L’adoption du modèle Transurfing, s’inscrivant dans vision quantique du monde, nous mène à une pratique et des comportements dans notre quotidien qui ressemblent en bien des points à la pratique du zen. On nous y apprend que c’est de l’attachement que provient la souffrance, et que seul le détachement d’avec nos schémas et nos conditionnements – qui génèrent les fameuses « importances » de Transurfing, peut nous libérer. Le chemin du zen, par la libération de la souffrance et des comportements/décisions qui en résultent, est, tout comme Transurfing, la promesse d’un chemin de facilité.
Il est bon de rappeler ici que rares sont ceux qui obtiennent un éveil fulgurant, se retrouvant, sans transition, bien campé dans la posture de l’Observateur, sans retour possible dans une compréhension des choses à un niveau de conscience inférieure. Pour la plupart d’entre nous, l’éveil est progressif, c’est bien le propre d’une pratique. Il ne suffit pas de comprendre comment ça marche, même si c’est une étape. Il s’agit de mettre en pratique, d’intégrer cette nouvelle disposition au monde, afin qu’elle devienne de plus en plus expérience concrète dans la matière, vous permettant de l’incarner. Point de virtuose – ou tellement peu – sans gammes.
Pour revenir à ce chemin de facilité, à ce sentiment de fluidité (le flow) voyons à quoi ce « voyager léger » peut tenir.
Il y a quelques jours j’avais à la fois très envie d’écrire pour moi, pour m’amuser, mais aussi de vous écrire, pour communiquer autour de l’université d’été 2018 en Bourgogne. Bloquée tant que je voyais ces deux projets d’écriture comme étant différents – ce qui m’obligeait à choisir un des deux et à renoncer à l’autre dans l’immédiat-, je me suis arrêtée.
J’ai pris un temps pour observer le débat intérieur et les importances/valeurs/besoins en jeu. J’avais quitté l’arène, je n’étais plus identifiée tantôt à la part qui réclamait du professionnalisme, de la rigueur, du « bien faire », tantôt à celle qui avait besoin de se relaxer, de jouer, d’être libre. De là-haut j’observais les deux voix, qui s’opposant, inhibaient l’action. Hé oui, c’est que le temps passe, ma brave dame ! De là-haut, et ayant écouté attentivement les priorités qui se disputaient la une en moi, j’ai tout simplement vu une nouvelle possibilité : plutôt que l’un ou l’autre, j’allais mettre mon esprit dans l’intention et au double défi d’écrire une communication certes, mais de façon impérativement ludique et créative. Je verrais bien ce qui en sortirait.
Conclusion : voici le texte en acrostiche que j’ai pondu ce jour là, en mode flow.Tout le monde était content, quelle belle collaboration. « On » a fait ça en moins de temps que celui passé en vains débats intérieurs…
>> ICI le Flyer Université d’été Transurfing 2018 avec toutes les informations
A votre disposition pour toute question, je vous dis à bientôt et merci de m’avoir lue. Prenez grand soin de vos besoins d’ici là, et de temps à autre, quand ça bloque, allez visiter votre Observateur en haut de la tour de contrôle, il aura toujours une solution créative et écologique à vous proposer ! La vie n’est pas censée être difficile.
Merci de nous offrir en partage dans les commentaires, votre dernière expérience de flow à vous !?
Votre entière,
Tati Clara