S’il est passionnant de vivre à l’ère d’un changement de paradigmes aussi important que ceux établis par la physique quantique, qui nous place face à nos réalités en créateur responsable, ce n’est pas toujours confortable pour autant. Ça l’est d’autant moins que notre environnement direct et les personnes qui nous entourent n’ont pas forcément revisité en même temps que nous leur carte du monde… Ce que nous vivons parfois comme une révolution intérieure et nous pousse à remettre les choses en question au regard de nos compréhensions nouvelles, ne trouve pas toujours d’écho dans nos contextes quotidiens. Aussi, le travail sur soi en groupe est une approche qui peut donner un beau souffle et permettre de mieux intégrer dans sa réalité ces compréhensions/transformations intérieures, tout en créant une communauté qui nous donne à être.
Au-delà de nos paysages relationnels habituels : nos familles, nos collègues et nos amis (dont ceux qui disent ne change surtout pas !), existent les personnes que l’on croise dans la vie de façon plus ponctuelle, ceux que l’on rencontre sur le chemin du développement personnel, du questionnement existentiel, de l’ouverture et de l’acceptation de soi, de la conscience, de la guérison, de la quête de la liberté d’être soi, … Ceux-là forment une famille plus large, libre, appelée par certains la famille d’âme ou celle des co-créateurs, Une trame, un maillage souple et invisible les relie comme autant de cellules d’un seul grand corps qu’ils participent en conscience à élever.
Il y a, dans le travail de connaissance et de développement de soi, un travail régulier et intime qui s’effectue pour chacun dans son environnement habituel et qui, accompagné ou non, est principalement solitaire. Fait de réflexions, d’introspections, de lectures, d’échanges et autres pratiques pour éclairer sa voie, ce travail réflexif là est le celui de toute une vie, nous polissons notre miroir un peu chaque jour. Appelons-ça de la formation continuée obligatoire, un stage à vie sur le terrain d’un quotidien surbooké pour la plupart, chaque matin on remet le travail à l’ouvrage alternant entre vivre/assumer la réalité qu’on a créée avec les autres, et la penser/panser plus ou moins seul, dans l’intimité de notre être, parfois dans de confuses cogitations et de grandes souffrances, dans l’espace temps réduit du quotidien. Pour les petits ajustements qui s’imposent, ça va. Mais dans ces conditions il n’est pas toujours facile de trouver les moyens de prendre un salutaire recul ou de recalculer une trajectoire, lorsque de plus profondes mises à jour s’avèrent utiles.
En parallèle, il y a un autre type de travail sur soi, celui qui s’effectue en groupe, en dehors de son décor habituel. Ce sont ces deux paramètres qui font réellement toutes la différence. De la dynamique de groupe on peut en parler longtemps, il ressort de sa puissance quelque chose qui reste insondable et qui a rapport avec l‘amplification de l’énergie, l’accélération de l’échange informationnel et énergétique plus précisément, mais aussi des phénomènes de résonances et d’une forme de syntonisation naturelle, qui optimisent le travail. Vous êtes peinard dans le cercle, à priori pas concerné par ce qui se passe et c’est là que ça va bouger fortement en vous. C’est bien connu, autant les intentions que les prières, portent bien plus loin à plusieurs. Quand aux guérisons que nous voulons réaliser et qui ont toujours pour racines des peurs ou des blessures d’amour, rien de tel que l’énergie d’un groupe bienveillant pour les soutenir. Le cercle symbolise alors l’Humanité toute entière, et il n’est pas déraisonnable de dire que par la nature holographique de la vie, ce qui se guérit dans le cercle, c’est le cercle en entier qu’il peut guérir !
Au delà de ma formation continuée à moi (en solo et via les formations que je poursuis) c’est principalement par le biais des séances individuelles de coaching et des stages et trajets d’intégration et de pratique Transurfing que j’anime que je la rencontre et qu’elle grandit, ma famille d’âme à moi. Faire ensemble un travail sur soi en profondeur, ça résonne/raisonne bien, ça crée forcément des liens et ouvre pour chacun à des relations ‘pair to pair’ où on s’offre à la relation dans la présence, rappel vivant l’un pour l’autre à la responsabilité et au choix dans l’instant du positionnement et du regard que l’on adopte.
Toujours désireuse de la dynamiser, cette communauté de « joyeux transurfeurs », j’ai invité d’anciens stagiaires à nous rejoindre pour un transurfant dîner de clôture de stage, au restaurant le Petit Orgueil en mai à Paris. Dix huit personnes sur un looongue table : nous avons changé de place toutes les dix minutes, si bien qu’à la fin du repas, tous avons pu nous revoir ou nous rencontrer. Quels échanges, tout le monde en était enchanté ! Ça se passait dans les grands dîners de famille chez moi. Mode d’emploi : régulièrement dès que les convives sont assis, chacun prend son assiette et ses couverts et se déplace d’une place à gauche. A essayer, super convivial ! (c’est belge peut-être).
Parmi eux, j’ai le plaisir de vous présenter Iryna Khomskaya. Transurfeuse avertie depuis de longues années, elle a découvert Vadim Zeland dans sa langue d’origine. Vivant à Paris aujourd’hui elle se lance et se donne pour projet de réunir la communauté des transurfeurs russophones hors Russie et de se former à son tour pour pouvoir transmettre et diffuser ce modèle dont elle incarne magistralement bien les principes. Bravo à elle ! Longue vie au Centre russe dont voici la page www.transurfing-ru.com Patience, le site ouvrira bientôt. Vous pouvez lui envoyer un petit mail pour être tenu au courant entre-temps : iryna_khom@yahoo.fr
Sachez au passage qu’elle serait ravie de recevoir un peu d’aide, plus précisément à propos de la mise en route du site. A bon entendeur… работать!
Dès octobre, Iryna rejoindra le groupe de futurs coachs et animateurs Transurfing que j’ai le plaisir de co-animer à Barcelone avec Blaise Magnenat et Olivier Masselot. afin entre autres de renforcer l’équipe Transurfing en francophonie. Transurfing étant un méta cadre de compréhension et de gestion de la réalité, ce ‘grand’ modèle quantique de réalisation individuelle peut inclure et donner sens à beaucoup de méthodes et d’outils destinés à vous sentir bien et heureux, conscients, puissants. Aussi je gage qu’avec l’arrivée de ces nouveaux animateurs nous irons vers toujours plus de diversité, de transversalité, de liens à faire pour des propositions dynamiques et des stages créatifs vous permettant de toujours mettre mieux en vie les principes simples développés par Vadim Zeland pour diriger votre réalité. Avec une détermination détachée, dans la légèreté, la joie, la clarté, la générosité, l’émerveillement et la gratitude de l’Observateur, c’est tout le bien que je souhaite.
Je dis bienvenue à chacun d’eux dans notre équipe pédagogique, ainsi qu’aux stagiaires rencontrés au fur et à mesure dans les groupes de pratique, à tous bienvenue dans la communauté !
Dans l’immédiat, les prochains sur ma route seront les participants à l’Université d’été Transurfing qui se déroule à Luc-Sur-Aude en pays Cathare, dans un splendide domaine réservé rien que pour nous et nos expériences de laborantins quantiques… Je me réjouis et suis impatiente de les rencontrer et de vivre ces dix jours ensemble. Cette année le résidentiel d’été mettra l’accent sur la guérison, afin que vous puissiez vous libérer et créer plus grandes, plus hautes, plus larges, plus douces, plus lumineuses, plus créatives, plus spontanées, plus alignées, abondantes et joyeuses, les réalités que vous choisirez de manifester !
Quelle volubilité, Tati Clara ! Si je m’emballe c’est que depuis que j’enseigne la pratique de Transurfing, il n’y a pas une semaine où je ne reçoive un mail d’une personne me disant avec emphase à quel point sa rencontre avec Transurfing, l’a mise en éveil/émoi et était déterminante : quelque chose en eux a reconnu là un chemin d’autonomie et de pouvoir, c’est très enthousiasmant ça ! Si vous vous en rappelez dans un de mes partages ici, pour ma part je m’en souviens comme si c’était hier de ma découverte de Transurfing. J’en ai été personnellement émue aux larmes ! C’était le milieu de la nuit, je m’étais gardée les trente dernières pages pour les déguster tranquillement. Et voilà que je refermais ce 1er tome. Mon sentiment de gratitude et mon soulagement étaient immenses : Il y avait bien – Mon Dieu m e r c i – une justice et une logique en ce bas monde, non point de fatalité. J’ai pensé : merci pour recevoir enfin le mode d’emploi du jeu auquel je joue en aveugle depuis tant d’années. (Avec quels fracas et plâtres… Tout comme Vadim Zeland en témoigne, j’ai excellé dans la pratique inconsciente du Transurfing à l’envers…) Voilà que je détenais enfin un secret pour ajouter du pouvoir à ma responsabilité et de la responsabilité à mon pouvoir, dans tous les domaines de ma vie. Quand au sel, au piment, aux couleurs, je vous laisse imaginer.
Merci de m’avoir lue et de partager, au plaisir de vous accompagner dans l’aventure Transurfing, en tête à tête ou au sein d’une famille de conscience qui grandit, que nous grandissons et qui nous grandit.
Votre enthousiaste,
Tati Clara