Il y a eu – et il y a toujours – autour du Covid19 et de la crise sanitaire sans précédent qui l’accompagne, à différents niveaux, beaucoup beaucoup de confusion… et bien des balanciers, si prospères dans cette situation, pour se nourrir de l’énergie positive de leurs adhérents tout autant que de celle, mentale, de ceux qui les combattent. Comment faire pour que ces mêmes balanciers, ces géants avides que seul leur profit motive, nous propulsent et nous donnent les moyens d’un développement massif de notre communauté de conscience ? Et que par elle, le monde soit dirigé vers une plus belle et saine expression de son Humanité ?
Où va ce monde bon sang ? Comme vous peut-être, je me suis posé la question. J’ai eu, face aux informations contraires qui me sont présentées, des pensées et réactions variées : Il semble que ça tire dans toutes les directions… Il faut que j’en apprenne plus. Etonnement, inquiétude, rage, confusion et découragement parfois face à tant de maladresses, de non-dits, de contradictions, de manipulation et un manque évident de transparence… Plus j’avance et essaye de comprendre, plus je m’emmêle les pinceaux. Et si ces débats, au final, n’étaient pas les miens ? Où est ma place dans tout ça ? Vous êtes-vous, vous aussi, posé la question? Si une compréhension juste de la confusion et de la baisse d’énergie qui s’emparent de moi lorsque j’essaye de fixer mon jugement sur tout ça, était en définitive, que là n’est pas mon chemin !? Le ressenti ne ment jamais… S’informer n’est pas le problème, mais le faire avec sérieux, alors que le volume à ingurgiter est d’autant plus grand que la crise est aiguë et mondiale, ça me mangeait tout mon temps et me laissait énergiquement exsangue. Trop is te veel, dit-on par chez nous..
Le jeu du balancier
Après avoir vécu une période de plusieurs semaines où la question était pour moi bien trop polarisée : à savoir que pendant quelques jours, je replongeais et m’immergeais dans le flux des informations contraires et continues, écoutais pendant des heures toutes sortes d’informations et d’avis d’experts de tous bord, dans l’intention de comprendre, de fixer une réalité, de me faire un avis, et pourquoi pas de le partager.
Suite à quoi, crevée, dubitative et en pleine confusion/inquiétude, je me retirais du jeu et retournais à mon présent tailler les roses au jardin, visiter un ami, me balader, m’appliquer dans ma séance de Pilates ou m’offrir une vague de danse des cinq rythmes. Tout alors était bon, dans la période qui suivait ma boulimie d’infos, tout sauf écouter les commentaires de mes contemporains sur les crises en cours. Ouf, ça fait du bien. Mais trop, c’est trop, et après quelques jours de la sorte, à nouveau je revenais à la pêche aux infos et m’en ingurgitais à nouveau tout un paquet, jusqu’à saturation parfois, d’autant plus que rien ne s’éclairait vraiment et que la confusion régnait de plus en plus… L’aspect protéiforme de la réalité n’est peut-être pas caractéristique de notre seule époque, toutefois il me semble qu’il n’a jamais été si palpable, aussi concrètement manifeste !
J’observais ces allers-retours vers les extrémités de la polarité et identifiais mes importances en jeu ainsi que les balanciers qui s’en nourrissaient. STOP.
Qu’Ils se débrouillent sans moi ! Là n’était pas du tout mon terrain de jeu. Ce que je pus percevoir avec certitude grâce au lâcher prise qui suivit la compréhension que je donnais beaucoup trop d’énergie à ces balanciers.
La position que nous recommande Transurfing,
lorsqu’on commerce avec des balanciers – ce que nous faisons tous en permanence et plus encore aujourd’hui que jamais -, est celle du centre. Le centre, c’est quelque chose comme revenir à soi, descendre et se mettre en lien à soi plus en profondeur, afin que deviennent plus évidents les besoins et aspirations de notre âme, auxquels nous allons pouvoir mieux répondre.
En nous affranchissant des importances et envies d’un esprit conditionné qui colle en surface à la réalité en cours et y réagi, s’y investi – dispendieux de notre énergie vitale -, nous observons ses caprices et ses exigences réactives, depuis notre centre, plus à distance de la réalité et en lien avec le ressenti dans l’instant. Dans cette posture nous pouvons cadrer cet esprit et dévier son attention vers nos essentiels. Après tout, la vie reste courte et les 24 h de nos journées bien vite remplies… A quoi choisissons-nous de consacrer du temps ?
Cette maîtrise de notre attention de l’Observateur n’étant pas disponible tout le temps – sauf chez les Maîtres – il est naturel de replonger de temps à autre. Si le désalignement est alors le problème, il est aussi la solution – La vie n’est-elle pas merveilleuse ! – Car il suffit de rester en contact avec son corps, ce vaisseau perceptuel/sensoriel du corps qui s’exprime en permanence et témoigne de notre état intérieur, pour percevoir les signaux d’alerte et se poser les bonnes questions.
Mon bilan intermédiaire fût que oui le monde était bien dans la mouise et que nous étions hyper manipulés, en effet. Bisquerage. Mais que par ailleurs je continuais de croire que le changement véritable adviendrait de la masse consciente que nous formons, que le 100ème singe, ma foi, ne devait pas être bien loin…
Que grâce à cette masse joyeuse, éveillée et en croissance permanente que je participe concrètement à faire grandir dans le cadre de mon métier de coach personnel et animatrice de groupes, nous réussirions bientôt à faire basculer la réalité collective vers un avenir plus humain et digne de ce nom. Cela est déjà en route.
Plutôt donc que de continuer à donner mon énergie, en oscillant entre un état hyper impliqué – en mode au secours, il faut tout changer tout de suite, mon Dieu comment faire ? – et un autre, opposé, en envoyant tout sur les roses, perdue pour l’humanité et tenue loin de mon ordinateur et même de mon téléphone, me privant d’autres nourritures, de liens sociaux et d’activités créatives, saturée par l’overdose d’informations, de commentaires, de supputations, de paradoxes, de débilités, de mensonges… et des conversations mouvementées qui en découlent, j’ai commencé à me re-re-poser.
Le mieux que je puisse offrir à l’Humanité, en dépit de tous les travers, c’est seulement qui je suis. C’est ma seule et unique offre, le seul cadeau véritable à faire au monde. C’est à la fois un droit et un devoir. Or je n’ai pas vocation à être premier ministre, n’est-ce pas ? Je pouvais donc – sans regrets ni remords – reprendre sereinement mon chemin personnel d’écriture, ma place auprès de chacun souhaitant se développer davantage, se responsabiliser, élever sa conscience, sa vibration et la qualité de ses actes, la beauté de ses créations. Je pouvais simplement continuer à m’investir dans le développement du Centre Transurfing Francophone dont j’ai la charge avec Gabriel de Launay, afin que toujours plus de monde dans l’espace francophone, ait accès à l’enseignement de Vadim Zeland et à une pratique facilitée de son inégalé modèle quantique comportemental, TRANSURFING. C’est bien une de mes façons personnelles, sur mesure, de participer avec justesse au chantier du monde d’aujourd’hui et de demain. Quand à ma petite personne – et cela est vrai pour chacun-e – je ne pouvais mieux faire que de lui faire du bien, en ce compris tout ce qui participe à augmenter ma vitalité, mon immunité et une belle santé à tous points de vue. Cela aussi, ça prend du temps sur une journée.
Le meilleur pour la fin ! Et le titre de cet article alors ? Qu’en est-il des balanciers qui nous feraient avancer Tati Clara ?
Bravo, je vois que vous êtes attentifs !
J’avais gardé le meilleur pour la fin. Ayant donc pacifié mon rapport aux balanciers de cette crise, les laissant se dépêtrer sans mon intervention directe – Les gouvernements, la Presse, l’OMS et l’industrie pharmaceutique, les donneurs d’alertes, les complotistes, et j’en passe des gros… – je retournai tranquillement vaquer à mes affaires et récupérai rapidement beaucoup d’énergie. Plein d’énergie !
En fonction de mes priorités du jour, j’écoute de temps à autre des informations jugées pertinentes, avec une forme de détachement, sans être affectée. J’ai lâché. Cette réalité qui ne me plait à priori pas, a le droit d’exister. Y donner tort équivaut à la renforcer. C’est le point au départ duquel je crée. Mon seul job – en tant que transurfeuse – est de diriger mon énergie et mon attention vers ce que je veux, tout en cherchant les avantages de toutes les situations, même et d’autant plus que je ne les aimerai(s) pas. Voyez-vous, à force d’avoir toujours davantage de scénaristes (nous) joyeusement engagés là où ils excellent – c’est à dire dans la création de scénarios magnifiques – l’Humanité n’aura d’autre choix que d’endosser son plus beau rôle :)
En quoi, alors, ces gouvernements par exemple pourraient-ils être utiles à ma cause ?
La réponse tomba moins de 3 jours plus tard, par le biais d’un ami français, transurfeur, qui me sollicitait dans le cadre de son activité de consultant pour envisager concrètement ensemble l’octroi de subsides gouvernementaux pour le financement des formations de développement que nous proposons au C.T.F. Ben ça alors…bingo !
Tu veux dire, lui répondis-je, que tu t’es spécialisé en recherche de subsides pour financer tout ou partie des frais d’inscription d’un-e stagiaire à une formation comme celle de Transurfing, qui pourrait tout à fait rentrer dans les critères !? Exactement !
Youpee, merci dis-je intérieurement à l’Etat français qui me montrait soudain un autre visage, merci pour le coup de pousse ;) ça c’est vraiment une super dynamique, un dispositif intelligent, constructif ! Il ajouta que les possibilités étaient nombreuses, pour des profils et des situations très différentes, et que beaucoup de gens ignoraient ces substantielles enveloppes offertes aux citoyens pour se développer, comme tuteurs de croissance. Il s’agit bien de la France, en fonction de l’expérience que nous en ferons, nous tenterons d’élargir cette possibilité à d’autres pays.
Et si l’argent avait été un obstacle, le voilà qui tombe ! Dans le cadre de votre situation professionnelle actuelle, il existe de nombreuses possibilités que votre formation Transurfing soit financée entièrement ou au moins partiellement, interrogez notre consultant à ce sujet !
Ce conseiller en financement formation s’appelle Emmanuel Licari, voyez directement avec lui dans quelle mesure vous pourriez être subsidié pour votre participation aux formations dispensées dans le cadre du Centre Transurfing Francophone.
Merci de m’avoir je vous retrouve ici bientôt ou en présentiel à Paris fin août et pour le résidentiel de l’Université d’automne Transurfing 2020, du 11 au 21 octobre dans la région de Nîmes, pour une très belle édition que nous vous préparons avec enthousiasme !
D’ici là, un très bel été à chacun, qu’il brille tant à l’extérieur qu’à l’intérieur et fasse murir nos plus belles énergies, nos plus ardents souhaits. Puissiez-vous chacune, chacun, trouver votre veine d’or à vous, votre place unique dans ce monde en transformation et de là, devenir pure énergie pour la réalisation de vos rêves les plus ambitieux, pour votre plus grande joie et le bien-être de tous.
Pensez à nous gratifier d’un commentaire, racontez-nous comment un balancier a pu vous propulser à l’occasion vous aussi !
Votre, dé-tendue, estivale,
Et bien dévouée,
Tati Clara