le fasse, mais bien de trouver les moyens de diminuer nos importances en priorité, pour éviter de créer du potentiel en excès. Le cerveau préfrontal est l’intelligence avec laquelle s’exprime et se manifeste le leadership de l’Observateur. Lorsqu’on veut lui passer le flambeau, l’Observateur aura – dans le cadre de sa mission de leader du système intérieur et des interactions avec l’extérieur – à cadrer l’esprit et à faire en sorte que ses frasques ne bousillent pas tous les plans élevés qu’il met en oeuvre pour notre plus grande joie.
Quand l’esprit (mental/ego) est dans le rouge, il fait n’importe quoi et si on se laisse déborder, il devient très difficile de le calmer mais tout aussi épuisant ensuite de tenter de rectifier les conséquences de ses éclats. Le dénominateur commun de tout ces programmes mentaux, la partie immergée de l’iceberg du conditionnement, Transurfing les nomme « importance ». Avoir une importance, être en importance, se traduit toujours par un investissement émotionnel excessif, un état d’être aveuglé par la défense d’une valeur ou dirigé par l’assouvissement d’un besoin.
Tout ce que l’importance nous aura fait penser, ressentir, agir, décider, parler, aura dans la réalité des effets tristement prévisibles : l’esprit ne « fabrique » jamais rien d’autre que ce qu’il connait déjà... En réalité il n’aspire à rien d’autre, dans sa vision étriquée polarisée des choses, qu’à nous octroyer un maximum de récompenses et à nous éviter un maximum de punitions. Le brave. Mais en fonction de quels critères ? Ceux qu’il a définis dans le passé, par rapport à ses expériences. Bonjour le contrôle et l’étroiteté du bac à sable… !
Vous (votre « âme ») avez envie de changer de réalités, l’esprit est satisfait quant à lui, de ré endosser tous les matins ce vieux costard bien trop porté. Il aime le connu, car selon lui votre sécurité en dépend.
En avançant dans la pratique de Transurfing, dans le but légitime de transformer nos réalités et de faire de notre vie une célébration, il y a cette période de passation du pouvoir de l’esprit à celui l’Observateur. Du point de vue émotionnel, c’est parfois assez mouvementé.
Pour réussir à élever nos états vibratoires intérieurs afin de créer plus librement notre vie, nous allons apprendre à laisser l’Observateur gérer les désalignements de l’esprit. Les comprendre et les accepter tout d’abord, les mettre à distance ensuite sans plus permettre que tout le système ne soit envahi et dirigé par ces mouvements émotionnels intérieurs, les schémas qui les motivent, et les scénarii récurrents qu’ils génèrent.
Il n’y a rien d’autre à faire, pour que le soleil brille, que d’écarter les nuages ! Il n’y a pas à créer le soleil, il est toujours là. Vadim Zeland n’a pas inventé que nous créons notre réalité.Nous le faisons « de droit Divin« . Il a clarifié dans son brillant modèle comment nous nous arrangeons pour créer les nuages qui nous empêchent de profiter du soleil.
Dans les groupes d’intégration et de pratique Transurfing, c’est le travail du module 2 : identifier les importances, expérimenter des outils pour les faire baisser, explorer tous les types de potentiels en excès et en libérer un bon nombre. Ouf l’énergie libre – dont se nourrit l’intention interne – circule beaucoup mieux. La légèreté caractéristique qui accompagne cet état de non importance est là. Et le travail de création s’en trouve énormément facilité, la voie est libre !
Et Si l’idée vous inspire d’expérimenter, ce weekend à Lyon, un processus libérateur, vous pouvez encore vous joindre au groupe avec lequel je travaillerai ces samedi et dimanche 10 et 11 novembre. Histoire de voyager libre et léger.
Je vous retrouve également à Paris bientôt, avec un nouveau groupe d’intégration et de pratique en 4 modules, à partir des 9 et 10 février prochains.
Le stage pilote du MODULE 5 que j’ai créé à votre attention, se déroulera en France, du mercredi 29 mai (19h) au dimanche 2 juin (17h) 2019 – Les inscriptions sont ouvertes. Avis aux transurfeurs avertis : ça va déménager !
Je vous remercie de m’avoir lue et de votre engagement envers vous même. Aimez vous tel que vous êtes, unique et exceptionnel. Le monde, Votre monde, vous le rendra au centuple !
Avant de découvrir ce qu’est pour Transurfing le charisme, j’aimerais vous rappeler deux rendez-vous lyonnais pour cette fin de semaine :
Ce jeudi 25 octobre à Lyon, je vous invite à une rencontre Transurfing, que j’animerai à la Librairie Derain >> ICI Infos et réservations
Ces samedi et dimanche 27 et 28, j’animerai le 1er module du trajet d’intégration et de pratique d’un trajet Transurfing à Lyon (Bron). Ce weekend de stage s’adresse à toute personne adulte souhaitant faire bouger sa vie dans le sens d’une plus complète réalisation et de plus facilités. Être créateur de sa réalité, ça s’apprend. Ce module 1 remet en perspective les principes de Transurfing par l’expérience et la pratique, permettant de reprendre du pouvoir sur sa réalité en se réveillant d’un cauchemar où nous aurions à subir une réalité imposée qui se déroulerait en dehors de nous. Il reste encore la possibilité de s’inscrire dans ce groupe>> ICI Infos et réservations Lyon Module 1 Transurfing à Bron
Dans la pratique de Transurfing, les choses sont plutôt claires : soit on est en posture d’Observateur pour répondre librement et de façon créative à une situation, soit on est dans l’égo/mental ( l’esprit pour Transurfing) et on « tombe » dans un des trois rôles (guerrier/offensé/demandeur), rejouant les drames de nos vies. Là, l’importance bat son plein alors que le mental commente, suppose, calcule, se plaint,… C’est l’esprit qui siège sur la situation et soutient l’expression et la défense de l’ego dans ses réactions. Le ressenti est plus ou moins dans le rouge, la perception de la réalité filtrée.
En théorie on est donc soit dans l’Observateur ou alors c’est l’esprit qui a pris les commandes. A moins qu’en pratique on ne soit souvent en transition entre les deux ? Écoutez cela. Je vous ai déjà dit que rares sont ceux qui vivent un éveil fulgurant et irréversible. L’écrasante majorité d’entre nous avons à faire des gammes et à développer nos talents de transurfeurs progressivement. Nous alternons : tantôt aligné-e sur notre Observateur, soudain pris par les fantasmes et les caprices de l’esprit quand tout à coup surgit un événement dans la journée qui vient nous égratigner. Ainsi, chercher ailleurs que dans la banalité des situations de la vie, à s’éveiller, c’est se priver de bien des occasions d’aiguiser son Observateur et faire déni de notre nature ; l’être humain est pétri d’importance.
Le but n’est pas d’être toujours authentique, par exemple, ou de ne plus jamais être inauthentique, comme si cela se pouvait. C’est une quête vaine. Le but est de réaliser aussi vite que possible qu’on est pas authentique dans l’instant, et de rectifier. Par contre, si on est dans l’intention d’être vrai, au moment d’être inauthentique, et pour peu que notre attention est bien réglée sur ON pour s’en rendre compte, nos antennes ouvertes (en mode aware Jean-Claude VD), on peut sentir à l’intérieur de soi quelque chose qui se crispe, comme le signal d’un désaccord. Réjouissez-vous, votre Observateur est bien là. Ce que vous venez de dire ou de faire n’est pas vrai et est une réaction à un de vos schémas limitants. Ce signal est un appel du pied de votre Observateur qui saura comment vous sortir d’affaire si vous lui repassez la main. Parfait, choisissez maintenant les mots, l’action ou le comportement qui s’imposent pour rétablir les choses vers l’extérieur et l’harmonie en vous, en fonction de votre intention.
Vous voulez un exemple, en voici un personnel : C’était il y a longtemps, mais je n’ai pas oublié. Un ami me demande de passer avec lui chez quelqu’un que je ne connais pas, à qui il devait déposer quelque chose. A notre arrivée vers 21h (ce qui m’apparait comme tardif !), la personne qui n’avait pas été prévenue de notre visite, nous accueille poliment et me demande si je veux boire quelque chose. A ce moment là, je suis certaine qu’on la dérange. Ma réponse a fusé : à mon grand étonnement, je réponds « non merci on ne fait que passer, ne vous dérangez pas ». Je dis à mon grand étonnement car en réalité j’avais vraiment soif ! Immédiatement je ressens le petit bzzz intérieur, et courageusement je brave mon esprit et me lance tout de suite derrière et l’interpelle :
« Excusez-moi… Vous me proposez gentiment à boire et moi je refuse, par peur de vous déranger. Or j’ai soif c’est vrai. Merci de votre bon accueil, je boirais volontiers un verre d’eau». Et hop, réalignée l’affaire. Faute de quoi, c’est moi qui aurais été dérangée, désorganisée, désharmonisée à l’intérieur. Ce qui aurait aussi biaisé les choses à l’extérieur, du point de vue de la rencontre.
Alors je peux vous assurer que ça le fait ! ça intime le respect cette simplicité que de savoir montrer sa vulnérabilité avec tranquillité. Oser être qui on est vraiment. A l’intérieur de moi la différence vibratoire est palpable. Dans l’instant le résultat du réalignement de mon esprit sur mon âme est déjà là : Je me sens bien, mon cœur s’est ouvert et je ressens quelque chose entre de l’enthousiasme et de la sympathie, je me sens disponible à ce qui est, en accord avec moi-même, ce que notre hôte manifeste aussitôt en retour :
« Allons, allons, pas tant d’histoire ! Je ne m’y attendais pas, mais en fait je n’avais rien de spécial faire et je suis vraiment heureuse de votre visite, venez-vous asseoir, mettez-vous à l’aise… » L’histoire n’aurait peut-être pas retenu mon attention ni permis que je m’en serve si sa fin n’avait été surprenante : Non seulement nous passâmes chez cette personne une soirée mémorable, mais aussi, ce fût entre elle et moi le début d’une grande amitié.
Oui, c’est bien cela la base du charisme. Quelque chose d’harmonieux entre ces différentes instances en soi, qui vous rend aimant (dans les deux sens du terme). Je ne m’en souvenais pas mais voici ce que j’ai relu dans le tome 3 de Transurfing, où Vadim Zeland nous dit que « le charisme est l’amour mutuel entre l’âme et l’esprit. »
Lorsque, via l’Observateur, nous mettons l’esprit au service de notre grandeur, sous la tutelle de l’Observateur dont l’esprit accepte le leadership, cela génère en soi de l’Amour. Vous voilà aimant. Et l’Univers, de vous répondre, en suscitant pour vous de l’amour chez les autres aussi !
Je vous remercie de m’avoir lue, à bientôt pour la suite de l’aventure Transurfing ! D’ici là, prenez particulièrement soin de vous et de l’harmonie de votre famille intérieure ♥
Votre dévouée,
Tati Clara
N.B. : Je prie les personnes qui ont reçu ma précédente newsletter en x x exemplaires de bien vouloir m’excuser : il y a eu un bug de script chez les développeurs de mon auto-répondeur. J’espère que cela ne se reproduira plus, merci pour vos adorables messages et de votre patience !
Il existe dans la langue française de ces pièges dont souvent nous ne mesurons pas la portée créative. L’usage du verbe être à tout venant peut avoir de fâcheux effets pour les apprentis co-créateurs que nous sommes. En effet l’auxiliaire être, comme les autres verbes d’état, est un verbe magique, qui opère en permettant d’attribuer au sujet une qualité ou une caractéristique.
C’est la rentrée – perso j’adore ! Les années passent mais la rentrée de septembre me convoque avec toujours autant d’enthousiasme et de puissance. Plus porteuse pour moi que celle de janvier, je me sens riche des aventures et des rencontres de l’été, et me voilà devant la vie avec de nouvelles perspectives, corps à coeur avec mon âme, dans une intention si ferme et confiante que l’Intention Externe (en langage Transurfing) en frémit déjà.
Lorsque j’ai commencé à animer des groupes Transurfing, il y avait presque toujours parité de genre. Je m’en réjouissais, tant il est rare que ce soit le cas dans le secteur du développement personnel, selon les dires de collègues.
Je comprenais que ce devait être grâce au côté rationnel et à la logique imparable qui fait la force de l’œuvre de Vadim Zeland, l’auteur de Transurfing. Après tout, il a une formation de scientifique. Diriger sa réalité, voilà une promesse alléchante qui doit séduire plus d’un homme. D’autant plus que, en cohérence avec les nouveaux paradigmes, ce modèle de pointe fait aussi la part belle à une fine collaboration Yin/Yang. Quoi de plus actuelle approche !?
Ainsi, il permet à chacun, homme ou femme, de manifester plus amplement son pouvoir créateur en s’autorisant à explorer et investir toutes les nuances de la polarité : tant ses forces yang – le pouvoir, l’intention, la détermination, l’engagement dans la matière, mais aussi l’assouvissement des besoins de l’ego, sans lequel on ne peut rien ici bas ! – qu’investir ses forces yin, en gardant le contact gps avec sa plus grande intelligence, laquelle n’est pas toujours la plus rationnelle. La voix/voie de l’âme, celle du coeur, et aussi ce sixième sens dont nous sommes tous équipés. Ce mode pré-frontal de l’Observateur, par lequel nous pouvons faire l’expérience d’être reliés à l’espace des variantes et à la Source de l’énergie libre dont se nourrit notre intention interne. Une bien belle collaboration, et quelle puissance ! Ce travail d’exploration et d’exploitation des polarités qui sont à la base de l’expérience duelle du monde manifesté, est au cœur du travail d’intégration et de pratique Transurfing. hommes et femmes s’y retrouvent. Le 3ème millénaire est en marche !
J’ai ainsi assisté, émerveillée, au travail de nombreux groupes mixtes, dont la dynamique était amplifiée par ces forces en présence. Quoi de plus puissant et de plus naturel, que de réfléchir ensemble – hommes et femmes – comment les assumer plus pleinement, ce pouvoir illimité auquel Transurfing nous invite et la responsabilité qui en découle ?
Aujourd’hui c’est moins le cas, les groupes que j’anime sont devenus plus largement féminins. Est-ce un hasard, ou une tendance avérée ? Et je me questionne : où restent les hommes ? Et je dis : qu’ils n’y restent pas trop longtemps, là où ils restent (sans vouloir aucunement souffler sur le feu de l’opposition). Car le sentez-vous comme ça bouge, comme le temps est pressé, comme le monde de demain nous appelle à grandir, urgemment, TOUS ensemble !?
Que va-t-il se passer si la tendance se confirme et que de plus en plus de femmes continuent à se développer tandis que les hommes ne suivraient pas ?
Sont-ils occupés « ailleurs » pendant que de nombreuses femmes se questionnent et remettent sur l’établi quantique leur ouvrage de créatrices de réalités, encore et encore. Peut-être que Transurfing inspire toujours les hommes et que la simple lecture du modèle leur permet de le pratiquer, sans ressentir la nécessité de venir intégrer et pratiquer en groupe ?
Mais peut-être aussi que certains hommes se font une idée erronée du travail qui se fait dans les stages ? Certains d’entre eux manqueraient-ils de courage pour y venir ? Je l’ignore. Peut-être devrais-je demander à Olivier Masselot, qui gère le Centre Francophone Transurfing, si la tendance se confirme du point de vue de la proportion hommes/femmes des nombreux abonnés de la newsletter ?
Permettez-moi donc de vous préciser que Transurfing n’est pas une méthode de plus, Transurfing n’est pas une thérapie, Transurfing n’est pas que théorique, Transurfing n’est pas difficile, Transufing n’est pas austère.
Pratiquer Transurfing, c’est surfer sur le courant de facilité. Le modèle de Vadim Zeland est une puissante représentation métaphorique de l’Univers, de ses lois, et de la façon dont nous interagissions avec lui à chaque instant de notre vie, créant notre réalité au fur et à mesure.
Ce modèle comportemental simple, pratique et très concret, ne nous demande pas de changer qui nous sommes, mais au contraire de nous connaître, de nous accepter et de nous autoriser à être tel que nous sommes – chacun unique et exceptionnel – d’être intentionnel (volitif serait plus précis) et de confier la direction de notre existence à notre Observateur, pour qu’il y réponde de façon créative et légère, dans le pouvoir et la responsabilité, en fonction des aspirations profondes de notre âme, et non en fonction des réactions conditionnées et limitées de l’esprit. Le mental, l’ego sont puissants eux aussi. Lorsqu’on a appris à les cadrer, ils sont plus sereins et font des merveilles dans la matière !
Alors Messieurs, où restez-vous ? Voilà, les questions sont posées, merci d’éclairer notre lanterne en nous partageant votre commentaire, et en nous disant ce que la formation d’intégration et de pratique Transurfing a permis pour vous, pour ceux d’entre vous qui l’ont faite.
Si cela vous tente de faire bouger les choses pour vous et de rejoindre vous aussi le courant de facilité, intérieurement et dans votre réalité, en miroir, rejoignez le groupe qui démarre en Bourgogne le cycle résidentiel pluridisciplinaire de l’université d’été Transurfing : c’est dans 1 jours et il reste 3 places ! Pour des hommes ?
C’est qu’on vous adore, et que rien ne nous est plus séduisant – à nous les femmes – que quand vous êtes tout à la fois présent, dans votre pouvoir illimité et dans votre pleine responsabilité, travaillant vous aussi, à élever votre niveau de conscience et de taux vibratoire, à libérer votre force créatrice. Car ce qu’on aime, c’est vibrer avec vous !
Merci de m’avoir lue, je souhaite encore à chacun de belles expériences estivales, pour cette saison si propice tant au lâcher prise et à l’expérimentation de réalités nouvelles, qu’au repositionnement, afin de pouvoir accueillir bientôt les changements et l’évolution auxquels vous aspirez.
Sur les starters, votre dévouée
Tati Clara
Mais dans l’immédiat, place à l’université d’été, je m’en vais de ce pas boucler ma valise !
Ps : Si vous êtes tentés par sachez que j’animerai un trajet d’intégration et de pratique en 4 we sur Lyon, à partir d’octobre. Les inscriptions sont ouvertes
D’ici quelques jours les portes de l’Université d’été Transurfing 2018 s’ouvriront pour leur 6ème édition, en Bourgogne (côte d’Or), aux Gîtes du Moulin de la Forge, du 21 juillet (18h) au 31 juillet (10h). Dans cet article vous trouverez la liste des ateliers et intervenants pour un programme 2018 unique à l’attention d’un groupe unique, auquel il est encore possible de participer. A J-6 il reste deux ou trois places et je me demande qui seront-ils, qui seront-elles cette fois-ci, les inscrit(e)s de dernière minute. Vous qui me lisez ?
Ce matin un ami m’a appelée et sortie du lit à l’aube, pour m’annoncer qu’il me rembourse d’une somme qu’il me doit depuis longtemps… Formidable ! J’avais l’intention de dormir plus longtemps pourtant je ne me suis pas recouchée, être levée à l’aube en ce beau jour de juillet est une grâce. De toute façon, la gratitude d’avoir reçu ce matin ce remboursement providentiel d’une somme, identique au cent près, à celle promise à quelqu’un pas plus tard qu’hier soir pour l’aider dans un de ses projets – a fini de me réveiller et de me passer toute envie de dormir. La vie m’appelle.
Un café et me voilà pleine de l’enthousiasme et des promesses de ce matin d’été, déjà sur la terrasse, avec l’envie de vous écrire, en me demandant QUI parmi vous qui me lisez peut-être rejoindra encore le groupe ? Alors je songe aux éditions précédentes, je revois des images, des moments forts, les magnifiques lieux où nous avons toujours été si bien accueillis, je me connecte à mes anciens stagiaires. C’est intense, mon enthousiasme à transmettre et à me dépasser pour le faire toujours mieux est un puissant levier. Je pense bien évidemment au stage qui commencera dans une semaine, à ce groupe que je ne connais pas encore mais qui me marquera et marquera chacun de ses membres, je me projette et je souris intérieurement, consciente et confiante que nous allons vivre là une très belle session.
Chaque année, c’est pareil, je reçois des demandes de dernière minute. J’ai beaucoup d’amitié et de complicité avec ceux là, qui sautent dans le train au dernier moment. Et je me demande qui ils seront, tous ceux que l’on découvrira dans le cercle, et avec lesquels on va vivre et partager tant de choses.
Le résidentiel d’été d’intégration et de pratique Transurfing, stage pluridisciplinaire animé par plusieurs coachs formateurs et experts, est chaque fois avant tout une grande aventure humaine. En dehors du temps et de l’espace, ce travail sur soi dans un lieu magnifique, c’est intense, et ça crée des liens forts. Chaque groupe est unique, tout comme chaque individu qui le constitue. Enlevez une personne, ajoutez-en deux et hop, ce n’est plus le même groupe. Mais toujours unique et exceptionnel, tout comme chacun l’est.
Récemment, une personne s’est inscrite en me disant qu’elle avait souri intérieurement et « déclenché son inscription » en lisant ma phrase clin d’œil, sur le flyer de l’université d’été : « Nous déclinons toute responsabilité en cas de transformation majeure dans votre vie suite à votre engagement dans ce stage« . Quelque chose en elle a reconnu là ce qu’elle cherchait : une réelle possibilité d’être étonnée, surprise, ravie, libérée, enthousiasmée peut-être et rendue ensuite à sa vie avec de nouvelles perspectives. C’est bien cela un séminaire : comme l’étymologie du mot l’indique, c’est une pépinière, on y sème les graines de belles réalités à venir.
Mais la vie et la puissance d’un groupe en résidentiel, c’est bien plus que les éléments d’un programme, tel que je vous le communique plus bas dans les grandes lignes. Cette expérience de notre humanité qui se cherche et se trouve au travers des partages, des résonances, des remises en question, des percées, permet ensemble, de trouver et expérimenter quelque chose de précieux, que seul permet la dynamique du groupe. Je me souviens d’une stagiaire, benjamine d’une fratrie de 13 enfants. 13, vous imaginez ? Ce qu’elle a amené et guéri dans et par le cercle, à propos de son histoire, c’est pour l’ensemble qu’elle l’a guéri. Le groupe, ça décuple tout. Aussi, dans l’atelier d’initiation à la guérison quantique que j’ai le plaisir d’animer, on expérimente quelque chose de très fort. Grâce à l’énergie et la réalité vibratoire du groupe, qui est bien plus que la somme des parties – la force des soins est amplifiée. Ce sont des conditions idéales pour l’expérimentation. On peut concrètement faire l’expérience de l’énergie et des flux guérisseurs qui circulent. Dans d’autres ateliers, où on travaille la relation aux autres, on expérimente un processus unique de frailing (communication d’âme à âme), pour résoudre un vieux conflit ou améliorer une relation qui nous tient à cœur. Le stage se termine à peine, on s’échange des nouvelles par mail et un stagiaire nous dit : « C’est magique ! Tout ce que j’ai communiqué à X dans l’exercice, et bien, il en a tenu compte. Tout ce que je lui ai demandé, c’est comme s’il l’avait capté à distance, car il l’avait déjà fait quand je suis rentrée ! »
Bref, …. je pourrais vous en raconter d’autres et vous en parler encore longtemps. Toujours est-il que ce sont des mots. Cela ne remplace jamais l’expérience. D’autres avant vous ont fait le pas, et leur vie s’en est trouvée transformée et désormais transformable en permanence, s’il n’oublient pas que nous créons chacun notre réalité, instant après instant et que c’est là un privilège qui demande une response-habilité face à soi et à la vie. >> ICI Témoignages
Alors, ce programme ? Je ne donnerai pas les détails, l’effet surprise faisant la force de certains processus et expériences.
Il y a en principal, les sessions Transurfing, tout le long du séjour. Et pas toujours en intérieur, croyez-moi ! Nous y abordons 4 thèmes majeurs, qui constituent les 4 modules du trajet d’intégration et de pratique donnés en 4 weekends pendant l’année.
Le 1er module, c’est le réveil, la question cruciale « d’où je pars ». Il s’appelle « Dirige ta vie », on y remet en perspective les grands principes Transurfing et on en fait l’expérience.
Le 2ème c’est la chasse aux potentiels en excès et aux importances. On libère, on guérit, on pardonne et on y gagne en énergie. Il s’appelle « librement et légèrement ».
Le 3ème c’est l’ouverture, les questions sur le But, l’intention, où je veux aller ? Le rapport à l’abondance, à l’argent. Ce module est intitulé « Comme dans un jeu ».
Le 4ème, c’est la cerise sur le gâteau, le cœur de l’affaire quantique, les affaires de cœur. La relation à soi, aux autres. C’est l’ouverture à l’énergie créatrice de l’amour, dont la force d’attraction est irrésistible. Le module 4 c’est le « Tout devient possible ».
On alterna les points théoriques, les mises en pratique, l’expérimentation d’outils puissants et aussi des expériences hors du commun, ainsi que des partages et réflexions de groupe qui favoriseront les prises de conscience et leur ancrage.
La version résidentielle du trajet d’intégration et de pratique est une variante du trajet de base. Je l’ai personnellement modifié, enrichi d’exercices et adapté au fur et à mesure de mon expérience dans les groupes. Il y aura notamment des sessions de type atelier d’écriture – L’écriture est un outil exceptionnel pour la connaissance et le développement de soi, tout aussi « magique » que ludique – et de bien d’autres approches et dont j’ai extrait l’essentiel que je mets en lien avec Transurfing pour vous en faire profiter.
Aussi, si vous avez déjà fait un trajet d’intégration et de pratique et que vous voulez vous replonger dans cet état d’esprit, dans l’Univers Transurfing, pour pratiquer encore en groupe, vous êtes le bienvenu, la bienvenue. Plusieurs stagiaires l’ont déjà vécu et chaque fois c’est idem : « Claire, tu es certaine qu’on avait déjà fait cet exercice ? ». Oui, mais différemment, avec d’autres contenus, d’autres modalités. La pédagogie, vous le savez, c’est mon dada à moi, au delà de Transurfing. A l’école des arts de transmettre, j’apprends toujours davantage et j’ai un plaisir immense à créer des exercices nouveaux, inspirés de mes découvertes. L’université d’été est le lieu idéal pour ces partages d’expériences, je la vois comme un laboratoire quantique. Dont nous serons les laborantins.
A l’université d’été, une fois n’est pas coutume, on a le temps ! Et j’aurai tout le temps nécessaire pour vous transmettre le précieux de mon parcours et de mes récentes compréhensions des choses. Je ne suis pas un maître mais suis – avec le temps ma petite dame – devenue maître dans l’art d’accompagner des personnes dans leur guérison et leur accomplissement. Peut-être aujourd’hui est-ce votre tour !?
Le résidentiel est un voyage hors du temps et de l’espace, hors de nos quotidiens exigeants. On y est à résidence, 100% présent, disponible. Alors que dans les stages we, on s’interdit toute question de contenu pendant les pauses – on a tout juste le temps d’aller aux toilettes et d’avaler un café entre deux sessions – A l’Université d’été le temps s’étire et le précieux jaillit de n’importe d’où, au détour d’une conversation entre deux transats. On match, on clic, on yessss, on eureka, on boucle des boucles, on ouvre des portes, ça bouge, c’est perceptible, là !
Chaque matin à 8h45, nous avons rendez-vous avec Genny Gesbert pour un atelier Qi Gong – avec Transurfing, un esprit sain dans un corps sain prend toute sa mesure. Le travail sur la circulation de l’énergie, les perceptions corporelles, l’attention au corps et aux mouvements intérieurs (émotions) aide beaucoup la posture de l’Observateur et soutient merveilleusement le travail de tout pprenti créateur.
Je vous initierai à la guérison quantique, telle que je la pratique depuis 6 ans (certifiée méthode des deux points). Tout le monde a « reçu » le pouvoir de capter l’énergie libre et guérisseuse de l’Univers et de la diriger vers soi ou vers quelqu’un, un équipement de base du transurfeur – Rien que pour soi-même c’est précieux, s’ouvrir à l’expérience de l’invisible renforce notre foi d’être lié énergétiquement à tout l’Univers. Plus c’est vrai, plus c’est vrai et plus vous en ferez l’expérience. La réalité, dit Vadim Zeland, se passe en dehors de vous, jusqu’à ce que vous y croyez. » Venez rencontrer l’âme agit avec Transurfing.
Nous aurons des ateliers d’exploration créative avec l’artiste Marige Ott. Nous impliquerons nos mains, notre poésie, convoquerons les symboles, les matières, le jeu et les résonances des couleurs. Pour créer et exprimer/transposer/transformer par et dans la matière – ce qui se vit et s’expérimente dans l’être, afin aussi de garder des traces de notre trajectoire.
Au delà la nécessité de bien comprendre les lois de l’univers il est essentiel d’en apprendre plus sur soi et sur la façon dont nous faisons tous de l’anti-transurfing, sur la façon dont nous nous sabotons et réagissons à la vie plus que nous n’y répondons, lorsque la conscience dort, créant toutes sortes de récurrences et de réalités décevantes. L’ennéagramme est un outil étonnant de connaissance et de développement de soi, j’ai donc sollicité Benoit Bellaire, qui est à la fois coach Transurfing et formateur certifié Ennéagramme (ainsi qu’expert en PNL, spirale dynamique et autres), afin qu’il crée à notre attention un atelier spécial Ennéagramme/Transurfing.
Voilà pour le principal en journée, qui se terminera autour de 19h30. Ensuite nous dînerons.
En dehors d’un après-midi de pause pédagogique à mi-séjour, nous voulons permettre à ceux qui en ont besoin, de bien se reposer, car le séjour est long et le programme intense. Aussi, l’intégration d’un travail profond demande souvent au corps plus de repos. Un peu comme après une bonne séance de kiné ou d’osthéo, après laquelle il est vivement recommandé « de se poser ».
Cette année, les soirées seront consacrées à des causeries. Elles sont optionnelles, c’est à vous de voir. Un intervenant coach et expert pour un conférence interactive de 1h15 chaque soir (presque). Extinction officielle des feux à 22h30. Maintenant c’est à vous de voir. Si déjà la nuit, tous les chats sont gris… faut pas demander quand c’est l’été ! Souvent des conversations se prolongent, au gré de chacun et de la douceur de la nuit. C’est ça aussi, l’université d’été Transurfing.
Genny Gesbert peut partager pendant des heures, je n’en doute pas. Reiki, Qi Gong, méditation, hypnose, techniques de modification de conscience, et autres, on a dû mal à choisir ! C’est en fonction de qui résonnera dans le groupe, qu’elle prendra le bâton de parole pour une causerie dont elle nous garde la surprise.
Olivier Masselot, nous parlera par Skype, des polarités et d’outils concrets nouveaux pour faire baisser les tensions mentales. Il est le spécialiste du mode préfrontal et de la posture d’Observateur, son approche est très pratique.
Marc Brissi est Praticien Acces Bars, coach et consultant. Il supervise également la bonne organisation des séjours aux Gîtes du Moulin de la Forge avec sa femme Valérie, auquel il se consacre désormais. Il nous parlera des soins énergétiques Acces Bars (séance individuelle possible en option)
Benoît Bellaire, coach Transurfing, et formateur en Ennéagramme. Sa causerie de présentation du modèle de l’Ennéagramme, sera une introduction à l’atelier pratique qu’il animera, en lien avec Transurfing.
Ainsi que le fera Benoît pour l’Ennéagramme, je profiterai des soirées causeries pour vous parler de guérison quantique, en introduction de l’atelier
En fin de séjour, nous accueillerons Anne Dupin, hypno-thérapeute, psycho-énergéticienne et transurfeuse (c’est sûr j’en oublie). Sa causerie sera interactive, sous forme d’un atelier et elle participera aux sessions du groupe pendant ses deux jours de présence parmi nous.
Et peut-être encore d’autres intervenants causeries surprises, dont peut-être Vous !?…
Voilà, le principal du programme est dit. En bref : ça va être fort. Si vous voulez apporter du sang neuf dans votre existence, venez tout simplement. Et impliquez vous. Car vraiment, votre engagement dans ce stage peut avoir un impact déterminant sur vous et votre capacité à être heureux et vous créer une vie joyeuse, pleine et légère.
Des difficultés financières ne devraient empêcher personne de participer. Parlons-en.
Rendez-vous sur place, cette semaine je me consacrerai à préparer les derniers détails de cette édition qui s’annonce passionnante (les détails d’organisation du séjour vous parviendront par mail ce mardi au plus tard).
Depuis la terrasse qui donne sur mon adorable jardin, je vous embrasse chaleureusement et souhaite à chacun et à chacune un lumineux été. Prenez grand soin de vous !
Depuis 6 ans, j’ai le plaisir d’organiser et de co-animer ce stage résidentiel de réalisation individuelle quantique, par approche pluridisciplinaire. Qu’est-ce que cela veut dire ? Non, l’Université d’été Transurfing n’est pas un séjour où on fait « un peu de tout », pour le plaisir. C’est un stage où, avec plaisir, on approche « la matière » avec plusieurs coachs formateurs, par différents angles et à plusieurs niveaux de l’être, où on croise les compréhensions et les pratiques dans un processus progressif, afin d’en favoriser une intégration en profondeur.
Je m’amuse souvent à ajouter la mention « Nous déclinons toute responsabilité en cas de transformation majeure dans votre vie suite à votre engagement dans ce stage ». Ce dispositif pédagogique unique, long et intense (10 nuits, 9 jours de formation) est une véritable initiation, qui peut avoir dans votre vie un impact déterminant. Certains me disent… c’est long ! Oui, il faut bien ça pour fomenter des révolutions. Dans l’onglet témoignages, vous pouvez en prendre la mesure.
Loin de votre vie quotidienne, immergé-e dans un très beau lieu au sein d’un groupe dynamique et bienveillant, pour une période entièrement dédiée à votre développement, l’Université d’été Transurfing est ce qu’il vous faut pour transformer radicalement votre point de vue et votre rapport à la vie, à vous-même et aux autres. Qui dit changer de regard, dit, en termes de Transurfing, changer de réalité. Vadim Zeland, l’auteur de Transurfing, nous dit bien de ne pas le croire quand il dit qu’on peut diriger la réalité, mais d’expérimenter et de voir si ça marche pour vous. Ce stage intensif – véritable laboratoire quantique – est un espace de prédilection pour cette expérimentation.
L’intensité de ce travail d’apprenti co-créateur – qui inclut entre autres de revisiter ses croyances, de faire la paix avec son passé, de placer correctement son intention et d’ouvrir son cœur en grand pour recevoir les merveilles que l’on peut co-créer main dans la main avec « son monde », bref d’apprendre comment se comporter dans la vie en fonction des lois quantiques de l’Univers – nécessite aussi de s’investir dans et par le corps, afin que circule l’énergie et que puissent se dissoudre des mémoires émotionnelles et des schémas mentaux limitants qui se « décrochent ». Mais aussi, pour que se développent les perceptions corporelles, dont se sert l’Observateur pour nous guider. Avec Transurfing « un esprit sain dans un corps sain » prend toute sa dimension, Vadim Zeland insiste beaucoup sur cet aspect.
Cet été, c’est à Genny Gesbert que j’ai confié un atelier matinal quotidien de Qi Gong consacré à la mise en circulation des énergies vitales, au développement des perceptions et ressentis corporels (activation du GPS de l’Observateur) et autres expériences guérisseuses dont elle nous fera la surprise.
Qi Gong, Reiki, hypnose éricksonnienne, Arts Martiaux,… son parcours est impressionnant et nombreux sont ses outils. Genny est en formation permanente.
Je viens d’apprendre qu’elle participe à une rencontre de professionnels en TAC (Techniques d’Activation de Conscience), où des médecins chercheurs enseigneront les toutes dernières découvertes en Neurosciences. Que de richesses dont elle nous fera bénéficier ! Elle sera « à résidence » et participera aux sessions du groupe tout le long du séjour.
Voici l’échange que j’ai eu avec elle :
Q : Quels liens Genny faites-vous entre ce que vous proposez et Transurfing ?
Le corps ne peut être séparé de l’esprit.
Le corps engramme des mémoires depuis le moment de la conception, jusqu’à l’instant où vous vous trouvez là maintenant, dans ce processus, ce cadeau que vous êtes venu chercher en vous inscrivant au Transurfing.
Des mémoires à notre insu peuvent ressurgir, des « lapsus corporels » peuvent remonter en surface et devenir douloureux, je parle de ces nœuds et réactions émotionnelles faisant de vous un appât pour les balanciers, qui peuvent surgir et envahir l’être, le privant de son lire arbitre.
Vadim Zeland nous dit : Lorsque le stress est venu jusque dans le corps, c’est aussi par le corps qu’il faut le dissoudre.
Q : En quoi une pratique quotidienne qui met en mouvement le corps, l’esprit et l’énergie est-elle utile dans ce type de stage ?
Alors, mettre le corps en mouvement de manière agréable dans une autre culture, telle une métaphore, peut servir à faire passer en douceur ces moments particuliers de mise à jour nécessaire à la prise de conscience :
Mettre de la conscience, de l’observation, du sens dans l’intérêt de prendre soin de soi et d’être à l’écoute de ses ressentis. Il s’agit de mettre en éveil ce corps qui nous est prêté et qui est une merveille.
Les japonais disent « le corps est le temple de l’âme » (Jigoro Kano maître créateur du judo) : Prenons-en soin le temps de notre passage, apprenons à l’écouter. Le mouvement c’est la vie, et ce mouvement de la vie en nous, c’est aussi l’émotion qui nous traverse.
Q : Comment s’est passé votre propre rencontre avec Transurfing ?
Un jour, un de mes élèves en Reiki me dit : « Tu parles comme Vadim Zeland ». Et moi de lui répondre : « Qui c’est celui-là? «
Un livre, prêté par ce même élève… et lorsque je lis Transurfing, ce livre parle à toutes mes cellules. Je le vis comme un eurêka, un « mais oui mais c’est sûr!!!! »
C’est tout comme d’autres éléments de progression qui se sont présentés à moi « par hasard » et ont été des moteurs dynamiques pour aller plus loin dans la compréhension de ma mission de vie qui est la transmission par et à travers le corps…
Quant à la magie de Transurfing, je voulais faire ce stage pour me rendre compte en direct des protocoles et processus de ce Monsieur Vadim Zeland et du travail de l’équipe de coachs du Centre Transurfing Francophone, et vous m’appelez pour me dire que vous êtes intéressée par le Qi Gong et mon profil. Le contact passe bien et… Cerise sur le gâteau ! Je me retrouverai à la fois des deux côtés de la barrière (participante et formatrice pour les ateliers du matin)
C’est, une fois de plus, le fil conducteur de toute ma vie : Je me retrouve souvent des deux côtés de la barrière… C’est riche ! Je suis métis et je fais souvent les ponts, les liens et je rencontre la différence, la richesse de toutes les histoires personnelles. Mais plus que tout, c’est l’Humanité partagée derrière toutes ces rencontres qui m’inspire. Chaque étudiant de mes cours depuis 28 ans est un maître pour moi, et j’ai hâte de rencontrer les aventuriers de cette université d’été Transurfing 2018.
Nous aussi, Genny, nous nous réjouissons de votre présence parmi nous et de tout ce que vous aurez à nous partager de très précieux, et sommes impatients d’y être !
A ce jour il nous reste encore la possibilité d’accueillir quelques personnes dans ce groupe, contactez-moi sans attendre si vous sentez l’appel et osez y répondre, et pour toute question que vous vous poseriez quant à votre participation à ce stage, j’y répondrai avec plaisir.
Si le processus est en partie volontairement « surprise » dans le cadre de ce séjour expérientiel, d’ici quelques jours je vous en dévoilerai encore un peu plus, dans un article reprenant tous les ateliers proposés et intervenants de cette édition 2018. Inscrivez-vous sur la page d’accueil pour le recevoir en priorité dans votre boite mail (en ayant pris soin d’ajouter taticlaramail@gmail.com dans vos contacts)
Été 2018, un vent de nouveau, vous le sentez !?
Merci de m’avoir lue, à très vite, prenez grand soin de vous.
Depuis sept ans que j’ai la chance de transmettre le modèle Transurfing, j’ai évidemment continué mon parcours, fait bien des découvertes et vécu de belles expériences, en termes d’accomplissement de soi, de techniques de libération des émotions et autres outils/pratiques vers plus de conscience, venus garnir mes savoirs être et faire de coach, et affiner mon discours de formatrice. Ce qui reste étonnant pour moi, c’est à quel point Transurfing est un modèle qui reste à la pointe. A la fois si complet et si complètement ouvert, que beaucoup d’autres modèles/techniques/sagesses, y ramènent et permettent de mieux le pratiquer et le transmettre.
Lorsque vous maitrisez les principes de base de Transurfing – principes avec lesquels tout apprenti co-créateur dont l’intention est d’être conscient et responsable, n’aura pas de mal à être d’accord, en théorie tout le moins -, la vie devient rapidement facile : vous voilà déjà dégagé du sentiment de fatalité qui est la vérité de ceux qui croient que la réalité se passe « en dehors d’eux ». Cette étape de la responsabilité est déterminante, très difficle à franchir pour certains. Si je choisis de croire que le monde est mon miroir, c’est valable pour chaque jour de la semaine. Comprenant cela, je perdrai – de moins en moins à plus du tout – de mon énergie à batailler et chercher un coupable à l’extérieur de moi. Plutôt, je m’amuserai avec l’Observateur à voir/comprendre ce qui en moi, a été projeté dans toute réalité que je vis. Les grands Maîtres pour qui c’est complètement intégré, en viennent à remercier ceux qui les égratignent : merci mon ami de me donner la chance de voir quelque chose qui, en moi, bloque le flux de la vie. Ce faisant, tu me permets de l’observer, de le revivre consciemment et de le guérir.
Parmi ces principes à la base du modèle Transurfing, il y a celui de l’importance, qui se manifeste dans nos comportements et crée les potentiels en excès et leurs fâcheuses conséquences, lorsqu’une situation la titille, bafoue la valeur qui la motive ou au contraire potentiellement la flatte. L’importance c’est le principe clé, c’est elle qui rend visible (et donc modifiable, conscient) le conditionnement dont elle est le résultat. Vous voulez apprendre à diriger votre réalité comme Transurfing le propose, à vivre de nouvelles réalités, faites la chasse à l’importance, c’est super facile, vous faites mouche à tous les coups !?
Pour faire le lien avec ce cher William, voici un texte de lui (en grasItalique orange), dans lequel j’ai trouvé un esprit qui colle pas mal avec la pratique de Transurfing (si ce n’est un ton légèrement docte, dont Vadim Zeland nous fait grâce) :
« Je me sens toujours heureux, savez-vous pourquoi ?
Être toujours heureux – c’est-à-dire comme une disposition intérieure indépendante des circonstances extérieures – est la plus parfaite façon de transurfer. Être heureux d’un point de vue vibratoire (ou seulement émotionnellement stable) est la meilleure chose à être pour attirer toujours plus de raisons – situations, contextes, lignes de vie – de l’être !
Parce que je n’attends rien de personne ; attendre fait toujours mal.
Il y a dans l’attente quelque chose du demandeur, ne trouvez-vous pas ?
Les problèmes ne sont pas éternels, ils ont toujours une solution, la seule chose qui n’a pas de remède c’est la mort.
Un problème qui serait éternel ne serait certes pas un de ceux confiés à votre Observateur.
Ne permettez à personne de vous insulter, de vous humilier ou de diminuer votre estime de soi.
Se sentir insulté, humilié ou diminué dans son estime de soi est le résultat immédiat d’une blessure d’ego pas encore guérie, d’une part de soi qui commande (souvent inconsciemment vu qu’on n’est pas masos à priori) la projection d’elle sur l’écran de votre vie. L’Observateur est assertif, son estime de lui est bonne et son bien-être ne dépend pas de l’extérieur. Il voit et comprend la partie blessée qu’une situation réactive, mais ne la laisse plus diriger. Ainsi, être insulté, humilié ou diminué, si vous laissez glisser, ne parle que de l’autre, plus de vous.
Les cris sont l’instrument des lâches, ceux qui ne pensent pas.
J’ai plaisir ici à m’en référer à Marshall Rosenberg, le père de la Communication Non Violente qui dit ceci : « La colère est l’expression tragique et tardive d’un besoin non satisfait ou d’une valeur bafouée ». La colère, du point de vue de Transurfing, est un des potentiels en excès les plus énergivores. Besoin non satisfait, valeur bafouée, il s’agit bien des importances de l’esprit (mental/ego).
Quant à dire que ceux qui se mettent en colère sont des lâches et ne pensent pas, c’est sévère. Ils n’observent pas, je dirais, et sont inconscients peut-être de ce qui se joue en miroir dans la situation et que l’Observateur aurait sitôt fait de déceler, offrant, lui, une réponse adaptée et novatrice à la situation, afin qu’elle se débloque et évolue le plus favorablement possible.
Mais attention, je n’ai pas dit que dans la posture de l’Observateur on ne peut pas se mettre en colère. On le peut, et parfois on le doit, mais alors dans l’expression d’une colère saine : non violente, et dans la maîtrise de ses émotions. Le potentiel en excès se crée lorsqu’il y a débordement émotionnel, qu’on voit rouge et qu’on n’a plus le moindre recul.
Nous rencontrerons toujours des gens qui nous considèrent comme coupables de leurs problèmes, et chacun aura ce qu’il mérite. Nous devons être forts et ressusciter des chutes que la vie nous impose, pour nous rappeler qu’après le sombre tunnel, plein de sollicitude, de très bonnes choses viennent.
Le travail sur le potentiel en excès généré par l’importance interne de la culpabilité est un passage marquant dans les groupes d’intégration et de pratique Transurfing. On croyait que cette crasse ne servait strictement à rien d’autre qu’à faire souffrir, on découvre avec Transurfing, qu’alimenter le sentiment de culpabilité est un véritable poison vibratoire : il se projette dans des réalités où il y a encore, et encore, plus de raisons… de se culpabiliser.
Ressusciter des chutes que la vie nous impose ? Exactement, l’Observateur se relève, pas en attendant qu’on l’aide, pas avec la rage du guerrier, pas en râlant et en se victimisant comme le ferait l’offensé, il se relève, tout simplement, et se remet en marche, sans autre forme de procès, ni de drame. N’avons-nous pas appris à marcher comme cela !?
Avant de discuter… respirez. Très Observateur de bien respirer, d’être posé, de placer l’intention, d’attendre l’inspiration, détendu et certain qu’elle sera au rendez-vous.
Avant de parler… écoutez. L’Observateur écoute pour pouvoir répondre, l’Esprit réagit sans écouter.
Avant de critiquer… examinez-vous.Ce que j’apprécie avec Vadim Zeland, c’est qu’il n’y a pas dans Transurfing de jugement moral. Le jugement moral est l’allié de la culpabilité. Examinez-vous tout simplement, parce que ce que vous percevez du monde est qu’il est en miroir avec vous.
Avant d’écrire… pensez. L’Observateur est connecté à l’espace des variantes. Il prend le temps d’interroger ses perceptions avant de faire quoi que ce soit. Pourtant, il n’est pas à associer à une posture qui serait passive ou contemplative, au contraire. C’est un actif, qui voit de haut. En anglais, Transurfing l’appelle « the overseer »
Avant de faire mal… regardez. Dans la posture de l’Observateur, on accède aux attributs de notre plus grande conscience, de notre plus grande intelligence : celle de notre cerveau préfrontal. Présent, nuancé, relativiste, humoriste, assertif, doué de compassion, d’intuition et de beaucoup de créativité, ce cerveau relié à l’espace des variantes est celui qui nous permet de regarder les choses telles qu’elles sont, sans les prismes déformateurs de nos intelligences instinctives et conditionnées. Savoir regardez de cette façon qui englobe tout empêche-t-il de faire mal ? Oui, probablement très souvent. Regardez permet de comprendre et comprendre, c’est « prendre avec », c’est accueillir plus largement avec conscience ET ce que j’aime ET ce que j’aime moins… Pourtant il arrive aussi qu’on fasse mal au-delà de soi. Je veux dire que des personnes se fassent mal avec nous. Je me souviens d’une phrase que ma mère disait souvent : Le mal qu’on fait aux autres leur appartient, et leur permet de grandir. Souvent nous ne sommes, dans la vie des autres que des figurants participant d’une réalité qu’ils ont créée…
Au-delà de cela, la posture de l’Observateur fait tomber l’illusion de la séparation d’avec tout ce qui est. Comment faire consciemment du mal à quelqu’un, à un arbre ou même à une mouche… alors que je les perçois comme n’étant pas séparés de moi !?
Avant d’abandonner… essayez. Essayez vraiment ! Ce qui, du point de vue de l’intention de Transurfing, signifie avec détermination à agir et à recevoir. Rappelez-vous que le monde miroir a un effet retard, Essayer vraiment suppose aussi un engagement dans le temps. Avant d’abandonner, essayez un certain temps…
Avant de mourir…. VIVEZ !Sur le fronton de temples grecs était écrit : Si tu veux connaitre le monde, connais-toi toi-même. » Mais il y avait aussi un deuxième axiome, que beaucoup de monde a ignoré : « Si tu veux te connaître, connais le monde ». C’est que Dieu en effet, a caché le secret du monde en l’Homme et le secret de l’Homme, dans le monde ! S’il y a lieu de « faire retour » en soi très régulièrement, c’est pour mieux retourner vers la matière et y participer concrètement. Dans d’autres traditions, il est bien dit : « Faites pour Dieu comme si vous deviez mourir demain et faites pour le monde comme si vous deviez vivre toujours ». Pourtantla vie est courte,dit encore Shakespeare dans d’autres versions de ce texte, aimez votre vie.
En ce, y compris les personnes autour de vous. La meilleure relation n’est pas celle d’une personne parfaite, mais celle dans laquelle chaque individu apprend à vivre avec les défauts de l’autre et admirant ses qualités.La perfection n’est pas de ce monde duel. Porter son attention sur ce qui est bon, c’est la coordination de l’intention : Vous vous permettez ainsi d’être aspiré dans une transition délibérée (consciente) vers des secteurs et des scénarios où vous attendent plus de bon, plus de beau. C’est le cercle vertueux, la vague du succès. Et c’est coooool !
Mais afin de préserver notre libre arbitre, cela fonctionne aussi dans l’autre sens : plus nous mettons le focus sur les défauts de quelqu’un, plus nous participons à les renforcer, pour reprendre l’exemple de la sphère relationnelle. C’est la descente aux enfers, le principe de transition induite pour Transurfing, qui s’applique à toutes les sphères de l’existence.
Celui qui ne valorise pas ce qu’il a, un jour il se plaindra de l’avoir perdu et celui qui souffrira un jour recevra ce qu’il mérite. Ne pas valoriser ce qu’on a, suppose de ne rien valoriser d’autre ou de vouloir valoriser ce qu’on n’aurait pas. Hum, voilà qui ne ressemble pas au chemin de facilité et peut occasionner la souffrance des remords/regrets. Quant à mériter une souffrance, Transurfing dirait plutôt en être respons-able (non pas coupable), comme d’ailleurs de toutes les réalités que nous vivons, dans la mesure où nous nous reflétons en elles.
Si vous voulez être heureux : rendez quelqu’un heureux ;
Une fois encore, Transurfing aborde cette question non pas d’un point de vue moral, mais d’un point de vue physique. Plutôt que de chercher à asservir les autres et la réalité, par des stratégies d’ego destinées à nourrir nos besoins, être dans le frailing (le point de vue de l’âme, via l’Observateur) permet de se sentir tellement assouvi qu’on peut donner, aimer inconditionnellement, sans calculer en permanence. Résultat : à ce bel alignement correspond une vibration telle que l’Univers, vous percevant comblé, vous donne plus encore de ce qui vous comble. Vadim Zeland l’exprime en ces termes : « Renoncez à l’intention d’obtenir, remplacez-la par l’intention de donner, et vous recevrez ce à quoi vous avez renoncé ». En d’autres mots, c’est la Loi du retour.
Si vous voulez recevoir : donnez un peu de vous-même, entourez-vous de bonne personnes et soyez l’un d’entre eux. Rappelez-vous, parfois quand vous vous y attendez le moins(parfois c.à.d souvent, puisque souvent vous n’attendez rien),il y aura ceux qui vous feront vivre de bonnes expériences !
Donner de soi, on en a déjà parlé. Ce qui est intéressant ici c’est l’idée de s’entourer de bonnes personnes. Qu’en dit Transurfing ? Pour Vadim Zeland, une mauvais assemblée ou une conversation qu’il faudrait quitter sans attendre (ou rester si on n’a pas le choix, mais sans alimenter l’énergie présente), est une réunion de personnes qui se plaignent, se victimisent ou font des commérages. Vous n’avez rien à gagner – et beaucoup d’énergie à perdre – dans ce genre de contextes. Simplement, évitez-les ou retirez-vous avant d’être « pollué », si vous ne vous sentez pas capable de rester présent et aligné, au-delà de ce qui s’échange. Vous saurez ce qui est juste pour vous, en vous connectant par vos perceptions corporelles aux messages d’alerte que vous enverra votre Observateur. Encore faut-il ne pas l’avoir laissé off…
Ne gâchez jamais votre présent pour un passé sans avenir.
Ah, l’attachement au passé ! Un des pires potentiels en excès, en positif comme en négatif d’ailleurs, car même s’il se rapporte à quelque chose ou à quelqu’un dont vous gardez un bon souvenir, il y a cette pointe de mélancolie/nostalgie/regret qui vous capte et vous emmène loin du présent où siège l’Observateur et où réside votre puissance. De là à continuer à s’investir, juste parce que ça fait longtemps que vous investissez, pour donner raison à cet investissement, alors que vous savez pertinemment parfois qu’une relation/situation restera stérile…
Une personne forte sait comment garder sa vie en ordre.
Je ne suis pas étonnée que la question de l’ordre vienne juste derrière l’attachement au passé. Le désordre en est une forme manifestée, que ce soit au propre comme au figuré. Vous voulez vivre de nouvelles réalités, débarrassez-vous de tout ce qui ne leur ressemblent pas. Du « bazar » chez soi, comme on dit chez nous, ça empêche la circulation et bloque l’arrivée du nouveau – pas de place. C’est pareil en ce qui concerne les gens, sauf que là, si vous le permettez, ce sera l’Univers qui fera naturellement le travail. Si des personnes avec qui vous ne vibrez plus à l’unisson semblent s’éloigner, laissez partir, laissez-les aller. Avec beaucoup de bienveillance dans votre cœur. Ce faisant vous créer de l’espace, espace que l’Univers remplira, tout naturellement, de personnes et contextes plus en accord avec une version à jour de vous-même.
Même avec des larmes dans les yeux, elle (la personne) s’adapte pour dire avec un sourire : « JE SUIS BON. »
Laissez couler vos larmes, laissez-les vous traverser, sans les réprimer mais sans trop vous prendre au sérieux non plus. Parfois oui, la vie est douloureuse. La souffrance quant à elle, est une douleur additionnelle, que l’être humain s’inflige par le jugement qu’elle porte sur la douleur. La souffrance du jugement est ce que l’ego/mental crée et dont il tire son importance. Il dit : « oh regarde comme j’ai mal, regarde comme c’est grave».
Donc c’est douloureux parfois la vie, ok. N’en rajoutez pas et rappelez-vous le principe de la coordination de l’intention et du monde miroir à effet retard : théoriquement ce que vous vivez aujourd’hui est le résultat de ce qui a été commandé hier. Par une souffrance que vous pourriez éviter et qui prolonge, amplifie la douleur, vous commandez pour demain, plus de douleur.
Je suis bon, me plait beaucoup, un micro mantra très porteur, qui contient une dose d’enthousiasme et de gratitude qui « donne à être ». Qui n’aime pas être bon ? N’est-ce pas ce que nous sommes tous, en notre essence, en notre divin potentiel ? N’est-ce pas ce qui nous comble et nourrit profondément notre âme, au-delà de tout ? Parfois, simplement sourire peut nous ramener à cet état de bon-heur.
Dieu, je suis bon.
Je suis, bon Dieu. Nous sommes bons dieux
Sacrés co-créateurs, transurfeurs et futurs transurfeurs, souvenez-vous que vous êtes dans mon cœur – et que ce lien est toujours très vivant en moi, au moment de vous écrire.
Si le stage d’intégration et de pratique Transurfing est presque toujours inoubliable pour chacun des stagiaires, sachez que je reste empreinte moi aussi, de chacun et de chacune d’entre vous et que vos dépassements, réalisations et très belle humanité, m’inspirent toujours !
Vous avez envie qu’on (re)passe quelques jours déterminants de pratique, ensemble, dans un pur endroit, un séjour d’été rien que pour vous, pour repositionner les choses, vous laissez inspirer, vous ressourcer, guérir d’un passé sans avenir, expérimenter une nouvelle façon d’être au monde pour vous donner les moyens de transformer votre vie librement, légèrement, et d’augmenter irréversiblement votre capacité à être heureux et à attirer à vous des réalités qui vous comblent ? Alors…
PARTICIPEZ à l’UNIVERSITE d’ÉTÉ TRANSURFING2018 – C’est un stage résidentiel unique et exceptionnel, pour faire l’expérience que vous l’êtes tout autant, et que votre potentiel est infini !
Plusieurs coachs et experts à votre disposition, des ateliers pluridisciplinaires, une pédagogie, et des processus dynamiques puissants.
L’adoption du modèle Transurfing, s’inscrivant dans vision quantique du monde, nous mène à une pratique et des comportements dans notre quotidien qui ressemblent en bien des points à la pratique du zen. On nous y apprend que c’est de l’attachement que provient la souffrance, et que seul le détachement d’avec nos schémas et nos conditionnements – qui génèrent les fameuses « importances » de Transurfing, peut nous libérer. Le chemin du zen, par la libération de la souffrance et des comportements/décisions qui en résultent, est, tout comme Transurfing, la promesse d’un chemin de facilité.
Il est bon de rappeler ici que rares sont ceux qui obtiennent un éveil fulgurant, se retrouvant, sans transition, bien campé dans la posture de l’Observateur, sans retour possible dans une compréhension des choses à un niveau de conscience inférieure. Pour la plupart d’entre nous, l’éveil est progressif, c’est bien le propre d’une pratique. Il ne suffit pas de comprendre comment ça marche, même si c’est une étape. Il s’agit de mettre en pratique, d’intégrer cette nouvelle disposition au monde, afin qu’elle devienne de plus en plus expérience concrète dans la matière, vous permettant de l’incarner. Point de virtuose – ou tellement peu – sans gammes.
Pour revenir à ce chemin de facilité, à ce sentiment de fluidité (le flow) voyons à quoi ce « voyager léger » peut tenir.
Il y a quelques jours j’avais à la fois très envie d’écrire pour moi, pour m’amuser, mais aussi de vous écrire, pour communiquer autour de l’université d’été 2018 en Bourgogne. Bloquée tant que je voyais ces deux projets d’écriture comme étant différents – ce qui m’obligeait à choisir un des deux et à renoncer à l’autre dans l’immédiat-, je me suis arrêtée.
J’ai pris un temps pour observer le débat intérieur et les importances/valeurs/besoins en jeu. J’avais quitté l’arène, je n’étais plus identifiée tantôt à la part qui réclamait du professionnalisme, de la rigueur, du « bien faire », tantôt à celle qui avait besoin de se relaxer, de jouer, d’être libre. De là-haut j’observais les deux voix, qui s’opposant, inhibaient l’action. Hé oui, c’est que le temps passe, ma brave dame ! De là-haut, et ayant écouté attentivement les priorités qui se disputaient la une en moi, j’ai tout simplement vu une nouvelle possibilité : plutôt que l’un ou l’autre, j’allais mettre mon esprit dans l’intention et au double défi d’écrire une communication certes, mais de façon impérativement ludique et créative. Je verrais bien ce qui en sortirait.
Conclusion : voici le texte en acrostiche que j’ai pondu ce jour là, en mode flow.Tout le monde était content, quelle belle collaboration. « On » a fait ça en moins de temps que celui passé en vains débats intérieurs…
A votre disposition pour toute question, je vous dis à bientôt et merci de m’avoir lue. Prenez grand soin de vos besoins d’ici là, et de temps à autre, quand ça bloque, allez visiter votre Observateur en haut de la tour de contrôle, il aura toujours une solution créative et écologique à vous proposer ! La vie n’est pas censée être difficile.
Merci de nous offrir en partage dans les commentaires, votre dernière expérience de flow à vous !?
D’ici trois petits mois, l’été battra son plein et l’université d’été Transurfing rouvrira ses portes à un nouveau groupe, pour une aventure de développement personnel unique en son genre, en Bourgogne, du samedi 21 juillet (18h) au mardi 31 juillet (11h)
Un nouveau groupe !? Qui seront-ils parmi vous peut-être qui me lisez en ce moment, à travailler dans cette belle salle, à pratiquer dans ce beau parc, à s’embarquer dans cette aventure à haut pouvoir transformateur, je suis bien impatiente de vous rencontrer. A chaque édition le lieu change, les formateurs changent, le programme change et moi qui suis l’instigatrice de ce stage d’été résidentiel et pluridisciplinaire, j’y suis toujours bien évidemment, mais changée moi aussi, polie par le courant de la vie, enrichie de compréhensions, de nouvelles questions, de lectures, d’expériences et de rencontres, à vous partager.
Cet article est le premier d’une petite série où je prendrai le temps de vous présenter plus en détail l’équipe ainsi que le programme de cette édition 2018 au ressourçant Echo-Source des Sept lieues au Moulin de la Forge à Griselles, où nous aurons la chance de résider. C’est un véritable écrin bordé par une rivière, à deux bonnes heures de voiture au sud est de Paris.
En ce qui concerne l’esprit de l’édition 2018, le mot intimiste me semble le plus approprié. Certes, il y aura de l’intensité – résidentiel et processus transformateurs obligent – cependant, le programme cette année sera légèrement plus soft : de quoi pouvoir mieux profiter des lieux, de la saison, et d’avoir de l’espace temps pour laisser jaillir ce qui sera propre au groupe, dans la spontanéité de l’instant.
Nous serons trois formateurs coachs et experts principaux pour vous accompagner dans les ateliers (et probablement un coach formateur assistant, en fonction de la taille du groupe), alors que nous mettrons plusieurs soirées à profit pour rencontrer d’autres intervenants pour des causeries interactives, toujours en lien bien évidemment avec Transurfing et des pratiques/courants qui favorisent la posture de l’Observateur.
Dans le prochain article à paraître – inscrivez-vous sur la page d’accueil pour le recevoir directement – je vous présenterai mes complices pour cette sixième édition de l’université d’été Transurfing et vous en dirai plus sur le programme du séjour que je me réjouis une fois de plus d’orchestrer pour vous. Ceci dit, l’effet surprise est une force dont on se servira, c’est donc à dessein que le programme détaillé du trajet d’été est unique à chaque fois et n’est jamais connu à l’avance.
Merci de m’avoir lue et à très bientôt. Contactez-moi et prenez option sans tarder, je répondrai avec plaisir à vos questions. Visitez l’onglet >> Témoignages et le site du >> Centre Transurfing francophone, pour découvrir comment d’autres femmes et d’autres hommes, avant vous, ont vécu leur trajet d’intégration et de pratique au sein de précédents groupes.
Votre dévouée et très printanière (dans la série bruxelloise « je vibre le printemps pour faire arriver le printemps »… )
Tati Clara
Bienvenue à l’Université d’été Transurfing 2018 en Bourgogne !
Est-il nécessaire de vous démontrer qu’à notre époque nous avons tous à négocier avec le stress ? Si celui-ci est hautement délétère pour la santé physique, il l’est tout autant pour la clarté mentale, limitant nos aptitudes à répondre à la vie et à créer les réalités auxquelles nous aspirons. Du point de vue de Transurfing, modèle comportemental du physicien quantique Vadim Zeland, la manifestation du stress est l’expression du désalignement qui se produit lorsque, de l’Observateur – posture éclairée – nous glissons en mode guerrier, offensé ou demandeur, en réaction à une situation qui nous confronte : besoins non assouvis, valeurs bafouées, voilà l’importance qui montre son nez et s’exprime dans le corps par la gorge nouée, le plexus serré, le ventre ou les poings serrés, la voix qui s’effiloche… Trouver les moyens de neutraliser le stress est un enjeu majeur pour tout apprenti créateur de réalité.
Je suis frappée de ce que quasiment une offre d’emploi sur deux aujourd’hui, parle de résistance au stress comme compétence requise. Vouloir résister au stress n’est pas comprendre sa véritable nature, comme nous allons le voir. En outre, cette stratégie ne fait que le renforcer, selon la maxime bien connue.
A part un des principaux maux du siècle, le stress qu’est-ce que c’est ?
Du point de vue du corps, un véritable poison, je ne vous apprends rien. Cortisol dans le rouge, vos jolies petites cellules s’oxydent à vive allure. Vous voilà intoxiqué et plus que jamais exposé et rendu peu capable de résister aux inflammations et autres agressions. Y résister, dans le cadre d’une lecture Transurfing, équivaut également à ignorer le message qu’il nous envoie. Rien en soi n’est réellement stressant, exception faite des situations où il y a danger pour l’intégrité physique. Je répète, d’un point de vue absolu, rien en soi n’est stressant. Ce qui vous stress Vous, peut tout à fait bien laisser quelqu’un d’autre totalement de marbre. La solution, dès lors, ne peut-être qu’intérieure, le stress étant le signal d’un dysfonctionnement cognitif.
Vous roulez, un automobiliste pressé manque de vous emboutir par la droite, ignorant votre priorité, vous pilez net : instantanément vous pouvez ressentir son effet, vous êtes stressé et tous vos systèmes sont en alerte, vous permettant de réagir le plus adéquatement possible à ce qui se passe, par des réflexes biologiques et chimiques qui vous donnent toutes les chances de sauver votre peau (fuite, lutte ou inhibition). Mais que dire de votre machine qui s’emballe complètement alors que la seule chose qui se passe est que cette pétasse de secrétaire (pétasse existe-t-il au masculin ?) n’a fait qu’ignorer votre requête, par un léger et quasi imperceptible haussement d’épaule, bousillant votre belle humeur et générant en vous une colère parfois longue à maîtriser. A moins que ce ne soit la discrète et néanmoins caustique remarque de votre mère (belle ou pas) l’autre jour, ayant critiqué ouvertement votre chemise ou votre nouvelle coiffure, alors que vous arriviez à peine, et que vous avez remâché toute la soirée ? Vous en voulez d’autres ? Chez certains, le stress est devenu permanent ou parfois lié à des paramètres beaucoup plus subtils qu’il n’est pas toujours facile d’identifier.
Le cerveau reptilien, complètement instinctif en tant que garant de la survie individuelle, est en lien étroit avec le cerveau conditionné. Au fil du temps et de l’évolution de l’humanité, il y a eu de moins en moins de situations où notre survie était en danger immédiat. Le reptilien de nos jours prend alors le relais et nous informe aussi en temps réel de ce qui est perçu comme un danger au niveau psychique.
Y résister est aussi stupide que de constater qu’un des voyants rouge s’allume sur votre tableau de bord et de décider de continuer à rouler, les yeux rivés dessus et en râlant.
Dans le modèle Transurfing, qui nous apprend – entre autres -, à bien nous connaître et à nous aimer tel que nous sommes, on exerce ce rapport au ressenti, utilisé par l’Observateur comme un précieux outil de conscience, de guidage et de réalignement. La réalité ne se passe en dehors de nous que jusqu’à ce que nous y croyions. Le stress est un message qui informe l’Observateur qu’il y a en soi un filtre que la situation vécue réactive, et que ce filtre, limitant la perception, fausse l’évaluation qui en sera faite et annihile notre merveilleuse capacité à répondre avec créativité en appelant plutôt à une réaction, le plus souvent impulsive et prévisible et dont les conséquences sont tristement répétitives.
Résister au stress est la chose la plus stupide qui se puisse concevoir, détériore votre santé et fait de vous une bombe, au mieux à retardement. Lorsque le stress est venu jusque dans le corps, pour veiller à notre bien-être physique, c’est par le corps qu’il faut tenter de le résoudre, nous dit Vadim Zeland. Respirer, tapoter, boire de l’eau, marcher, méditer, faire un petit rituel tipi, regarder le ciel, chanter, rire, bailler, caresser son chat (d’accord il n’est pas au bureau), dessiner, faire une visualisation positive, écouter de la musique, des fréquences bénéfiques, prendre quelques gouttes de rescue ou autre remède naturel… Ce ne sont pas les solutions qui manquent ! Encore faut-il avoir conscience de ce qui se passe et vouloir redescendre, ce dont le mental/ego qui se gargarise de ses offenses, ne fait pas volontiers.
Et en ce qui concerne veiller à nos circonstances et à nos relations, le stress est extrêmement utile pour interroger la situation en relation à soi, selon le principe du monde miroir : en quoi suis-je personnellement interpellé, qu’est-ce que cette situation dit de moi, de mes valeurs, de mes croyances, de mes présupposés, de mes attentes, de mes jugements, de mes filtres, de mon mental/ego,… Dit en termes Transurfing : en quoi ce que je vis qui m’apparait difficile parle de mes importances ?
Ce retournement du doigt accusateur qui précède la réactivité (et tous les désagréments et situations récurrentes qui en sont la conséquence) en un doigt redirigé vers soi, est le chemin vers la responsabilité, vers l’habilité à répondre et à créer tout le nouveau auquel nous aspirons dans nos vies et dans nos relations, réponse créative dont seule est capable notre intelligence préfrontale.
Voilà le travail sur soi auquel nous invite Transurfing. C’est un magnifique et progressif travail de conscience, de responsabilité et de liberté, que la joie, légèreté et une véritable prise sur la réalité accompagnent. Intégrer et expérimenter ces principes et techniques est non seulement puissant, mais super dynamique et inspirant en groupe. Si cela vous appelle, contactez-moi. Un nouveau groupe démarre à Ittre en Brabant wallon ce weekend. Au moment de vous écrire ce matin, il reste encore deux places dans ce groupe. Je réponds bien volontiers à vos questions.
Ce à quoi vous avez donné naissance en 2017, première année d’un nouveau cycle (et jusque fin mars encore dans la même énergie d’ensemencement au niveau individuel) va devoir être materné, chouchouté en 2018 pour prendre forme dans la matière, en co-construction avec « les autres » cette fois, dans l’énergie propre à une année 2, seconde du cycle de neuf ans commencé l’an dernier.
Dansl’article que vous pouvez lire >> ICI, paru hier sur le site psycho-bien-être.be, je vous parle de l’énergie particulière de cette année « 2 » dont une des caractéristiques est aussi d’être fortement polarisée, afin que vous abordiez les choses qui vous seront données à vivre, avec toute la patience, la diplomatie et les autres talents requis pour composer avec l’altérité et la dualité et surfer sur cette vague à haut potentiel, avec fluidité et sans vous faire malmener/débarquer !
Un Observateur bien en place, profitant de tous les attributs de l’intelligence préfrontale, fera cette année une grande différence ! 2018 s’annonce comme étant une année où le modèle Transurfing prend plus son sens que jamais, nous offrant toutes les clés pour grandir encore en conscience et nous accomplir, forts des merveilleuses dispositions de l’Observateur et de ses compétences préfrontales.
Pour rappel, un groupe d’intégration et de pratique Transurfing démarre un trajet en 4 modules le weekend prochain, 13 et 14 janvier, à Ittre (Brabant wallon, à 5 min de la sortie Ittre, sur le ring Ouest de Bruxelles). A ce jour, il reste encore la possibilité de s’y inscrire.
Au grand plaisir de répondre à vos questions et de vous accompagner peut-être dans cette aventure/expérience, à haut potentiel elle aussi – afin d’acquérir les outils, les compréhensions et de vivre des expériences vous permettant de diriger mieux votre barque, dans l’alignement avec les aspirations profondes de votre âme.
Merci de m’avoir lue, je vous dis à tout bientôt !
Combien de fois avez-vous dit Bonne année ! ces dernières heures, combien de messages, personnalisés ou non, avez-vous envoyé, chargés de vos vœux pour les autres ? Et à vous, vous êtes vous adressé un message ? Lequel ? Avez-vous clarifié ce que vous vous souhaitez à vous-même pour 2018 ? Avez-vous vous aussi identifié ce dont vous ne vouliez plus?
Régulièrement, je fais l’expérience – pour moi et avec les personnes que j’accompagne vers plus de réalisation et de plénitude dans leur vie -, de ce que le seul fait d’amener à la conscience un comportement ou un mécanisme limitant inconscient – œuvrant dans l’ombre à nous saboter, recréant ces situations récurrentes en boucle dont on ne veut plus – suffit souvent à les transformer !
Non pas que la prise de conscience, qu’on nomme aussi la « percée », soit la transformation mais qu’elle parce qu’elle en est la première étape, permettant au schéma conscientisé, en changeant de statut (d’inconscient à conscient) de se transformer de lui-même, sans que vous ayez à intervenir ou à faire quoi que ce soit, si ce n’est d’observer « la chose » bouger. La conscience est une lumière si puissante, qu’alliée à un esprit – bourru certes mais honnête-, elle ne peut pas ne pas faire évoluer ce qui se trouve désormais sous son égide. La transmutation devient inéluctable, par la conscience c’est la vie qui reprend ses droits. Et en soi, la vie est la solution à la vie…
Sortez un aliment du surgélateur où sa forme figée n’évolue pas et vous verrez la transformation opérer. Alors, bien entendu, vous pouvez accélérer le processus, en mettant l’aliment congelé sous l’eau chaude, pour suivre notre exemple. Ce qui en terme de changement de comportement, équivaut peut-être à se faire accompagner, pour se faire challenger à sortir de sa zone de confort et afin de rejoindre plus rapidement de nouveaux secteurs de l’espace des variantes, où vous attendent d’autres réalités, conséquence immédiate et inéluctable elle aussi, de vos nouveaux comportements et des croyances, pensées, états d’esprit qui les accompagnent et les réactualisent de concert.
Mais vous pouvez tout aussi bien ne rien faire d’autre qu’attendre et observer. C’est ce que je vous propose aujourd’hui, au coin du feu, en famille, avec vos amis ou même en douillette présence à vous, si vous êtes seuls.
Pour cet aliment sorti du surgélateur, si vous ne faites rien de plus que de le poser là, revenez d’ici quelques heures, quelques jours, et vous observerez qu’en le sortant du froid c’est la vie elle-même qui a repris ses droits et avec elle, l’inévitable impermanence et évolution dans la matière.
Nos schémas inconscients sont en quelque sorte de même nature. Figés presque éternellement dans une forme non évolutive, jusqu’à ce qu’ils demeurent dans l’inconscient, ils ne peuvent pas ne pas évoluer dès lors que nous les conscientisons. Là est notre seule part du travail dans un premier temps. Au delà, il faudra juste peut-être un peu de courage pour expérimenter/intégrer les nouvelles formes et les nouveaux comportements, naturellement inspirés par la réalisation de ce qui était inconscient, condamné à rester figé et non soumis aux lois du temps et de la mémoire. C’est qu’une mémoire saine est évolutive, comme le démontre très bien Boris Cyrulnik. Si ça circule, s’il y a de la vie et de la conscience, les schémas répétitifs ne le restent plus longtemps et évoluent en toute logique, ce qui n’est pas du tout le cas pour ces mémoires traumatiques qui ont été cachées dans l’inconscient en des temps lointains, dans le but de nous protéger. Magnifiques protections qui, lorsqu’elle ne sont plus nécessaires, continuent pourtant à nous limiter par une stratégie restrictive qui n’est souvent plus adaptée ni à qui nous sommes devenus, ni aux situations présentes qui n’ont – en réalité – plus rien à voir avec les situations anciennes, dont nous avons eu à nous abriter d’une éventuelle redite.
Qu’est-ce qui n’est plus nécessaire pour vous, de quoi ne voulez-vous définitivement plus en 2018 ? Au profit de quoi ? Nous nous sommes échangé des dizaines (voire plus car ça continue comme en témoignage mon portable crépitant) de ces messages de bons vœux, adressés pour souhaiter aux autres tout le meilleur. Mais à nous-même, qu’avons nous souhaité ? Y avons-nous seulement pensé à cette personne, nous-même, qui est pourtant censée être la personne la plus importante pour nous ?
Mais vous êtes peut-être un peu barbouillé ou même encore une coupe à la main, au moment de me lire ? Place à l’an neuf et à un bilan, petit, mais en bonnes et dues formes, comme annoncé !
De là où vous êtes, posez-vous ces trois questions simples, en votre for intérieur tout d’abord, et répondez-y ensuite par écrit (vous savez, histoire d’aller jusqu’au bout, de formaliser) :
Qu’est-ce que je laisse à 2017 ?
Qu’est-ce que j’emporte avec moi de 2017 ?
Qu’est-ce que je veux de nouveau pour 2018 ?
Et voilà, ça peut ne prendre que quelques minutes et pourtant s’avérer déterminant pour impulser la manifestation des merveilleuses réalités auxquelles vous aspirez !
Dès que les questions sont posées, commencez à observer. Vous est-il plus facile de formuler ce dont vous ne voulez plus ou au contraire est-ce plus évident pour vous de déterminer ce que vous voulez ? Faites des liens avec votre réalité. Sur quoi mettez-vous le focus ? Les prises de conscience qui vont suivre vous permettront une belle clarté d’intention, auquel l’Univers ne peut pas résister. C’est la loi.
Merci de m’avoir lue, j’attends de vous lire à mon tour, si vous nous faites le plaisir de nous partager en commentaire ce à quoi vous aller donner vie en 2018, comme vous en faites aujourd’hui le vœu sincère(promesse qu’on s’est faite à soi-même, résolution ferme qu’on a prise).
Dans la joie, la clarté, la gratitude et l’immense potentiel d’une conscience éclairée : very happy new year, very dear folks !
Votre toute nouvelle,
Tati Clara
Toutes les infos pour les stages d’intégration et de pratique Transurfing :
Vous préférez m’écouter ? Voilà l’article en AUDIO :
Quelles sont les composantes principales à la base de l’intention de Transurfing en tant que détermination à agir et à recevoir ? De quoi se nourrit cette force d’action intérieure capable de lever le vent de l’intention externe par laquelle arrivent les évidences, les aides, les raccourcis, voire ce que nous avons l’habitude d’appeler des miracles ? Nous avions vu ensemble dans un article intitulé « La volition : un pas au delà de l’intention », que la volition était un des éléments de l’intention. Cet article a pour objectif d’en explorer un autre aspect, plus que déterminant. Je veux parler de l’engagement, énergie qui, de la connaissance de Tansurfing, peut vous conduire vers l’expérience Transurfing.
En effet, pour que se déclenche l’Intention externe par laquelle tout peut arriver, et parce que le monde miroir répond avec un temps de retard x, les co-créateurs que nous sommes sont amenés à être intentionnels certes, mais encore faut-il l’être dans la durée et avec une certaine dose de foi, pour qu’actions, persévérance et détermination se combinent, jusqu’à ce que ça fonctionne !
Vous savez, l’intention externe, c’est quand l’Univers déroule pour vous le tapis rouge, que les synchronicités pleuvent et que vous vous sentez littéralement transporté vers la réalisation de votre but, sans avoir plus rien à faire que d’admirer sa manifestation dans la matière se réalisant si facilement. L’intention interne c’est quand, au préalable, c’est vous qui alimentez le moteur en tête du convoi ; l’intention externe, c’est quand vous n’avez plus qu’à accrocher votre wagon à l’Univers qui prend le relais et vous locomotive pour vous (at)tirer vers un secteur des variantes où est déjà réalisé votre choix.
Oui, car il s’agit bien d’un choix. L’intention interne – lieu du libre arbitre que nous prétendons vouloir exercer depuis toujours – résulte d’un choix conscient qui implique notamment de notre part de l’engagement.
C’est quoi au fait s’engager ?
Faites un instant rouler ce verbe sous vos sens, vous sentirez bien des énergies vous traverser ! C’est que le mot, fort, puissant, recouvre beaucoup d’aspects et s’engager peut être d’ailleurs tout aussi enthousiasmant qu’effrayant.
En voici les nombreux sens :
Mettre en gage, donner en gage. Gager, c’est parier. S’engager, c’est se mettre en gage soi, parier sur soi, s’offrir en garantie. Mais en garantie de quoi ? De devenir qui on choisit de devenir, de réaliser un projet inspirant, d’atteindre ses buts. Quand vous vous engagez, l’enjeu, c’est vous !
Engager c’est aussi Donner pour assurance, comme sa maison à des créanciers par exemple. S’engager, est s’assurer, par la force de la détermination à agir et à recevoir, qu’on arrivera à ses fins.
Un troisième sens est celui deServir de caution à quelqu’un.Et quand ce quelqu’un c’est vous ? La caution, on la perd la plupart du temps n’est- ce pas, lorsqu’on ne respecte pas un contrat avec autrui ? Si vous n’êtes pas suffisamment déterminé, ici encore, le prix à payer, c’est vous, votre estime, votre contentement, votre accomplissement. La caution que vous pouvez perdre, c’est vous.
Ce sens-ci de l’engagement est probablement un de ceux qui sont liés à la peur (si vous en avez ressentie à la simple évocation du mot) :
Être engagé signifie également être lié par une promesse qui doit être exécutée, par une convention qui doit être respectée. Il faut, tu dois… Notre conditionnement sur cette question est bien coriace. Se peut-il que la peur de l’engagement tienne à ce que l’engagement apparaît ici comme une promesse qu’il faille éternellement tenir aux yeux de sa communauté ? Être engagé envers quelqu’un d’autre est un autre vaste sujet. Voyons déjà comme être engagé envers soi, en s’engageant à faire quelque chose, en engageant sa responsabilité ou en tenant simplement sa parole, comme il est largement admis que le font les Hommes d’honneur.
C’est qu’il il y a dans l’engagement de soi quelque chose de noble, qui pousse l’Homme vers le haut.
Engager c’est aussi fournir un emploi, une fonction, par un contrat déterminé, soit pour un temps, soit pour toujours.Et s’engager alors ? Se fournir à soi-même un emploi, une fonction, par un contrat déterminé, soit pour un temps, soit pour toujours. Vous engagez un collaborateur, et le collaborateur, c’est vous ! Vous êtes le patron et vous vous engagez pour accomplir une mission : celle de mener à bien les tâches que vous vous êtes assignées, et plus largement, celle de vous accomplir !
Engager veut autant dire faire entrer une chose dans une autre où elle est prise. Il y a ici une certaine idée, sinon de non-retour, de fermeté. Au figuré, s’engager c’est mettre le pied à l’étrier, c’est prendre action, choisir, préférer une voie plutôt qu’une autre et y avancer avec détermination, corps et âme, jusqu’à ce que votre monde miroir prenne le relais et réponde à votre vibration. Dans ce sens, s’il n’est pas interdit de changer d’avis on le verra plus bas, quand vous prenez un engagement, il n’est pas toujours si aisé de reculer.
S’engager c’est également commencer une lutte, un combat, voire une querelle, une discussion.Mais aussi alors, commencer une activité, un voyage, se mettre au service d’une quête, rejoindre une cause. S’engager, c’est donc plus que faire un premier pas.
Être engagé signifie par ailleurs, être empêché par une invitation antérieure d’en accepter une autre. Ici l’engagement pèse son poids. Vous vous étiez engagé et voilà qu’une proposition nouvelle remet le maintien de cet engagement en péril ? Qu’allez-vous préférer ? Pour quelles raisons ?
Dans son mode intransitif engager c’est induire, exhorter, pousser à quelque chose.Ce dernier sens nous montre que l’engagement procède d’un mouvement intérieur intime. Encore faut-il déterminer qui exhorte ou pousse qui à quoi ? Est-ce bien votre âme qui vous intime d’avancer dans une direction qui l’inspire ? A moins que ce ne soient les balanciers qui vous poussent à leur donner votre énergie, vos importances exacerbées qui induisent vos comportements et déterminent vos choix ?
Je me souviens si précisément de cet animateur, dans un stage de développement personnel qui, pour inviter l’assistance à percevoir la force de l’engagement, racontait ceci :
Ce soir, après avoir fini ici et effectué toutes mes tâches – et Dieu sait s’il y en a ! -, il sera plus ou moins minuit. Je sortirai alors et irai courir dans les rues glacées de Paris, dans ma tenue de jogging, et ce malgré le grand froid ! Croyez-vous que je fasse cela parce que j’en ai envie ? Non ce n’est pas ça, dit-il. Je vais le faire, mais uniquement parce que j’ai dit que j’allais le faire, point.
Beaucoup de nos petites peines et de nos grands désarrois, au niveau de l’amour que l’on se porte ou non, de l’estime que l’on a de soi – se nourrissent de notre auto jugement en réponse à la question : Ai-je fait/été ce à quoi je m’étais engagé d’être/faire ?S’engager à faire, dire ou être quelque chose et ne pas être sa parole, ça coûte cher et ça déstabilise n’importe qui, même un géant !
Rompre un engagement avec soi-même, quelque part, c’est se trahir.
L’engagement semble être un principe naturel, une forme d’éthique instinctive, quelque chose qu’on attend à priori de soi et des autres. Pourquoi ? Se pourrait-il que ce soit parce qu’elle sécurise, garantissant le respect de la plupart des lois, autant symboliques que physiques ? L’importance que l’on a sur l’engagement serait dès lors comme un nécessité de base, liée à notre instinct reptilien et à notre archaïque sens grégaire, dont les rôles sont respectivement de garantir notre survie individuelle et collective, et de nous offrir les meilleurs conditions pour nous développer et croitre – ce à quoi la vie nous invite naturellement.
Seligman et Peterson en 2003, ressuscitant le caractère en tant que concept de base de l’étude scientifique du comportement humain, se sont donné pour tâche d’établir une taxonomie du bon caractère. Bien qu’ils reconnaissent que notre capacité à agir sur notre bonheur puisse être inégale et limitée (ce n’est manifestement pas la même fée qui souffle sur tous les berceaux), la clé, selon Seligman et ses confrères Ray Fowler et Mihaly Csikszentmihalyi, réside dans le caractère.
Fondateurs de la psychologie positive en 1998, ils sont en effet persuadés qu’il y a beaucoup de choses que nous pouvons faire pour vivre dans les niveaux supérieurs de notre échelle du bonheur et éprouver davantage d’émotions positives ainsi qu’une satisfaction abondante et authentique durable.
Travaillant à identifier les vertus humaines fondamentales, ils ont classifiés les traits positifs – les forces mentales et les vertus. Après de longues recherches, Ils ont ainsi abouti à une liste de vingt-quatre éléments, répartis dans six catégories générales : la sagesse, le courage, l’amour, la justice, la tempérance et la spiritualité. Il se fait que la force de l’engagement est au cœur de ces six vertus humaines, mais participe plus particulièrement de celles du courage, de la justice et de la transcendance. Voilà en quoi réside l’importance de l’engagement. Voilà pourquoi nous nous sentons si bien, tellement satisfaits et contents de nous, lorsque nous menons à bien ce à quoi nous nous sommes engagés. Voilà pourquoi aussi nous nous faisons tant de mal lorsque ce n’est pas le cas…
Ceci dit, selon Seligman, la psychologie positive n’a pas pour finalité d’indiquer quelles sont les forces et les qualités que nous devons adopter, mais plutôt quelles sont les conséquences de nos choix.
Il n’est bien évidemment pas interdit en effet de changer d’avis, heureusement non ! Nous pouvons (presque ?) toujours faire un autre choix, nos engagements changeront à la mesure. L’idée est que, si vous choisissez de renoncer à un engagement, de le faire avec conscience et excellence, de le faire avec tout autant de noblesse et de responsabilité que celles à démontrer dans l’engagement. Sans culpabilité, sans remords, si possible avec joie, mais, en en assumant les conséquences.
S’engager c’est plus que d’être sa parole ou une force d’action dans la durée et la détermination tranquille, s’engager transcende aussi l’expérience et élève la vibration :
Mihaly Csikszentmihalyi quant à lui, a observé que le niveau de satisfaction de l’individu s’élève lorsque celui-ci est engagé dans des actions où il met son ego de côté. En donnant de notre temps aux autres, nous nous oublions et oublions donc ce qui nous rendait soucieux. Conséquence immédiate : les importances baissent, libérant de l’énergie. C’est ce que Csikszentmihalyi, appelle vivre une expérience optimale, une expérience autotélique ou leflow : une situation dans laquelle l’attention est librement investie en vue de réaliser un but personnel, parce qu’il n’y a pas de désordre qui dérange ou menace le soi.
C’est par l’action engagée que nous pouvons le connaître ce fameux flow. En état de flow dit-il, les gens sont durablement concentrés sur l’objectif à atteindre, ils sont au maximum de leurs capacités, mobilisent toutes leurs compétences et utilisent au mieux toutes ressources à leur disposition. Plus ils pensent qu’ils vont réussir, plus ils sont envahis par une émotion (ressentie physiquement, souvent sous la forme d’un « frisson dans l’échine ») qui les porte, comme s’ils étaient sur un petit nuage : rien ne semble pouvoir les arrêter !
Les liens avec Tranurfing sont évidents :
Voilà une belle expression de l’engagement âme, esprit, intention dans une direction, qui provoque dans la présence ce délicieux et précieux « flow », que nous pouvons percevoir physiquement. La vibration est haute à ce niveau. Transporté vous devenez irrésistiblement transportant, et l’intention externe ne peut faire autrement que d’être au diapason.
L’engagement : thème du module 5
Dans le trajet d’intégration et de pratique de Transurfing en quatre modules : Diriger sa vie, Librement et légèrement, Comme dans un jeu, Où tout est possible…, il me semble aujourd’hui que manque le cinquième aux apprentis transurfeurs que nous sommes : un module qui aura pour thème « Je m’y engage! »
Sortir de l’intention dont nous connaissons bien la nature souvent velléitaire, nous mettre en action (la volition) et nous engager durablement dans nos projets, mais aussi dans la transformation de nos croyances, de nos pensées, de nos réactions, de nos habitudes pour créer de nouvelles réalités, passe par un nécessaire engagement. C’est à cet engagement que vous invite le module 5 que je travaille à créer pour vous avec beaucoup de joie et dont je vous reparlerai très vite. Si vous êtes inscrits sur www.taticlara.com vous recevrez les informations en priorité.
Une chose en son temps :
Si vous qui me lisez n’avez pas encore accompli le trajet de base de Transurfing, l’invitation vous est lancée de le faire prochainement à Paris où démarre un groupe les 9 et 10 décembre prochains, ou à Ittre (Brabant wallon) à partir des 13 et 14 janvier 2018. Il reste à ce jour encore quelques places dans ces deux groupes. Allez-vous faire ce pas et y accrocher votre wagon ?
Je reste à votre disposition pour toute question. N’hésitez pas à visiter l’onglet >>Témoignagespour découvrir ce que disent d’anciens stagiaires de leur trajet, ou le site du Centre Francophone Transurfing, pour plus d’informations sur le contenu du stage :
Merci de m’avoir lue ou écoutée, je vous souhaite de vous engager pleinement dans la réalisation de vos aspirations les plus authentiques. Et si votre monde met du temps à vous répondre, surtout tenez le cap ! Restez engagés et surtout, réjouissez-vous déjà. La gratitude attitude devient votre nature. Ce que vous avez choisir de faire, d’être ou d’expérimenter existe déjà quelque part en dehors de notre perception et vous serez donné, tôt ou tard.