Dans l’enchaînement chronologique de vos heures et de vos jours, vous croyez tout naturellement que le passé est derrière vous, révolu, et que vous marchez vers un futur tout vierge.
Qu’il vous effraye certains jours, vous ne l’investissez pas moins pour autant, à d’autres moments, de vos espoirs et attentes heureuses. Demain n’existe pas encore et vous pensez légitimement que quelque chose peut changer, que quelque chose de nouveau peut vous arriver. Encouragé par les dictons populaires, vous dites « demain est un jour tout neuf » et quelles que soient vos pensées et votre état d’esprit du moment, vous caressez ce futur que vous croyez espace de tous les possibles, indépendant de votre passé.
Erreur, vous ne marchez pas vers demain, vous reculez !
Pour faciliter votre reprise en main, pour reprendre vos droits sur votre futur, et marcher allant droit, faut faire un peu le ménage !
Le M2, dont l’objectif est de vous laisser partir en fin de we dans l’état libre et léger du créateur, de l’Auteur de sa vie, comme l’enseigne Oliver. Le M2 c’est ce fameux nettoyage de printemps, ce travail nécessaire sur les potentiels en excès. En ce inclus : de s’exercer à pouvoir les identifier, de libérer l’énergie des investissements émotionnels excessifs du passé, de recevoir et expérimenter des outils précis pour faire baisser les importances et aiguiser l’intention, de faire des expériences uniques. Le M2 s’est être capable de s’ouvrir à la possibilité d’une vie exponentielle. Votre vie vous inspirera !
Jetez-vous à l’eau, il reste des places pour ce we du 5 et 6 avril 2014 !
Transurfing Paris Printemps 2014 – Module 2 :
La vie à l’envers
L’être humain, dont les systèmes psychiques veillent à la haute protection, se rattache naturellement à son vécu et expériences passées, dans lesquels sont puisés les éléments de réponse à ses questions actuelles. Ce passé « connu » est rassurant et il s’y identifie. Ainsi, à moins d’un travail de conscience et de libération des schémas répétitifs, ses décisions et ses actes seront fonction de ses mémoires passées et détermineront donc aussi son présent et son futur. La boucle est bouclée – c’est comme si vous marchiez à reculons – et les possibilités de la vie s’amenuisent à mesure qu’elle passe, d’autant plus que ce mental dont une des fonctions premières est donc la protection, se souvient d’autant mieux des épisodes douloureux que son travail consiste à empêcher la personne d’avoir à les revivre.
Ex : Un jour j’ai garé ma voiture dans cette rue. Lorsque je l’ai retrouvée, un carreau avait été brisé. Une prochaine fois, mon mental « m’interdira » de me garer dans cette rue, appliquant une règle de causalité absolue et dénuée de toute nuance. Plutôt que de simplement se souvenir du factuel : une fois, je me suis garée ici et on m’a cassé un carreau, il a transformé l’événement et en a conclut une vérité dont il ne démord pas, décrétant la cause à effet : « quand je me gare dans cette rue, ma voiture est en danger ». Et vous vous garez ailleurs, répondant à l’injonction de votre conducteur très (trop) prudent. Dommage, dans cette rue décrétée « maudite » par votre mental borné, l’homme (la femme) de votre vie, que vous aspirez tant à rencontrer et que vous appelez de tous vos vœux, avait peut-être avec vous un rendez-vous. Manqué(e)… !