Le modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland, un méta modèle comportemental basé sur les compréhensions des lois qui gouvernent l’Univers, est porteur de valeurs spirituelles, qu’une certaine humilité de l’auteur ne rendent pas forcément évidentes d’entrée de jeu. Le but de mon propos ici est de répertorier ces valeurs et de témoigner du très beau chemin d’élévation spirituelle et de la conscience que permet la pratique de Transurfing.
Quelles sont les valeurs fondamentales que véhicule Transurfing ?
Nombreux sont ceux qui au cours des temps ont porté des messages, proposé des récits, des visions du monde, formulé des théories et mis au point des techniques, qui ont guidé les Hommes. Nous permettant de mieux vivre notre séjour sur terre, mais aussi d’en découvrir plus en profondeur le sens caché et les potentiels dont nous disposons lorsque nous nous permettons de croire en ce qui à priori n’est pas perceptible à nos sens, ces messagers éclairés se sont fait guides pour que nous puissions expérimenter la puissance que peut manifester l’être humain en étant en lien avec cet invisible.
Si on y regarde de plus près, même si ces femmes et ces hommes nous ont guidés dans des buts, des langues, des approches, des supports et des champs de pensée très variés, ils se rejoignent et se recoupent si souvent, nous dévoilant de façons diverses un ou des aspects d’une seule et même réalité. Il n’a pas fallu attendre les révélations de la physique quantique pour trouver des hommes et des femmes qui de tous temps, ont cru que tout était relié par des fils invisibles à nos sens, que dans l’invisible siégeait une force dont il est possible que tout émane. Et que avant tout, « ça » avait quelque chose à voir avec l’amour.
Si la réponse est différente pour chacun, les questions, universelles, finissent par surgir au coeur de chaque existence humaine. Que suis-je censé faire ici, qu’y a t-il après, qui tire les ficelles ?
Tout est relié
Tout est amour
Tout est possible (= des choses incroyables sont possibles)
Ajoutons qu’on sait aujourd’hui que tout est énergie et aussi que potentiellement tout est déjà là, comme Transurfing permet de très bien le comprendre. Même si Vadim Zeland ne se prétend aucunement être un guide, mais bien l’humble dépositaire d’un savoir ancestral – qu’ayant capté intuitivement il reformule et organise en un méta-modèle quantique, selon sa formation -, Transurfing n’en est pas moins dépourvu d’une sagesse transcendantale. Ce modèle de la réalité et les valeurs qu’il véhicule, permet à qui le pratique et en incarne les fondamentaux, une formidable élévation de la conscience spirituelle.
A la base de nombreux de ces messages portés par toutes ces personnes éclairées, co-penseurs-panseurs du monde qui nous inspirent, sont avant tout l’amour – de soi et des autres -, mais aussi la notion de responsabilité individuelle et l’idée d’une puissance créatrice joyeuse qui se libère en nous et s’amplifie, à mesure que nous réussissons à nous affranchir des limites et des conditionnements de notre mental et notre ego, et que nous nous connectons à cette puissance en nous.
Ce qui à mes yeux est spécifique à Transurfing, c’est son aspect révolutionnaire dans le sens où le modèle nous permet de faire un pas de plus, en réhabilitant la notion de pouvoir, que d’autres chemins d’élévation spirituelle ont pu avoir comme effet de dévaloriser tant cette notion est devenue pour certains péjorative car en lien avec l’ego.
Que voulez-vous obtenir dans la vie ? Qu’aimeriez-vous expérimenter ?
Dans les groupes Transurfing que j’anime, il y a souvent de ces personnes qui – lorsqu’on les interroge à propos de ce qu’elles veulent obtenir dans la vie – disent ne (plus) rien vouloir et en être satisfaites. Alors que nous sommes vivants et que justement, nous sont enfin dévoilés les secrets et ficelles du pouvoir créateur infini que nous avons de tous temps – « Dieu en nous, pour ceux qui peuvent l’entendre -, alors que vous êtes vivant, est-ce bien le moment de ne rien vouloir ? Dans ma compréhension des choses, ceux là sont un peu calés dans leur développement spirituel. Si parvenir à ne rien vouloir est un accomplissement en soi et peut-être une étape intéressante sur le chemin de l’élévation de la conscience, surtout si l’ego avait auparavant tous pouvoirs, il est dommage d’en rester là. Pour mémoire, le Bouddha, après son illumination, n’est pas resté assis sous son arbre mais s’en est reparti vers la ville, vers le monde, vers les gens, pour y agir et manifester dans la matière – par l’enseignement dans le cas de Bouddha -, ce que le silence, l’isolement et le non-agir de sa retraite lui avaient permis de réaliser.
Il y a ce commandement de la tradition musulmane qui parle de cela. Voilà ce qui est dit : « Fais pour Dieu comme si tu allais mourir demain et pour le monde, comme si tu devais y vivre toujours ». Ne rien vouloir et s’arrêter à cette étape équivaut à n’avoir perçu que la moitié du message.
Transurfing nous permet d’accéder à une vision de la réalité et des principes qui la gouvernent, en nous donnant des moyens concrets propices à un déploiement de soi sans limites et de l’expression unique de soi dans la matière du monde. Aimeriez-vous aussi que votre passage sur terre profite à l’ensemble ? Aimeriez-vous laisser votre trace d’une quelconque manière, la trace d’une vie célébrée ? N’êtes vous pas, pour le monde et pour les autres, tellement plus un « cadeau » lorsque vous accomplissez votre plein potentiel, heureux de voir vos rêves et vos plus ambitieux projets se manifester dans la réalité ? Tellement plus abondant et joyeux, vous pouvez alors dans cette mesure rayonner, soutenir, partager, faire évoluer les choses, et ce à, un niveau incomparable.
Quand j’étais enfant on disait chez nous « Termine ton assiette, il y a des petits chinois qui meurent de faim. » J’avais tellement pitié de ma mère de dire de telles niaiseries – comment ce petit chinois allait-il pouvoir bénéficier de mon sacrifice ? et on finissait notre assiette. Ne vous forcez pas, ne vous limitez pas, au nom du fait que d’autres souffrent, ça ne marche pas. Soyez abondants et courrez le monde, généreux, généreuse. Voilà ce que nous inspire Transurfing.
Dans la charte universelle des droits de l’Homme sont inscrits entre autres le droit à la liberté et à la recherche du bonheur. Dans ce sens, et même si la pratique de Transurfing inclut de nécessaires moments de contemplation, de rêverie et de méditation (planifier le travail), il y a dans le modèle une invitation à bouger, à agir, à se mettre debout et à mobiliser ses ressources (travailler le plan) pour participer de la réalisation de projets inspirants, l’avènement de réalités abondantes et l’accomplissement de ses buts d’âme les plus élevés.
La réalité, nous dit Vadim Zeland, l’auteur de Transurfing, ne se passe pas en dehors de nous. « Le monde est mon miroir » est le principe de base de son modèle. Et si toute réalité que je vis est un reflet de ce que j’y projette, voilà qu’en adhérant totalement à ce principe, je peux commencer à impacter consciemment cette réalité (le pouvoir) et ne plus jamais avoir à la subir mais au contraire, responsable, d’envoyer autre chose dans le miroir, que je choisis con-sciemment. C’est dans ce sens que Transurfing redore le blason du pouvoir et revivifie la boucle que fait le pouvoir avec la responsabilité. Est-il besoin de préciser qu’il est essentiel de ne pas confondre culpabilité et responsabilité ? Responsabilité = culpabilité ? Cherchez et trouvez les nuances, elle sont de taille.
Un beau challenge. La responsabilité, et le pouvoir qui en est l’attribut, sont deux des valeurs principales qu’incarne toute personne qui pratique Transurfing. La pleine responsabilité, en tout lieu, toute heure, et indépendamment des circonstances, est ce qui va permettre d’accéder à la promesse de Transurfing : influencer en conscience les réalités à venir. Mais aussi, en conséquence, d’expérimenter d’autres états d’être, de manifester dans sa vie et ses comportements d’autres valeurs, toutes aussi précieuses et évidentes sur un chemin d’élévation de la conscience.
L’éventuelle peur de cette responsabilité et de ce pouvoir créateur se dissout dès qu’on peut se connecter à la joie, la paix et la gratitude de n’avoir pas été projeté là dans la réalité, comme une coquille de noix baladée sur l’océan, sans aucune prise sur sa destinée. La peur de ce pouvoir créateur se dissout dès qu’on se permet de se connecter à son imagination fertile, qui ne demande pas mieux que de créer. Voyez autour de vous, hormis la nature, toutes ces choses qui vous entourent. Tout ce qui existe dans la réalité, a d’abord germé en tant qu’idée, puis s’est déployée dans la tête d’un femme ou d’un homme, avant de finir par se matérialiser. Pas besoin d’être génial pour ça, simplement connecté à ce pouvoir de l’imagination, s’autoriser simplement à créer. Déjà, que de joie que de réaliser une pâtisserie, que dire de la joie de créer sa réalité. C’est pourquoi on parle dans la communauté Transurfing francophone d’être de biens joyeux transurfeurs.
Bienvenue dans la famille des joyeux transurfeurs !
Pour en terminer avec le « rien vouloir » et afin d’en arriver à l’intention, au choix et au libre-arbitre, on peut poser la question : Avec un tel pouvoir créateur, n’est-ce pas gâcher une vie que de la procrastiner ? N’est-ce pas dommage de se limiter et de ne pas oser rêver grand, ambitieux ni de s’atteler à la tâche dès aujourd’hui pour participer activement à la manifestation de nos choix? Ne me comprenez pas mal, non en effet nous ne pouvons pas tous devenir de grands auteurs ou des personnes extraordinaires et célèbres, il ne s’agit pas de ça. Ce serait d’ailleurs ennuyeux. Chacune, chacun de nous pourtant a sa note unique à jouer dans la grande symphonie du monde, pour reprendre une image précise. Qu’est-ce qui vous inspire, vous ? Que voulez-vous voir, vous, se matérialiser dans la réalité ?
Transurfing nous apprend comment agir et nous comporter, main dans la main avec ce divin créateur en nous – avec l’intention externe dans Transurfing – et comment faire de sa vie une célébration. (Vadim Zeland fait le lien entre l’intention externe et Dieu, une seule fois dans le tome 1)
Mais où est précisément l’intention externe qui oeuvre à nos côtés, facilitant toutes choses et déroulant pour nous le tapis rouge ? Si on peut dire qu’elle est nulle part et partout à la fois, le bouton pour l’activer est bien à l’intérieur de chacun et chacune d’entre nous. Collaborer avec l’intention externe – ou co-construire puisque ce mot est en vogue – est tout un art, précisément l’art du Transurfing.
Je songe soudain à la Table d’Emeraude, l’un des textes fondateurs de l’hermétisme et de l’alchimie, attribué selon la légende à Hermes Trismegiste. Ce texte est censé avoir été composé durant l’Antiquité greco-égyptienne. Mais ce sont les arabes qui l’ont transmis aux occidentaux, autour du Xème siècle.
Vous vous souvenez probablement de cet extrait : « Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas… »
Le monde est mon miroir, encore. On en vient dès lors aux notions de choix et de libre arbitre, chers à Transurfing. J’aime cette citation de Sartre, qui dit à peu près « Je ne suis pas responsable de ce qu’on a fait de moi, mais je suis responsable de ce que je fais de ce qu’on a fait de moi. » Ainsi, en dépit de tout le passé, il y a au coeur du modèle Transurfing le principe de la souveraineté du choix dans la présence, de la possibilité que tout existe et qu’on peut tout choisir au départ de chaque instant, libéré du conditionnement et des limites du passé.
Tout est possible !
Encore faut-il croire que c’est possible. Ici à nouveau, les liens avec la spiritualité sont évident.
Dans Mathieu 8 : 13, Jésus dit au centenier : Va, qu’il te soit fait selon ta foi. Et à l’heure même le serviteur fut guéri.
Le 1er des choix qui se pose devant nous quand on veut pratiquer Transurfing, est celui de la croyance que le monde étant mon miroir, il me sera fait selon mes choix. C’est un sacré credo !
Encore faut-il que ces choix deviennent conscients et guidés par l’Observateur, histoire de ne pas envoyer dans le miroir de commandes qui ne correspondent pas à ce que nous voulons. C’est là qu’intervient l’Observateur. Si c’est lui qui a le pouvoir, c’est facile. Il est tout à fait équipé pour repérer dans le système intérieur les moments de désalignement et les réactions émotionnelles qui en témoignent. Ceux-ci sont compris et gérés par lui comme un grand frère bienveillant. Il ne juge pas, il accueille ce petit en soi (l’esprit = mental/ego), quand la situation extérieure l’égratigne et qu’il s’agite, sans pour autant le laisser prendre la barre ni réagir à la situation. Entendu, compris enfin, le petit s’apaise et se laisse d’autant mieux rediriger vers la cap auquel veille paisiblement l’Observateur, qui se pose en permanence les précieuses 3 questions de la CNV :
Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui est ?
Qu’est-ce que je veux ?
Qu’est-ce que je fais ?
La réaction est le mode opératoire de l’esprit (ego/mental), elle est fulgurante, irréfléchie, émotionnelle et donc uniquement basée sur les expériences vécues dans le passé. La réponse, elle, est l’apanage de l’Observateur, qui considère et voit tout d’un autre point de vue, plus large, plus nuancé, plus éclairé, plus aimant.
Un petit temps avant de répondre est souvent utile. Et n’est-ce pas sage ?
Ici encore le lien qui me vient, c’est la recommandation dans l’islam de boire une gorgée d’eau avant de répondre à quelqu’un ou à une situation embarrassante. Précieux gain de temps qui permet à l’Observateur d’envisager la situation dans son ensemble, de faire les bons choix en lien avec l’intention et l’immensité du champ des possibles, et enfin de répondre avec justesse. L’Observateur est donc celui qui response-able, capable de répondre.
Vous êtes énervé, la situation en cours vous confronte ?
Avant quoi que ce soit, buvez de l’eau :)
Il y a donc beaucoup de joie sur ce chemin de responsabilité, dans la relation qu’on entretient avec la vie et avec l’Univers avec lesquels nous interagissons, je pourrais dire avec lesquels nous dansons véritablement en puissance.
Mais il y également beaucoup de joie à expérimenter la pratique de Transurfing dans la sphère de nos relations personnelles, où la responsabilité prendra aussi une grande dimension. Pas plus que vous n’êtes obligés de subir les événements, le cours que prend les choses étant une conséquence de vos choix, vous n’êtes censés subir vos relations sans pouvoir les impacter positivement. Ce que vous vivez dans votre rapport aux autres, est aussi une de vos créations. Transurfing nous apprend à exercer une pleine responsabilité dans nos rapports avec les autres, et nous apprend comment faire dans leur vie une grande différence en faisant du don une priorité. « Renonce à l’intention d’obtenir, remplace-la par l’intention de donner, et tu recevras ce à quoi tu as renoncé » est en ce sens, une des plus belles citations de Vadim Zeland. Cette maxime ne vous rappelle rien ?
On en vient à l’amour, à la dimension du coeur, essentielle dans la pratique de Transurfing, ce qui rejoint les avancements scientifiques quand à la puissance d’émission électro magnétique du coeur, qui nous donne à appréhender notre réalité vibratoire et comprendre comment concrètement nous communiquons avec l’Univers. Aimant, ça veut dire « ce qui attire » ? ou « ce qui aime » ? Pareil, amusant non !?
Pratiquer Transurfing, c’est continuer à apprendre à aimer toujours plus et mieux. Et c’est là que la magie commence vraiment.
Quand l’Observateur est bien en place – ce qui demande une présence et une attention de chaque instant pour ne pas se faire embarquer par un esprit (mental/ego) prompt à la réaction émotionnelle – il est en mesure de se laisser inspirer par l’âme/coeur et de co-construire des réalités nouvelles et heureuses en veillant à l’alignement des différentes instances en nous.
Se laisser guider par les principes de Transurfing, dans la sphère relationnelle, c’est extrêmement confortable, stimulant et efficace. A notre niveau d’équipe, notamment dans la dynamique de cette table ronde de coachs, d’animateurs et de conférenciers Transurfing qui diffusent et transmettent le modèle en Europe, ce sont ces principes que nous adoptons naturellement dans nos échanges. Quelle fluidité, quelle simplicité mes amis, presque un jeu d’enfants.
Nous avons déjà évoqué la responsabilité, le pouvoir, la joie, la créativité, la paix, la gratitude, la conscience, l’amour et le don. Mais aussi, via d’autres attributs du préfrontal – la plus grande intelligence en nous, notre cerveau connecté auquel la posture de l’Observateur donne accès : la nuance, la flexibilité, l’humour, l’empathie et la bienveillance, la vision globale, l’intuition, …et j’en oublie, c’est certain !
Parlons maintenant de la notion d’acceptation. Détachée dans Transurfing de toute idée de fatalisme, cette capacité à accepter n’empêche pas celle de vouloir quelque chose. L’acceptation ne s’oppose pas, malgré les apparences, à la volonté, à l’intention, … Elle fait partie intégrante du processus de création. Dès son but fixé, le transurfeur a compris et appris à s’en remettre à plus grand que lui quant aux chemins que prendra la réalisation de son but et à la tournure que prendront les événements qui vont mener à sa manifestation. L’Univers connait des raccourcis que l’esprit ne peut pas concevoir.
Accepter c’est continuer d’avancer, avec foi et confiance que tout se passe parfaitement bien, quoi qu’il se passe (confiance littéralement = foi avec), mais avec une foi cré-active. Cette fondamentale capacité à accepter et à rester acteur (celui qui continue à acter, à être dans l’action), est soutenue dans la pratique de Transurfing par une attention constante qui nourrit l’acceptation : la recherche des avantages, en toute situation. Et il en faut une sacrée foi pour croire et voir en toutes circonstances que les événements sont à mon avantage. Pour cela il faut déjà les accepter.
L’acceptation est aussi au centre du processus de guérison du passé et du pardon, sans lesquels l’esprit continue à sur-réagir et reste difficile à cadrer par l’Observateur. J’ai observé que souvent, quand quelqu’un démarre avec Transurfing, il y a ce retour sur le passé, cette période où grâce aux outils de Transurfing, les personnes mettent de l’ordre, de la conscience et du lâcher prise par rapport à leur passé. Cela intervient au début de la pratique, moment où on prend conscience des limites que nous nous sommes fixées, afin d’élargir notre champ de vision et d’action. L’acceptation est présente tout le long de cette mise à plat et des processus de libération du passé et des potentiels en excès qu’ils alimentent.
Holistique est un qualificatif qui sied parfaitement à Transurfing, dont le sous-titre aurait pu être « Mode d’emploi clair, pratique et simple, pour une vie créée en pleine conscience et en pleine reliance. S’applique à tout. » Transurfing est bien un méta-modèle qui relie (de religare, dont vient aussi le mot religion), fait des liens et donne également sens à d’autres compréhensions/enseignements, leur permettant de s’inscrire dans un formidable projet global et cohérent de développement de soi. Cette qualité holistique d’un modèle qui relie – donne de la reliance – nous renvoie aussi à une perception de soi unifiée, défragmentée, dépolarisée mais également connectée. Et ça, ça fait du bien !
Ainsi Transurfing peut inclure toutes sortes de pratiques pour affiner sa compréhension et faciliter son intégration, comme le positivisme, la communication non violente (de toute évidence la langue de l’Observateur), le Hoponopono’ des hawaïens fort utile pour libérer facilement les empreintes douloureuses et limitantes du passé génératrices de potentiels en excès, par exemple et, d’un point de vue physique, autres exemples, des exercices de TRE (Trauma release experience) pour la libération par les tremblements du corps, ou de cohérence cardiaque, une petite merveille au quotidien pour amener le cœur à un état de cohérence tel que tous les systèmes intérieurs sont ramenés à l’homéostasie. Une boucle rétroactive pour induire, par l’équilibrage des battements du cœur, le retour dans la posture de l’Observateur.
Les précieux accords toltèques entrent en totale adéquation également, ce sont d’autres possibles gammes pour nous apprentis transurfeurs (et notamment pour alimenter notre chasse à l’importance.)
Je m’arrêterai là pour les exemples, il y en a des tas d’autres, et j’en découvre chaque jour davantage avec beaucoup de curiosité. Depuis que j’ai découvert et me suis passionnée pour la pratique et la transmission de Transurfing, je suis émerveillée à chaque fois que je peux faire un lien et nourrir ma passion de transmettre Transurfing avec plus d’acuité, d’images porteuses, de bons mots… Cela m’inspire et m’enthousiasme, tant je ressens l’excitation et la joie de me ressentir au bon endroit, si bien guidée.
Pour terminer avec ces valeurs fondamentales de Transurfing, ces qualités que tout transurfeur développe au fur et à mesure de son adhésion au modèle et de sa mise pratique, il y a l’idée de base de la simplicité. Pratiquer Transurfing c’est s’offrir, enfin, à la simplicité. Très en vogue dans notre époque où tous nous sentons pertinemment que nous nous en sommes par trop éloignés, le modèle de Vadim Zeland nous y ramène sans détour. On ne le dit pas assez, Transurfing est un chemin de facilité. Vous, nous, en avons suffisamment bavé… (Un clin d’œil avec Prêtresse Tufti est ici inévitable, pour ceux qui connaissent ses enseignements :)
Et comme vous le savez, ça n’a pas forcément marché… Avec Transurfing, il n’est pas question de changer qui on est, mais d’accepter totalement et irrévocablement qui on est, et de l’exprimer librement. Ça fait des vacances pour tout le monde, quelle détente de se sentir absolument parfait tel qu’on est. Et de laisser les autres être qui ils sont. Chacune, chacun différent, unique, spécifique. Exit la culpabilité, contre-productive. Avec une estime de soi désormais plus solide, on découvre avec Transurfing que, s’il y a quelque chose à changer, ce ne sont que nos comportements et ce qui les induisent. Les principes et techniques que nous apprenons à maîtriser avec ce modèle de la réalité ramènent tous à la posture du centre chère à de nombreuses philosophies, campée dans Transurfing par l’Observateur. Aller dans le sens du courant, et non plus perdre de sa précieuse énergie vitale pour batailler sa vie. S’offrir à cette simplicité dynamique est tout le bien que je vous souhaite, à vous qui découvrez peut-être Transurfing aujourd’hui. S’offrir à la simplicité est cet état d’être à la base du jeu de la vie tel que Transurfing nous apprend à le jouer, un jeu passionnant dans lequel tout devient possible et dans lequel c’est vous qui tirez les ficelles ! Vous avez dit « happy » ?
Tu n’exagères pas un peu Tati Clara, avec tous tes superlatifs ? « Venez voir mes belles oranges pas chères, elles sont merveilleuses! » Il n’est pas toujours facile de parler en bien de quelque chose qu’on a aussi à vendre, sans que ce ne soit perçu comme une démarche purement commerciale.
Depuis dix ans je transmets l’art du Transurfing – que je pratique bien évidemment moi-même avec autant de succès que d’échecs, dont je ne rate pas le moindre enseignement, afin de le partager et d’augmenter mes compétences à le faire de façon inspirée – Le travail avec les groupes en présentiel, est ce qui reste à mes yeux la plus puissante des initiations à la pratique de Transurfing, après l’étape enthousiasmante de la lecture de la saga et d’une compréhension/adhésion de base du modèle de Vadim Zeland. Ce livre vous allez soit le dévorer, soit passer à côté – une question de timing ? Il sera alors question de laisser agir mentalement et de revisiter progressivement votre carte du monde, tout mettant le modèle en pratique au quotidien. Cela se fait seul, et cela se pratique aussi en groupe, c’est comme pour la musique. Mais quelle dynamique, quels avancements prodigieux pour chacun des membres du groupe et pour l’ensemble ! Dans les groupes, il y a quelque chose de l’énergie démultipliée, je ne vous apprends rien. C’est ma passion à moi, en dehors de Transurfing, d’orchestrer un groupe. Et cela fait véritablement de ma vie une célébration, pour reprendre les termes de l’auteur.
Aussi je terminerai par vous dire merci, merci de m’avoir écoutée et de participer de faire de ma vie une célébration, par la transmission de ma passion pour Transurfing.
Pour conclure, je dirai que tout c’est vrai, n’est pas si happy, easy, smartly, fluently que ça, au départ – C’est vrai qu’il y aura à faire des gammes et quelques armoires à dépoussiérer. Certains jours votre esprit vous en fera quand même voir… Mais ce que vous rencontrerez sur ce chemin de la maîtrise de l’art du Transurfing, tout le long et dès le début, à des degrés de plus en plus élevés, ce sont des états et ressentis de :
Douceur, joie, confiance, paix, sérénité, enthousiasme, détermination, force, puissance, audace, spontanéité, intuition, clairvoyance, humour, équilibre, …
Je vous souhaite un beau chemin spirituel, d’élévation de votre conscience, de votre responsabilité et de votre pouvoir à célébrer votre vie et à vous accomplir dans toutes les dimensions de votre être.
Faites de la double question « Comment je m’autorise pleinement à être moi-même ? et comment j’autorise pleinement les autres à être qui ils sont ?» l’investigation la plus passionnante de votre vie, jusqu’à trouver le filon, et exprimez vous joyeusement et librement dans votre couche du monde !
Enfin, j’ai cherché un mot, un seul, le mien, pour définir ce à quoi la pratique du modèle de Vadim Zeland m’invite, d’un point de vue spirituel. Transurfer, c’est pour moi aujourd’hui faire l’expérience de l’équanimité.
J’aimerais vous laisser sur une question. Et pour vous, quel est ce mot unique ? Quelle est cette qualité, cette valeur que Transurfing vous invite à incarner sur votre chemin ? S’il n’y en avait qu’un, ce seul et unique mot inspirant que vous associez à Transurfing sur votre actuelle ligne de vie, quel est-il ? Merci de le partager en commentaire !
N’hésitez pas à commenter, poser vos questions et demandes de thématiques, vos précieux avis sont pour moi une grande source d’inspiration.